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s lieux-sombres-et-populeux où il faut pénétrer l’
âme
basse et la petite enveloppe à la main. Tant d’autres disent : « Allo
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Mais n’allons pas conclure trop vite. Les états d’
âme
d’un malade ou d’un fou diffèrent-ils essentiellement des états d’âme
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’un fou diffèrent-ils essentiellement des états d’
âme
d’un homme sain ? Ne sont-ils pas plutôt de simples fixations d’états
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mauvaise pudeur provient de ce que le corps et l’
âme
se distinguent de plus en plus, et cessent d’être reflets l’un de l’a
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n de l’esprit. (L’esprit seul voit) Le corps et l’
âme
chantent alors dans l’unisson de la chasteté. L’esprit offensif et jo
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x de ce que l’on appellera plus tard le vague à l’
âme
, — qui est aussi bien le vague au corps… Le roman d’Hoffmannsthal — c
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manière subtile et précise qui en dit long sur l’
âme
de ce peuple discret. C’est l’impression que je veux retenir pour le
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er le reste — disons : la culture, l’esprit, et l’
âme
si l’on y tient — il faut commencer par le nier. L’« esprit » du bour
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t à un homme de gagner le monde, s’il perdait son
âme
? » Son âme, c’est-à-dire la conscience de son origine et de sa fin,
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de gagner le monde, s’il perdait son âme ? » Son
âme
, c’est-à-dire la conscience de son origine et de sa fin, du sens même
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e avec tous ceux qui veulent sauver non point nos
âmes
— c’est l’affaire de Dieu seul — mais bien la possibilité de vivre et
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s, et les mêmes chiens qui reviennent, et pas une
âme
. « Vallée de l’ombre de la mort… étranger et voyageur sur la terre… »