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ortures transfigurantes, de la nuit abyssale où l’
éclair
de l’amour illumine parfois une face immobile et fascinante, — ce nou
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tis joyeux ! Ceux qui veillent sur eux Disent : l’
éclair
avant la mort. Mais moi pourrai-je Nommer cette mort éclair ? Ô mon a
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nt la mort. Mais moi pourrai-je Nommer cette mort
éclair
? Ô mon amour, ma femme, La mort a sucé le miel de ton haleine Et n’a
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mitive qu’il ignore, mais dont il redécouvre, par
éclairs
, la vertu sacrale et mortelle. Du Tristan de Thomas par Pétrarque et