1 lui-même le poète lyrique — rattaché encore à une école provençale qui est, à l’origine, de propulsion musicale, donc romane-

2 ace, mais les lettrés et les médecins de la jeune école seront comblés. Gundolf décrit l’œuvre de Paracelse comme un drame de

3 tour infligent un blâme à l’inspecteur ; car si l’ École se met à « décourager l’orgueil patriotique », où allons-nous ? Quelq

4 on croirait une préfiguration des logiciens de l’ école de Vienne. Et la discussion sur le temps, au cours du « Thé loufoque 

5 e à soumettre le cas aux docteurs indiscrets de l’ école viennoise ? Le beau sujet ! Ils ne l’ont pas manqué. Pour eux aussi,

6 il semblerait que les négations du moi selon les écoles orientales correspondent simplement aux névroses de la psychanalyse f

7 sourit et nous laisse « nos » problèmes. Trois écoles de l’amour Si l’amour est le premier moteur non seulement de l’hom

8 our. Nous n’invoquerons ici que les seconds. L’ école chrétienne Dans une vue chrétienne de l’homme, l’amour de soi est

9 utes les sociétés qui ne sont pas un ordre.) L’ école iranienne Il n’existe plus de communauté humaine, d’unité de civil

10 naliste, ne peut évidemment que se récuser.) L’ école orientale La plupart des doctrines hindoues, et l’unanimité des éc

11 lupart des doctrines hindoues, et l’unanimité des écoles bouddhistes, comme on l’a vu, nient la personne ou la survolent, ne c