1 1950, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Pour un standard unique de la télévision (18 novembre 1950)
1 erait le plus urgente. La télévision est déjà aux États-Unis , et deviendra bientôt en Europe, le plus formidable (au sens propre)
2 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
2 Rhénanie, de la Hongrie, de la Pologne, puis de l’ Amérique ), regardons s’allumer successivement les foyers locaux de culture qui
3 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Paul Valéry et l’Europe (29 octobre 1971)
3 e visiblement à être gouvernée par une commission américaine . Toute sa politique s’y dirige. Valéry n’a peut-être pas envisagé qu
4 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
4 faire ! Je disais naguère dans une conférence en Amérique  : « Pour la première fois dans son histoire, l’homme se voit contrain
5 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
5 les deux ensemble. Non que les Soviétiques et les Américains soient de mauvaises gens, mais la colonisation est une mauvaise chose
6 tonateur au mouvement des régions en Europe — les États-Unis et l’empire russe suivront demain et après-demain — voilà qui suffit
6 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
7 , et le Conseil des États (correspondant au Sénat américain ), formé de deux députés par canton. L’autorité exécutive est exercée
8 ateliers, coopératives. C’est ce que le diplomate américain D. Moynihan formulait naguère à propos des USA, mais qu’il est facile
7 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
9 du Gothard. Je devenais gênant. On m’a envoyé aux États-Unis faire connaître la Suisse et jouer l’oratorio Nicolas de Flue , dont
10 ateur David Moynihan, qui fut le représentant des États-Unis à l’ONU, l’a exprimé avec une simplicité géniale : « Ne confiez jamai