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-mêmes, hostiles à toute coopération, voir à tout
échange
avec le monde extérieur. Car le fédéralisme, s’il aime les diversités
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r par traités avec leurs voisins, de s’ouvrir aux
échanges
. Ce nationalisme local, ce chauvinisme cantonal (on l’appelle chez no
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e œuvre au sein de laquelle s’opèrent alors mille
échanges
d’une infinie complexité. Voilà ce que j’appelle une harmonie fédéral
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entée à l’extrême, mais liée par tout un réseau d’
échanges
spirituels avec ses grands voisins — constitue la raison suffisante d
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mêmes, hostiles à toute coopération, voire à tout
échange
avec le monde extérieur. Car le fédéralisme, s’il aime les diversités
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r par traités avec leurs voisins, de s’ouvrir aux
échanges
. Ce nationalisme local relève de la même mentalité que le totalitaris
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e d’une œuvre au sein de laquelle s’opèrent mille
échanges
d’une infinie complexité. Voilà ce que j’appelle une harmonie fédéral
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e œuvre au sein de laquelle s’opèrent alors mille
échanges
d’une infinie complexité. Le totalitaire, lui, trouve plus simple et
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écoles, qui créent peu à peu des réseaux variés d’
échanges
européens. Rien de tout cela n’est inutile. Et tout cela qui paraît s
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entres, les besoins généraux du continent, et les
échanges
toujours plus intenses à l’échelle mondiale. Ce processus dans lequel
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recherches scientifiques, hygiène, enseignement,
échanges
universitaires, voyages, etc.) La défense de l’Europe est assurée par
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ue de production, de répartition intérieure, et d’
échanges
à l’échelle mondiale. Elle soutient et harmonise les plans d’aménage
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tions européennes. Elle tient à garder libres ses
échanges
avec le monde au-delà de l’Europe. En s’associant au Marché commun, p
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grandes unions, l’interdépendance des pays et les
échanges
intensifiés, la Suisse doit enfin déclarer une attitude constructive,
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monde, elles noueront entre elles des relations d’
échanges
aussi nombreuses et fréquentes que possible. Elles seront amenées à s
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anthropes, managers et trustees qui suggèrent des
échanges
de cartes postales, de sourires officiels, de vœux pieux et jumelés.
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santé de la culture a toujours consisté dans ses
échanges
, dans son régime de circulation, son métabolisme. Les échanges se com
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s son régime de circulation, son métabolisme. Les
échanges
se composent d’importations et d’exportations, entre lesquels on cher
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par ce petit exemple qu’une certaine balance des
échanges
intellectuels peut nous être parfaitement favorable. (D’ailleurs, si
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serait le même prix !) Quand je vous dis que les
échanges
, c’est la santé de la culture, je pense aussi aux universités. La plu
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our déterminer à quel moment ce que j’appelle des
échanges
— et qui est la santé même — devient un exode qu’il faudrait déplorer
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. Vous avez parlé de l’exode dont une part est un
échange
, mais aussi une part est dommageable. La question est celle-ci : quel
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empêcher l’exode quand il n’a pas le caractère d’
échange
mais qu’il sanctionne un manque d’organisation ou de structure qui in
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tion revient à savoir que faire pour empêcher cet
échange
à sens unique que l’on appelle exode par rapport à une certaine commu
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ns toucher les causes. Si on estime qu’un certain
échange
devient un exode dommageable, je suis d’avis qu’on essaie d’y remédie
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vu de génies américains qui viennent en Europe en
échange
de nos Félix Bloch, Agassiz, Ammann et tout cela. M. Lalive : Vous n
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e plaindre d’un exode, quand — je me répète — les
échanges
qui sont normaux et bénéfiques, tendent à devenir un exode qui est un
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pération. Leur mode de contact normal n’est pas l’
échange
, mais le choc. Bakounine l’avait déjà dit, il y a cent ans exactement
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monde, elles noueront entre elles des relations d’
échanges
aussi nombreuses et fréquentes que possible. Elles seront amenées à s
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r leurs résultantes variables, par la densité des
échanges
et des transports, toutes choses mobiles, indépendantes du sol. Pour
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iste d’autrefois. C’est maintenant une question d’
échanges
, de “flux” diraient les scientifiques : “il faut chercher à être auss
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it pour autant décidée la structure des réseaux d’
échange
et groupes de production économiques, ni des institutions sociales et