1
Sud-Est asiatique et dans certaines parties de l’
Amérique
latine, tandis que dans les pays industrialisés de l’Europe, le taux
2
cette alimentation pourrait être fournie par les
États-Unis
, et par eux seuls, mais au prix d’une expansion rapide de leur produc
3
ur l’environnement, donc vulnérable. Le monopole
américain
quant à l’alimentation du monde est en train d’évoluer vers une situa
4
peut-être le client le plus important pour le blé
américain
dans les années de mauvaises récoltes. Or, ces années vont être de pl
5
chance que ce soit l’URSS, qui veut « rattraper l’
Amérique
», laquelle continue de croire, dans sa majorité, que plus c’est gran
6
arder sans craintes excessives les 216 millions d’
Américains
et les 256 millions d’habitants de l’URSS. Ces Super-Grands additionn
7
de l’inflation exportée notamment par l’économie
américaine
, à la suite de la guerre du Vietnam. Il n’est pas sain que ce qu’on a
8
tre assurée par la présence de quelques divisions
américaines
en RFA, non par l’union des forces et des volontés européennes. Il n’
9
éens se réfugient sous le « parapluie » nucléaire
américain
pour éviter de faire face à leurs responsabilités, pour éviter surtou
10
as sain que la survie abusive (en Europe comme en
Amérique
latine) de régimes dictatoriaux, militaires ou cléricaux, expressémen
11
nt antidémocratiques, ait pu dépendre de l’« aide
américaine
». Mais, d’autre part, il n’est pas juste que huit pays européens — l
12
ns par les seuls calculs d’une « administration »
américaine
que les ordinateurs du Pentagone pourraient un beau jour inciter à no
13
ce secteur, d’égal à égal avec les plus grands —
États-Unis
, Japon, Canada, etc. — pour libéraliser les échanges internationaux.
14
à la majorité qualifiée au Conseil. Sur le modèle
américain
, la Commission devait devenir l’exécutif européen, l’Assemblée élue l
15
e guerre entre deux cantons suisses ou deux États
américains
. Le temps de la ligne Maginot opposée à la ligne Siegfried est passé.