1 cile mais fort goûté du grand public, de l’humour américain , l’on comprendra sans peine la popularité mondiale des « idées » d’He

2 ont assez révélateurs de la mentalité capitaliste américaine . Voici, par exemple, une définition de la liberté : La liberté consi

3 avons assez en quel mépris l’homme d’affaires à l’ américaine tient les choses de l’Esprit. Dans le cas le plus favorable, « il se

4 n. Cette perte du sens de l’âme se nomme bon sens américain . On en fait quelque chose de jovial et d’alerte, quelque chose de trè

5 nd, et de meilleure qualité. Je ne parle pas de l’ Amérique . 2. Victor Cambon, préface à Henry Ford, Ma vie et mon œuvre, Paris,

6 wegung » en Allemagne ; surréalisme en France, en Amérique  ; poussée mystique en Russie. a. « Le péril Ford », Foi et Vie, Pari

7 Citoyen du Monde, voici le Bon Européen, voici l’ Américain à rendement maximum. Et comptez que l’on poussera plus avant la dégra

8 alyse spectrale de l’Europe, de Psychanalyse de l’ Amérique , le célèbre philosophe fondateur de l’École de la Sagesse de Darmstad

9 e. Décidément, le goût du colossal — transmis aux Américains — reste un trait marquant de l’âme allemande : le choix de la salle,

10 ous le titre d’Au-delà de la ligne de la mort, en Amérique , en Angleterre, en Allemagne, et en France, sous celui d’Avant l’Aube

11 ennal s’édifier sur les ruines d’un continent ; l’ Amérique s’enrichir au-delà de toute raison européenne, puis s’affoler, entrer

12 et sur le Plan de cinq ans, autant sur les formes américaines de la vie sociale, des albums de photos qui pour la première fois, no

13 iens en chemise brune. On nous dit que la vie, en Amérique , est impossible, parce que tous les appartements sont pareils et qu’u

14 u monde ; il a séjourné longtemps en Orient et en Amérique  ; il s’est enfoncé profondément dans la vie africaine ; et, de toutes

15 s, non pas avec les syndicalistes russes, ni même américains , pour ne donner qu’un exemple.) À part la Croix-Rouge, dont la tâche