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monde s’en plaint, mais y joue de plus belle. En
Amérique
, c’est le jeu des pressions, du business et des grands syndicats : on
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secret, bien au contraire. Voilà. Le gouvernement
américain
ayant fait annoncer, ces jours derniers, que des essais de bombe atom
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n’aurait été qu’un bain de pieds. Le gouvernement
américain
ayant également annoncé son intention de jeter une bombe sur la calot
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e j’ai exagéré. Vous pensez que j’ai cédé au goût
américain
de la sensation, du biggest in the world. Et de vrai, c’est dans ce p
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de leurs cultes. Séparations et réunions Les
États-Unis
ont été fondés par des groupes successifs de colons, la plupart exilé
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rejetés par l’Europe, et qui venaient chercher en
Amérique
la liberté de célébrer leur culte. Ils y trouvèrent aussi la possibil
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gieux de leur civisme. La structure politique des
États-Unis
reflète encore, de nos jours, le jeu complexe de ces apports confessi
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nt, avec les apports nationaux. C’est ainsi qu’un
Américain
qui appartient à l’Église réformée a bien des chances d’avoir des anc
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onstitués, discrètement archéologiques. Le peuple
américain
— est-il puéril ou sain ? — adore plus que tout autre les costumes, e
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ites, coutumes et décors, comment les chrétiens d’
Amérique
conçoivent-ils et vivent-ils leurs croyances ? J’essaierai, dans un p
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, bref, de toutes les grandes causes publiques en
Amérique
, vous trouverez une église ou des pasteurs, plus dynamiques au nom de
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rai-je, et voilà bien le mystère du christianisme
américain
. Tout acte civique, moral, jugé conforme au bien du plus grand nombre
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ur jouir du paradis terrestre que pourrait être l’
Amérique
, si seulement tous ses habitants se décidaient à mener une vie « déce
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de Dieu, un martyr, — un pécheur ! Cependant, ces
Américains
répètent le Credo chaque dimanche, à haute voix tous ensemble et debo
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de parler en général de 65 millions de chrétiens
américains
, j’entends de membres inscrits d’une paroisse, dont 40 millions de pr
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ose à un esprit européen le spectacle des églises
américaines
. Ou bien l’église va dans le siècle, l’organise, et tend à se confond
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rkegaard, précisément, est entièrement traduit en
Amérique
, et que j’ai trouvé partout des étudiants — non seulement chez les th
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en contredit bien d’autres. e. « Spiritualité
américaine
», Réforme, Paris, n° 83, 19 octobre 1946, p. 2.
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ntité, plus que la Russie et deux fois plus que l’
Amérique
; l’organiser au-delà des États en une grande unité politique et en u
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ontinent. Il est temps de donner aussi à nos amis
américains
la certitude que nous ne sommes pas ce qu’ils ont parfois presque rai
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veut que la Terre promise ne soit pour nous ni l’
Amérique
ni la Russie, mais cette vieille terre à rajeunir, à libérer de ses c
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n Grande-Bretagne, aux brusqueries ou impatiences
américaines
, et à l’expansion russe. On parle d’obstacles économiques à cette féd
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Curzio Malaparte et tant d’écrivains scandinaves,
américains
, allemands, anglais ou hollandais, mais le seul Roger Breuil en Franc
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e des régions ? (30 novembre 1968)k Rentrant d’
Amérique
après la guerre, j’avais compris qu’il était indispensable d’unir les
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les Européens. Non seulement nous-mêmes mais les
Américains
aussi, avions besoin de cette union, c’est-à-dire du genre de valeurs
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n dire des chirurgiens, des assureurs, etc.). Les
Américains
se sont posé la question à propos du Vietnam : pouvons-nous arrêter l
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me étant une retombée des V2 à travers les fusées
américaines
) ; cela signifie qu’en construisant Concorde, on aurait découvert des
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payés) affirme-t-on à l’EDF, par les « banquiers
américains
» ; mais Sakharov dit au contraire, selon Le Monde , qu’ils sont pay
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duite d’abord en Europe, au xixe siècle puis aux
États-Unis
. Elle s’étend désormais à toutes les parties de la Terre où la civili
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es plus petites unités. C’est ce que le diplomate
américain
D. Moynihan formulait naguère à propos des États-Unis, mais qu’il est
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ricain D. Moynihan formulait naguère à propos des
États-Unis
, mais qu’il est facile de transposer en termes européens : Ne confie
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s, et nombre d’hommes politiques responsables aux
États-Unis
: la décentralisation de l’État, de l’économie et des activités cultu
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ernisation entreprise par le Shah avec l’aide des
États-Unis
et de l’Europe ne serait-elle pas un premier phénomène de rejet de la