1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 calamistré d’une marque d’auto. Et ces rires, ces éclats de voix ! Mais il y a depuis un moment une musique de radio on ne sai
2 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
2 au sommet des buildings, se perd dans un dernier éclat d’avion fuyant, et c’est la ville alors qui s’empare du ciel, s’en fa
3 ureaux neigeaient des pages d’annuaires lacérées, éclats d’or dans le feu des projecteurs. Puis ce fut la ruée vers les bars o
4 voquant l’infini, dans la nuée des plumages, et l’ éclat des costumes, et la joie rayonnante du sourire des étoiles : c’est le
3 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
5 , sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain pâli. Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une dentelle d’
6 luxe américain d’ocres, de roses, d’argents et d’ éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées traînent, les ponts s’ét
7 aduire, qui signifie en Amérique le brillant ou l’ éclat d’une femme, d’une robe ou d’une cérémonie, tout ce qui « vous en met
4 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
8 rsemée de vieilles lettres, de bouts de bois et d’ éclats de verre. Des tas de neige noircissent au rebord des trottoirs. Les e