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de la Réforme ne sont pas à nos yeux des chefs d’
école
; ni des docteurs dont la pensée fait loi, une fois sanctionnée par l
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et les anabaptistes, contre les occultistes de l’
école
d’Agrippa, contre les Rabelais et Des Périers qui abandonnent la caus
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t la somme de la problématique particulière à une
école
— est-ce trop dire — qui va de Schleiermacher à Harnack, en passant p
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ecours à une piété plus libre. On sait que pour l’
école
de Barth, tout au contraire, le rôle de la théologie sera purement et
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places, et leurs mairies, leurs hôpitaux et leurs
écoles
, et leurs hôtels et leurs journaux, et même leurs embarras de circula
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sont tirées de l’oubli au xxe siècle, si tant d’
écoles
antiques de sagesse et de mystiques voient leurs livres sacrés publié
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et la technique, l’industrie, la grande presse, l’
école
obligatoire, la conscription universelle et les nationalismes qui en
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ulture. Car ce sont bien des faits de culture : l’
école
, aux trois degrés, la presse, les livres, qui nous font croire, depui
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itable et naturel de toute l’évolution humaine. L’
école
, surtout secondaire, apprend depuis un siècle aux jeunes Européens de
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is, la jeune Islande vingt-sept, et Malte, dix. L’
école
nous a raconté que chacun de nos États-nations correspond à une langu
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a l’affaire des frontières naturelles, chères à l’
école
. Cette notion prend son origine sous Louis XIV, dans les guerres cont
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us soyons « cultivés » ou non. Toutes les grandes
écoles
d’art, d’architecture, de musique, de philosophie, de littérature et
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nales. Les grands courants européens, les grandes
écoles
d’art et de pensée : c’est l’unité de notre culture commune. Mais qu’
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tionales qui nous diversifient vraiment, mais les
écoles
de pensée, les styles de vie. Supprimez les frontières nationales, vo