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it-il dire : par la nécessité) la plus brûlante :
Américains
et Allemands chez nous. Laissons les Américains. Ils réussissent mal
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: Américains et Allemands chez nous. Laissons les
Américains
. Ils réussissent mal à nos satiristes. M. Hermann-Paul en les peignan
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le plus frappant, mais tout porte à croire que l’
Amérique
, demain, l’imitera, et même la France, si les questions économiques e
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ivez-vous ? » ⁂ La caractéristique des mouvements
américains
de rénovation réside dans leur effort pour « christianiser l’ordre so
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ton, président de l’association des mécaniciens d’
Amérique
exprime ce point de vue en une phrase typique : « La grande majorité
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moins le mérite de débarrasser le protestantisme
américain
de son piétisme optimiste et moralisant. Mais qu’entendent-ils par «
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évolutionnaires chrétiennes qui se manifestent en
Amérique
. On remarque dans la liste de ses collaborateurs des noms d’évêques s
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la (Italie), N. Stufkens (Hollande) et F. Heuson (
Amérique
). C’est un document de premier ordre sur la « rupture » à laquelle no
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constituent dans leur ensemble, du Moyen Âge à l’
Amérique
moderne, la grande Imposture dont nous avons à dénoncer l’origine per
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orale officielle de la Troisième République, de l’
Amérique
et des Soviets. Nous croyons ici que la dignité de l’homme consiste à
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créta l’instauration en Russie d’une civilisation
américaine
dont on s’efforce, à coups de plans, de satisfaire les exigences arti
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roman d’idées, et une description étonnante de l’
Amérique
qu’il nous reste à découvrir : celle du Sud. Enfin, c’est un livre qu
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rue », écrivaient Aron et Dandieu dans Le Cancer
américain
. 31. Dans un ouvrage intitulé Penser avec les mains , que ces réfle
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’homme. C’est le contraire de l’activisme au sens
américain
, qui cherche partout la ligne de plus grande facilité. 50. L’alleman
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à nous avec cette morgue que l’on disait naguère
américaine
, et qui ressemble à celle des nouveaux riches de tous les temps. Nous
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out hérétique de l’amour. 86. Sauf peut-être aux
États-Unis
, s’il faut en croire certains échos de presse sur la vie privée des s
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Épilogue (novembre 1946)au Comment un
Américain
juge la France Au lendemain de la démission d’un nième cabinet à P
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in de la démission d’un nième cabinet à Paris, un
Américain
me disait : — En France, n’importe quel problème d’ajustement économi
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e dissout. C’est ainsi que de 1942 à 1946, l’État
américain
a contrôlé les prix, la répartition de la main-d’œuvre aux entreprise
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oires. Ce qui veut dire que pendant quatre ans, l’
Amérique
a « nationalisé » (ou plus exactement étatisé) toute son industrie et
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u méprisantes. Nous sommes adultes. Comment un
Américain
moyen voit le Monde — Quels sont, se dit-il, les pays qui marchent
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es trois idéaux. Et je ne les vois réalisés qu’en
Amérique
. Comment l’Europe peut aider l’Amérique Comme je m’en veux de c
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qu’en Amérique. Comment l’Europe peut aider l’
Amérique
Comme je m’en veux de chacun de mes articles trop favorables ou tr
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articles trop favorables ou trop critiques sur l’
Amérique
! Car le contraire, chaque fois, peut aussi être vrai. Car ces rêveur
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t qu’on l’éprouve.) Or justement, la civilisation
américaine
souffre d’une grave incohérence interne. Mais je vois bien que je n’a
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s que l’Europe seule peut opposer ou proposer à l’
Amérique
. Cinq choses témoignent de l’esprit et de sa présence active dans une
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éer. La réduction du fait à une signification. L’
Américain
croit aux faits, dur comme fer. Il les réduit d’ailleurs en chiffres
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els malheurs historiques un réveil spirituel de l’
Amérique
ne pourrait pas lui épargner ? Si l’Europe peut y contribuer, elle au
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elle aura bien mérité de la planète. Comment l’
Amérique
peut aider l’Europe Seuls, les Européens — je connais leurs comple
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is leurs complexes — trouveront trop dures pour l’
Amérique
les quelques pages qui précèdent. L’Amérique a les reins solides. Ell
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ur l’Amérique les quelques pages qui précèdent. L’
Amérique
a les reins solides. Elle a, sur tout autre pays que je connaisse, l’
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orce. Qui n’a pas lu les éreintements de l’esprit
américain
auxquels se livrent avec exubérance les revues et les journaux améric
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ivrent avec exubérance les revues et les journaux
américains
ne sait pas ce que c’est que la confiance en soi. Ceci dit, je me ret
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ne vous contentez pas d’appeler périodiquement l’
Amérique
à votre secours, quitte à la mépriser sitôt le travail fait. Sachez q
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la mépriser sitôt le travail fait. Sachez que les
Américains
ont beaucoup mieux à nous donner que des frigidaires, des capitaux et
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numéro spécial d’Esprit sur le thème de « L’homme
américain
». av. Il s’agit de Vivre en Amérique , qui paraîtra chez Stock en
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L’homme américain ». av. Il s’agit de Vivre en
Amérique
, qui paraîtra chez Stock en 1947.
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et les grands hommes d’affaires regardent vers l’
Amérique
. À tort ou à raison — je n’en juge pas ici — ils s’imaginent que ces
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e contente d’un double refus de la Russie et de l’
Amérique
, se résigne à la décadence, ou la déplore mais sans faire mieux. Je n