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es plus petites unités. C’est ce que le diplomate
américain
D. Moynihan formulait naguère à propos des USA mais qu’il est facile
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sur ce plan-là, une profonde complicité entre les
États-Unis
et l’URSS. Faut-il parler d’un complot des grands, des puissants cont
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suis persuadé que les dirigeants de l’URSS et des
États-Unis
sont convaincus de défendre leur peuple et leur idée de la civilisati
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k, écrivait dans un raccourci génial, le sénateur
américain
D. Moynihan. C’est dire que la région doit être et demeurer « de dime
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up la définition qui a été donnée par un sénateur
américain
qui fut ambassadeur de son pays auprès des Nations unies : Ne confie
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dération helvétique et celui de la fédération des
États-Unis
. Vous démontrez très bien la différence d’esprit entre ces dernières
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r devenir Suisse, et par l’extérieur pour devenir
Américain
. Mais l’Amérique n’est plus vraiment une fédération parce qu’elle est
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et par l’extérieur pour devenir Américain. Mais l’
Amérique
n’est plus vraiment une fédération parce qu’elle est beaucoup trop gr
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qu’elle est beaucoup trop grande. Toutefois, les
Américains
ont gardé un plus grand sentiment de la communauté qu’en Europe. Un a
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la négritude comme dit Senghor, à travers le jazz
américain
, à travers les cantiques des Noirs, dont les mélodies sont d’ailleurs
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uissance explosive totale des arsenaux nucléaires
américain
et soviétique) est absurde, et ne peut conduire qu’à des conclusions
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euvent être décisifs. Mettons qu’aujourd’hui, les
États-Unis
aient de quoi tuer 32 000 fois tous les humains. Mais comme les Sovié
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antesque doit être demandé aux industries d’armes
américaines
to stop the gap, pour combler ce retard tragique. Ce raisonnement rel
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, signifie très exactement ceci, que le diplomate
américain
D. Moynihan formulait naguère à propos des États-Unis, mais qu’il est
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ricain D. Moynihan formulait naguère à propos des
États-Unis
, mais qu’il est facile de transposer en termes européens : Ne confie
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e suisse, mais dès octobre 1940, je fus envoyé en
Amérique
où j’étais sans doute moins gênant pour notre neutralité, chargé d’un
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Office of War Information, section « La voix de l’
Amérique
parle aux Français », puis j’ai écrit encore deux ou trois livres, do
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peuples. Je suis retourné pour quelques mois aux
États-Unis
, puis rentré définitivement en août 1947, et j’étais à peine installé
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n, de la civilisation industrielle en crise, de l’
Amérique
, de la Suisse, ou seulement de ma famille neuchâteloise… Mais cela n’
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rt adressé à la commission d’urbanisme du Congrès
américain
par l’ingénieur Jay Forrester. Ce rapport esquissait un « modèle mond
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t dont les buts sont très différents, les unes en
Amérique
, les autres en Europe, en France, en Suisse, certaines purement local
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u fédéralisme, telle que l’a exprimée le sénateur
américain
, David Moynihan. Sa formulation s’applique naturellement aux États-Un
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ihan. Sa formulation s’applique naturellement aux
États-Unis
, mais elle est très facile à transposer en termes européens, voire su
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des Hindous, encore moins des Peaux-Rouges d’une
Amérique
pas encore découverte par l’Europe. Comment quinze millions d’Europée
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publié en Angleterre, grâce à T. S. Eliot, et aux
États-Unis
, m’a beaucoup aidé à gagner l’intérêt des éditeurs et l’amitié des cr
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l’intérêt des éditeurs et l’amitié des critiques
américains
, pendant les années que j’ai passées là-bas, de 1941 à 1947. Vous ave
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ez dit et écrit à plusieurs reprises que c’est en
Amérique
que vous avez découvert l’Europe. Comment cela s’est-il passé ? De d
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gagement européen ne remontent-ils pas, avant les
États-Unis
, aux années 1930, au mouvement personnaliste qui s’exprimait dans les
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Europe qui leur semblait être un simple pion des
Américains
dans le jeu de la guerre froide. Ce n’est pas et ce n’a jamais été vo
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ceux des Soviétiques d’un côté, des capitalistes
américains
de l’autre. Un an plus tard, à peine rentré pour de bon des USA, j’ai
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e, l’Afrique noire, l’Inde, la Chine, le Japon, l’
Amérique
latine… Des publications, bulletins périodiques, revue Cadmos , coll
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ssi en Angleterre, en Allemagne, en Italie et aux
États-Unis
, dans les années 1960 et 1970, par des gens qui se donnent couramment
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ur et par voie de conséquence l’usage. Un journal
américain
baptisait l’autre jour du joli nom de Little Brother les jeunes délin
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is — soit 45 % du total, car la population active
américaine
est de l’ordre de 100 millions — pourraient être touchés par l’automa
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une croissance de 1,8 % des ventes de voiture aux
États-Unis
». Va-t-on recycler ces ouvriers dans le tertiaire comme les économi
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lon les estimations d’une des plus grandes firmes
américaines
« sur un total dépassant 50 millions d’emplois existants dans le sect
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nes du tertiaire. Par exemple : « dans les postes
américaines
, l’automatisation a entraîné une baisse des effectifs de 10 % depuis
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constate avec une sérénité inexplicable « qu’aux
États-Unis
, pas plus les économistes que les agences fédérales, le patronat ni m
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: Inde, Chine, Japon, Afrique noire, monde arabe,
Amérique
latine ? Comment pourrions-nous, en confrontant les définitions du tr
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re de l’étranger, des grands pays voisins ou de l’
Amérique
, que leur réputation nous est revenue, comme importée. « Son canton —
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revu Artaud qu’une seule fois, après mon retour d’
Amérique
, à l’automne de 1946. C’était au Café de Flore. Il était assis seul s
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er » des émissions quotidiennes de « la Voix de l’
Amérique
parle aux Français », dont les trois announcers — comme on dit ici, s
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peintres et poètes surréalistes « réfugiés » aux
États-Unis
, Max Ernst, Yves Tanguy, Matta, Aimé Césaire, Charles Duits, et surto
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ur y vivre et travailler, plutôt que Paris et les
États-Unis
, qui avaient de quoi nous tenter l’un et l’autre à la fin de la derni
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ue et le monde anglo-saxon avec ses prolongements
américains
. Voyez plutôt les bibliographies à la fin des ouvrages de Staro : vou
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sciences ou du langage en Grande-Bretagne et aux
États-Unis
. Et puis, je nous vois un autre trait commun, non sans relations inti
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phrase. D’ailleurs, j’ai rencontré un philosophe
américain
nommé Max Lerner, avec qui j’avais discuté cela, et qui avait mis au
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ilosophe, un théologien, Paul Tillich, émigré aux
États-Unis
pendant la guerre, qui évitait de parler de Dieu. Il avait peur de to
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embre 1934). 25. Denis de Rougemont séjourna aux
États-Unis
de 1940 à 1946. Alors qu’il était lieutenant dans l’armée suisse, il
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fut épargnée, mais on préféra alors l’envoyer aux
États-Unis
où il travailla pour « La Voix de l’Amérique » en 1942 et 1943, ensei
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ux États-Unis où il travailla pour « La Voix de l’
Amérique
» en 1942 et 1943, enseigna à l’École libre des hautes études (New Sc
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en haut lieu. Qu’ai-je fait durant mes six années
américaines
? J’ai écrit quelques livres, sur la Suisse, sur le diable, et sur la
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atrice d’une constante et poignante nostalgie, en
Amérique
j’ai découvert l’Europe, et la nécessité vitale de son union, si les
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es deux pages ont changé ma vie en m’expédiant en
Amérique
pour plus de six ans. Mais à l’inverse, un texte discuté pendant troi
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ui correspond exactement au système bicaméral des
États-Unis
et de la Suisse, notamment. Mais voici qui est nouveau : à l’art. 48