1 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
1 manque le plus aux démocraties en général, et à l’ Amérique en particulier, c’est de croire au diable. On sortit de table. C’étai
2 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
2 ire que le diable est juif comme l’automobile est américaine , ou comme la Panzerdivision est allemande. En fait, l’idée première d
3 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
3 t responsable des méfaits de l’alcool frelaté, en Amérique . ⁂ Viendront les remous de la dictature. Viendront les grands diététi
4 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
4 e nous ». Voilà le danger que court la démocratie américaine , après toutes les autres. Elle aussi a cru que les nazis étaient des
5 étaient des animaux d’une tout autre race que les Américains . Elle aussi risque de découvrir un jour qu’« après tout, ils sont des
5 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
6 quoi la morale du succès, qui fut la vraie morale américaine depuis un siècle, m’a toujours paru diabolique20. Ses signes extérieu
7 nce croissante que l’on observe, dans la jeunesse américaine par exemple, à l’égard des pudeurs et interdits qui prêtaient à l’act
8 bleu du ciel. 20. La morale du succès, dans l’ Amérique contemporaine, est une laïcisation de l’hérésie des puritains, qui dé
6 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
9 es s’éteignirent. II Invité par mon éditeur américain à me resituer aujourd’hui par rapport à ce texte âgé d’un quart de si