1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
1 ortures transfigurantes, de la nuit abyssale où l’ éclair de l’amour illumine parfois une face immobile et fascinante, — ce nou
2 tis joyeux ! Ceux qui veillent sur eux Disent : l’ éclair avant la mort. Mais moi pourrai-je Nommer cette mort éclair ? Ô mon a
3 nt la mort. Mais moi pourrai-je Nommer cette mort éclair  ? Ô mon amour, ma femme, La mort a sucé le miel de ton haleine Et n’a
4 mitive qu’il ignore, mais dont il redécouvre, par éclairs , la vertu sacrale et mortelle. Du Tristan de Thomas par Pétrarque et