1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 ce de al-Hallaj. 69. Cf. les travaux d’un auteur américain . A. R. Nykl, sa traduction du Collier de la colombe d’Ibn Hazm — qui
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
2 ctement conventionnels et rhétoriques que le film américain des premières années de l’entre-deux-guerres. C’était l’époque du hap
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
3 crise Pour mieux voir notre état, regardons l’ Amérique — cette Europe délivrée de ses routines, mais aussi de ses freins tra
4 illustre des croyances toutes naturelles pour un Américain  : c’est par là qu’il nous intéresse. Il montre que les termes d’« amo
5 simplement par les statistiques de divorce, où l’ Amérique tient le premier rang. Vouloir fonder le mariage sur une forme d’amou
6 our la deuxième fois, elle pour la quatrième », l’ Américain cherche l’ajustement. Il ne le cherche pas à l’intérieur de l’ancienn
7 i ont précédé. C’est pourquoi le divorce revêt en Amérique un caractère moins désastreux et même plus normal qu’en Europe. Là où
8 capital de souvenirs et d’expériences communes, l’ Américain a plutôt l’impression qu’il met de l’ordre dans sa vie et qu’il s’ouv
9 la crise présente du mariage, en Europe comme en Amérique , résulte d’une pluralité de causes profondes ou prochaines, dont le c