1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 es, défauts auxquels Montherlant n’a pas toujours échappé , mais qu’il domine dans l’ensemble et entraîne dans l’allure puissant
2 e lui, elle y resta immobile. Et son âme divine s’ échappa , pleurant ses jeux, et les génisses, et la chère plaine. De tels pas
3 hoses sentimentales. Le tragique de la vie ne lui échappe pas. Il en parle, il le chante avec pathétique. Mais c’est parce qu’i
2 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
4 hrase suivante aux considérations précédentes lui échappe , qu’il y voie une de ces marques. Stéphane a oublié jusqu’au mot de p
3 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
5 le sens de son monologue entre terre et ciel lui échappe . Il jette encore quelques cris brisés : « Ô vieux démon ! — je te rap
6 accord qui m’ouvre un vrai silence : déjà je leur échappe — je t’échappe ô douceur de vivre ! Tout redevient autour de moi insu
7 vre un vrai silence : déjà je leur échappe — je t’ échappe ô douceur de vivre ! Tout redevient autour de moi insuffisant, transi