1
j’ai parlé de la passion d’amour, des mythes de l’
âme
et du mystère de la personne1 ; il en prolonge les lignes, vers un po
2
ur l’Apôtre, désignait le tout de l’homme (corps,
âme
, intellect) dans sa réalité, naturelle et déchue. Dans la naissance v
3
e mariage et l’amour de Jésus pour l’ensemble des
âmes
croyantes : « Maris, aimez vos femmes comme le Christ a aimé l’Église
4
l, sentimental ou spirituel (amour des corps, des
âmes
ou des esprits, selon la tripartition traditionnelle et non moins pau
5
Éternel, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton
âme
et de toute ta force. » Deutéronome, VI, 5. « … l’un d’eux, docteur d
6
eigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton
âme
et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandement
7
e des relations entre l’amour humain, la vie de l’
âme
et la recherche spirituelle. Pour les classiques, l’amour ne pose guè
8
t, ne sait plus comment les relier : éclipse de l’
âme
. L’antithèse radicale de cette époque classique nous est donnée par l
9
, se trouve qualifiée par l’esprit, requise par l’
âme
, mise en relation dialectique avec les fins spirituelles de l’âme. Pa
10
ation dialectique avec les fins spirituelles de l’
âme
. Par l’expérience de l’amour passionnel, l’Isolde de Wagner atteint l
11
me ». Par l’expérience de l’amour dit sexuel, « l’
âme
inassouvie » de Baudelaire conçoit « le goût de l’éternel »10. Et dan
12
entre le corps animal et l’esprit. N’est-ce pas l’
âme
, au sens des gnostiques ? C’est en tout cas le milieu où l’érotisme,
13
luse dans la sphère animique. Or, le langage de l’
âme
n’est autre que le Mythe. Il est donc naturel que Kierkegaard, pour d
14
ux décrit l’irruption dramatique d’une force de l’
âme
dans une société bien datée. Mais une autre question se pose aussitôt
15
l’inconscient, tandis que les mythes parlent de l’
âme
. Or si le conscient et l’inconscient sont des notions constamment rel
16
trois constituants de l’être humain, le corps, l’
âme
et l’esprit. Si la pensée (qui est doute et certitude) fournit la pre
17
t, et la sensation celle du corps, la preuve de l’
âme
est l’émotion. Les mythes, phénomènes animiques, décrivent des réalit
18
complexes, selon Freud) qu’à la nature même de l’
âme
, dont le symbole lyrique est le langage normal11. Une chose demeure b
19
s), c’est méditer en fait sur des structures de l’
âme
qui nous inclinent à la manière des astres, c’est-à-dire sans nous dé
20
is par leur pouvoir d’expression du sacré et de l’
âme
; non par leur valeur figurée, mais par leur valeur figurante. Nul Eu
21
trines. 11. Il se peut que le rêve emprunte à l’
âme
son imagerie, ses emblèmes fixés, comparables aux lames du Tarot, qui
22
ce n’est pas une raison suffisante pour réduire l’
âme
à l’inconscient. La musique est de l’âme, par exemple, et elle n’exis
23
éduire l’âme à l’inconscient. La musique est de l’
âme
, par exemple, et elle n’existe pas avant son expression ; elle n’est
24
soi que l’écume d’une vague profonde, surgie de l’
âme
collective. Derrière les apparences de la rue, derrière la tolérance
25
des sismographes les mouvements souterrains de l’
âme
refoulée. Quant aux écrivains d’aujourd’hui, grands romanciers, poète
26
version systématique. La musique était chose de l’
âme
. Mais si elle devient la chose de spécialistes acharnés à nier l’âme,
27
evient la chose de spécialistes acharnés à nier l’
âme
, — cette luxure nous disent-ils —, on est en devoir de leur demander
28
comportements rationnels, qu’un soulèvement de l’
âme
devient inévitable, à titre de compensation : « L’invasion de nos vie
29
onnelles. Faut-il donc accepter l’hypothèse d’une
âme
collective qui aurait sa vie à elle, et qui exercerait sur les hommes
30
t dans le corps des femmes ? Mais qu’est-ce que l’
âme
? Je ne prends pas le mot dans le sens noble et vague, et encore moin
31
tant de nos expressions courantes, comme « belle
âme
», ou « salut des âmes », ou « immortalité de l’âme » (désignant la p
32
ns courantes, comme « belle âme », ou « salut des
âmes
», ou « immortalité de l’âme » (désignant la personne ou l’esprit), m
33
e », ou « salut des âmes », ou « immortalité de l’
âme
» (désignant la personne ou l’esprit), mais dans le sens beaucoup plu
34
tôt celle du « cœur », comme on dit, — celle de l’
âme
. L’âme est le domaine des impulsions qui outrepassent les exigences d
35
le du « cœur », comme on dit, — celle de l’âme. L’
âme
est le domaine des impulsions qui outrepassent les exigences de l’ins
36
comment pourrait-il y voir ce « soulèvement de l’
âme
», ce retour d’âme, dont certains esprits aberrants osent parler ? Lu
37
l y voir ce « soulèvement de l’âme », ce retour d’
âme
, dont certains esprits aberrants osent parler ? Lui dira-t-on qu’il y
38
fin procréatrice, une fin en soi ou un moyen de l’
âme
; — or les croyances gnostiques et manichéennes ne décrient pas le pl
39
e, la mythologie mène son jeu, — qui est jeu de l’
âme
. Grandes formes simples et ordonnatrices, symboles actifs et véhicule
40
au sortilège lumineux que tu avais jeté dans mon
âme
, à ce rayon qui, peu à peu, s’obscurcissait, à cette musique qui s’es
41
e la société : Plus encore que leur communauté d’
âme
, l’abîme qui les séparait du monde les unissait. Tous deux avaient la
42
ces romanciers, d’une société, d’un paysage de l’
âme
, ou d’une femme ?) se fond dans une identité lyrique : Au fait, qu’é
43
frémissements, les scrupules, les angoisses de l’
âme
, les tourments de l’esprit et, de plus, toutes les souffrances dont o
44
e victoire ? « La nouveauté est le tyran de notre
âme
», écrit le vieux Casanova. Mais déjà ce n’est plus l’homme de plaisi
45
chevauche à l’aventure au profond des forêts de l’
âme
occidentale. Arrêtons-nous ici pour méditer. Et nous suivrons tantôt
46
e un possible instinct rival, est la passion de l’
âme
par excellence. La lutte entre les deux « instincts » n’est donc pas
47
s et omniprésents, propices au développement de l’
âme
adolescente, et dont les signes annoncent et expliquent à l’homme fai
48
la tension convulsive de toutes les fibres de son
âme
». Cet ouvrage de jeunesse marque l’apogée de l’amitié avec Wagner et
49
supposés de l’acte de défloration, — périls de l’
âme
, perte de la mana. Ainsi le jus primæ noctis serait plutôt une sorte
50
un analyste freudien — « il ne lui a pas donné l’
âme
qu’il lui devait… Il a trompé la femme en elle, en abusant de son rôl
51
mise à part, le « divin » ramené à l’humain, et l’
âme
n’étant plus confondue avec l’esprit ou la personne, le sens est clai
52
moins, que la possession de « la vérité dans une
âme
et un corps » comme dit Rimbaud. L’excitation de la nouveauté, il la
53
abandon, l’angoisse ou la vulgarité d’esprit et d’
âme
— ces deux cas sont les plus généraux — empêchent de jouer un rôle «
54
, c’est la cellule elle-même, modifiée dans son «
âme
» (c’est-à-dire dans le programme d’activité dont ses chromosomes son
55
, il ne peut subsister.) Imaginons maintenant une
âme
individuelle, ou même un couple, cette « cellule sociale » : son bonh
56
et modifier le cœur secret, le « noyau » de cette
âme
, et voici la névrose déclarée, le drame et l’éclatement du couple. Si
57
rame et l’éclatement du couple. Si au contraire l’
âme
résiste, elle sera désormais immunisée. Ou bien encore, l’effet nocif
58
re en soi de nos mythes, qui sont phénomènes de l’
âme
. Mais elle nous aide à mieux imaginer le processus de leur action ; p
59
é du prochain. Don Juan et Tristan, symboles de l’
âme
, ne sont en fait que deux manières d’aimer sans aimer le prochain. N’
60
mais entendu : — Dans le véritable amour, c’est l’
âme
qui enveloppe le corps. » (Par-delà le bien et le mal, 142.) 28. Kie
61
Dialectique des mythes II Les deux
âmes
d’André Gide … à présent que j’y vois un peu plus clair… Et nunc
62
« une Dame élue, immatériellement pure ». C’est l’
Âme
, en somme, et une âme conçue comme « adversaire » de la chair. Mais l
63
ériellement pure ». C’est l’Âme, en somme, et une
âme
conçue comme « adversaire » de la chair. Mais la vertu de ce mot âme
64
adversaire » de la chair. Mais la vertu de ce mot
âme
« s’épuise à force de le répéter : il faudrait dire l’ange ». Elle es
65
tre ; ils vont chacun de leur côté, le corps et l’
âme
. Elle rêve de caresses toujours plus chastes ; lui s’abandonne à la d
66
a plus où le prendre ! Je suis Tristan, voyez mon
âme
, c’est un ange. Je suis Don Juan, voyez mon corps, bête innocente… Ce
67
eux sont faits. L’alternance, et la fuite de l’
âme
Cette espèce de sécurité dans l’alternance de ses moi dissociés —
68
ur être toute faite, est pourtant fausse. C’est l’
âme
de Gide qui a fait les frais de sa ruse vitale. Il faut s’entendre, é
69
ale. Il faut s’entendre, évidemment, sur ce mot d’
âme
. Je le prends ici au sens de Nietzsche, et de Gide lui-même dans sa m
70
spirituel. Le psychique est, pour Nietzsche, « l’
âme
mortelle… l’âme coordonnatrice des instincts et passions ». Pour Gide
71
sychique est, pour Nietzsche, « l’âme mortelle… l’
âme
coordonnatrice des instincts et passions ». Pour Gide, « un faisceau
72
eu plus loin, parlant de sa femme : « C’était son
âme
que j’aimais ; et cette âme, je n’y croyais pas. Je ne crois pas à l’
73
femme : « C’était son âme que j’aimais ; et cette
âme
, je n’y croyais pas. Je ne crois pas à l’âme séparée du corps78. » (C
74
ette âme, je n’y croyais pas. Je ne crois pas à l’
âme
séparée du corps78. » (Comprenons qu’il ne croyait plus à l’esprit di
75
rne, même religieux, ne cesse de confondre avec l’
âme
.) Cet aveu pathétique est l’un de ces moments où Gide existe, « irre
76
nal, assume enfin l’insoluble conflit de ses deux
âmes
. Songeant à ces « extrêmes » si longtemps ménagés, cultivés, isolés l
77
le rapportant à lui-même : — c’était en ses deux
âmes
qu’il avait cru, et ses deux âmes ne l’aimaient plus. Je parle ici du
78
ait en ses deux âmes qu’il avait cru, et ses deux
âmes
ne l’aimaient plus. Je parle ici du Gide achevé, équilibré dans son d
79
tre absentés de lui-même, entraînant avec eux son
âme
divisée. Comme évacués de sa personne, ils étaient devenus personnage
80
qui est le refoulement d’une part virtuelle de l’
âme
, — donc sa présence encore, secrète mais active. Ils avaient cessé de
81
r » il le faut bien — un certain assèchement de l’
âme
et de ses pouvoirs d’expansion. De là cette impression que j’avais ga
82
, les origines fonctionnelles de cette fuite de l’
âme
dédoublée, et comment elle devait se produire à la longue dans l’évol
83
cteur, sacrifié à son rôle, d’une dramatique de l’
âme
qui vivra bien autant que notre Occident et ses mythes ? Nietzsche se
84
ersaires — Freud en particulier, dans Christ et l’
Âme
du monde — mais bien plutôt qu’à force d’approfondir leur domaine pro
85
d’une maïeutique, s’exerçant sur les mythes de l’
âme
. Je parlais tout à l’heure d’ellipses « saisissantes » et c’était au
86
te fin ? Ce sont moyens de poésie, c’est-à-dire d’
âme
, inadéquats sans doute, s’agissant de l’Esprit… « La faculté principa
87
gissant de l’Esprit… « La faculté principale de l’
âme
est de comparer », remarque Montesquieu, et il ajoute : « Ce qui fait
88
, antihistorique, désincarné, lunaire, monde de l’
âme
et non de l’esprit, profondément antipaulinien, et qui permet seul de
89
vec un arc de moyenne puissance qu’un archer sans
âme
avec l’arc le plus fort. Le résultat ne dépend pas de l’arc mais de l
90
u naturel. Pour Descartes, le vrai moi, c’est « l’
âme
», mais il s’agit d’une âme tout intellectuelle, dont « la nature n’e
91
e vrai moi, c’est « l’âme », mais il s’agit d’une
âme
tout intellectuelle, dont « la nature n’est que de penser » et qui re
92
dividu, la persona, la « forte individualité », l’
âme
sensitive, l’intellect, l’élémentaire et souvent si trompeuse conscie
93
passé à l’islam, écrit en 1165 : « … pour chaque
âme
individuelle, ou peut-être pour plusieurs ayant même nature ou affini
94
out au long de leur existence assume envers cette
âme
ou ce groupe d’âmes une sollicitude et une tendresse spéciales ; c’es
95
existence assume envers cette âme ou ce groupe d’
âmes
une sollicitude et une tendresse spéciales ; c’est lui qui les initie
96
suit la mort terrestre : c’est la rencontre de l’
âme
avec son moi céleste à l’entrée du pont Chinvat. Dans un paysage nimb
97
mières infinies. À son entrée, se dresse devant l’
âme
sa Dâenâ, son moi céleste, jeune femme d’une beauté resplendissante e
98
e » avec le moi céleste figure donc une pesée des
âmes
. Le mazdéisme, comme plus tard les soufis, et comme le christianisme
99
yance à la métempsychose, à la transmigration des
âmes
. Or elle nous semble à première vue impliquer comme allant de soi la
100
re et « aveugle », enveloppe obscurcissante d’une
âme
divine. Ainsi parlent tous les upanishads, et les premiers écrits can
101
de la mort, dissiper cet écran de matière entre l’
âme
et la Réalité. On peut penser qu’il s’agit bien ici de la même « mort
102
vishnouites et shivaïtes, en Inde, admettent une
âme
individuelle (le jîva) mais « obscurcie » par son union avec le corps
103
se libérer du phénomène individuel au lieu que l’
âme
chrétienne doit le transfigurer, — d’où la « résurrection de la chair
104
s’opposent même à l’ego absolu, à la réalité de l’
âme
distincte. Le soi de chacun se confond avec le Soi de l’Immensité, ou
105
Soi de l’Immensité, ou du Brahma. Qu’est-ce que l’
âme
? Une monade disent les uns. Un reflet du Brahma disent les autres. N
106
gasena, dis-moi s’il existe rien de semblable à l’
âme
? — Il n’y a rien de semblable à l’âme.104 » Un texte zen chinois sur
107
blable à l’âme ? — Il n’y a rien de semblable à l’
âme
.104 » Un texte zen chinois surenchérit : « Y a-t-il un enseignement à
108
mènes et le noumène, l’individu et la personne, l’
âme
et l’ange, l’ego et le Soi. Observons que les trois partent d’une dua
109
chisme n’est-il pas le moment de retombement de l’
âme
frustrée, quand l’esprit qui l’appelait cesse de la diriger dans son
110
ec elle vers son bien et l’animer de son amour, l’
âme
l’accuse de volonté mauvaise. Mais elle sait bien qu’ils ont partie l
111
cette discorde permanente, — dans ce refus que l’
âme
oppose au corps, vu comme signe et symbole de la « prison » du moi. E
112
t symbole de la « prison » du moi. Et c’est que l’
âme
avait rêvé d’une métamorphose angélique, quand l’esprit lui demandait
113
n lui que son semblable — un corps « vil » et une
âme
qui se veut ange —, non le vrai moi dans son autonomie. Si le corps l
114
rotisme sensuel est l’autre extrême où se porte l’
âme
irritée mais non pas convertie par l’esprit — comme l’a si bien vu Ki
115
ces désirs qu’une possession rapide anesthésie, l’
âme
retombe alors dans les liens de l’instinct, qui est la puissance impe
116
insi la dualité ego-vrai moi y devient celle de l’
âme
et de son ange. Pour situer dans son vrai climat spirituel le personn
117
antique !) il se situe au point où le regard de l’
âme
reconnaît soudain dans l’Aimé cette Forme sensible du divin, cette th
118
e Forme sensible du divin, cette théophanie que l’
âme
peut aimer dans toutes les dimensions de l’amour unifié. L’Aimé n’est
119
sme soufi, et même la « rencontre aurorale » de l’
âme
et de sa Dâenâ au pont Chinvat ? Et n’est-ce pas pour avoir désiré l’
120
source des pires conflits, une violence faite à l’
âme
de l’autre, à son corps ou à son esprit — ou encore à son moi total n
121
ismarck écrit : « Faust se plaignait d’avoir deux
âmes
en lui. J’ai en moi une foule d’âmes turbulentes. Et tout se passe co
122
d’avoir deux âmes en lui. J’ai en moi une foule d’
âmes
turbulentes. Et tout se passe comme dans une république. » À regarder
123
, et qui n’est tel qu’aux yeux de celui qui nie l’
âme
; mais alors, d’où viendrait cet amour, à qui irait-il ? La passion d
124
ait-il ? La passion de Tristan est la preuve de l’
âme
, s’il en fût jamais. 115. Katha upanishad. 116. Alexandra David-Nee
125
s religieuses ou philosophiques pour le bien de l’
âme
de ceux qu’on massacrait, et comme nous le montre aujourd’hui la « ve
126
os. — Cette seconde forme de l’amour procède de l’
âme
. Elle est moins sélective que le regard intuitif, puisqu’elle ne va p
127
otion vraiment envahissante. Dans ce domaine de l’
âme
intermédiaire entre le spirituel et le sensuel, les risques d’erreur
128
le reste est silence ». Au degré de la passion, l’
âme
va se détacher du spirituel et du sensuel, pour le plaisir et la doul
129
e autre fonction à la volonté de l’intellect, à l’
âme
et à l’imaginaire ; et qu’en tant qu’il ne serait qu’un instinct anim
130
ntanées de l’esprit intuitif au clair-obscur de l’
âme
, à l’obscur de la chair, à l’opaque de la matière et au noir absolu d
131
percé par une pique (« Une épée te transpercera l’
âme
», dit Siméon à Marie). Correspond à l’Âme et au sentiment (Amour-pa
132
era l’âme », dit Siméon à Marie). Correspond à l’
Âme
et au sentiment (Amour-passion, tendresse, Éros). Tempérament : émot
133
ions typiques : Masochisme. (Seul celui qui a une
âme
, et le sait, a lieu d’être masochiste et de s’en réjouir.) Goût de la
134
er, s’épanouir dans les trois dimensions (esprit,
âme
, chair) sans perdre l’instinct, s’attacher, se flétrir. Correspond a
135
t du viol. Impuissance sexuelle par méfiance de l’
âme
. (L’Intellectuel, au mauvais sens, est celui qui est coupé de l’âme,
136
el, au mauvais sens, est celui qui est coupé de l’
âme
, ou ne sait qu’en faire et la nie.) Conception de l’amour : l’équili
137
Seigneur ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton
âme
, et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandemen