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ents « humains ». Comment veut-on que le chrétien
échappe
à cette espèce d’équivoque ? Dès qu’il fait de la politique, il est b
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isons-le, n’est pas un art : toute forme pure lui
échappe
. Elle est toujours en porte-à-faux, appuyée sur des faits qu’on n’a p
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lique et la presse, auxquelles nul d’entre nous n’
échappe
, ni ne songe à échapper. La classe et la race : voilà peut-être les d
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quelles nul d’entre nous n’échappe, ni ne songe à
échapper
. La classe et la race : voilà peut-être les divinités maîtresses de c
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nde obéit à des lois générales et historiques qui
échappent
à notre volonté et sur lesquelles nos révoltes sont sans prise, puisq
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Dénoncer leurs méfaits, ce n’est pas encore leur
échapper
. Les nier purement et simplement, ou désirer leur destruction, c’est
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airement à la divinisation de l’État. Tout ce qui
échappe
à l’emprise de l’État devient dès lors suspect, hérétique, coupable —
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origine de quelque chose d’autre, dont la réalité
échappe
encore à ceux que récitent Marx : une utopie sans doute, — du moins v
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ne croyez. Il y a par exemple une chose qui vous
échappe
: c’est que vos « réalismes » n’ont pas plus d’effet, pratiquement, q
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s honteuses et moralement dégradantes. Bien peu y
échappent
: ce ne sont pas ceux qui réussissent. Dans le cas d’autres pays, qui
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L’homme qui raisonne, c’est l’homme qui cherche à
échapper
à la terreur originelle, aux liens sacrés du groupe, et par là même à