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rne : cubisme, Apollinaire, ballets de Diaghilev,
École
de Paris, groupe des Six, surréalisme, Proust, Gide et Valéry, et leu
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s foyers de création. Nous entendons par là : les
écoles
de pensée et d’art ; les revues et les groupes d’études ; les festiva
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et préjugés hérités d’une Histoire faussée par l’
école
, agressivité frustrée, et surtout angoisse de perdre son identité. El
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nérations de petits Européens qui ont passé par l’
école
, depuis un siècle. La table ronde ne pouvait manquer d’en parler à so
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omme on le fait, c’est supposer quelque manière d’
école
, de style commun, de ton d’époque dont je n’aperçois pas de témoignag
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ïques et arabes, iraniens et manichéens, et vingt
écoles
métaphysiques simultanées, sans primauté, ni succession, ni exclusive
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gi qu’il en devient vertu. On l’enseigne dans les
écoles
sous le nom de « patriotisme ». Il est admis que tout orgueil, toute
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as. Il s’agit simplement de l’antagonisme de deux
écoles
isolées et hostiles, totalement exclusives l’une de l’autre. Seule l’
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cent maisons Il donne à la ville une église, une
école
, un hôpital Il fait dessécher les marais du pays Il établit des foire
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arrêtés à l’un ou à l’autre. D’où trois ou quatre
écoles
, dont voici les maximes. 1. Il ne faut plus de guerres franco-alleman
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ou dans les préjugés sentimentaux inculqués par l’
École
, confirmés par la Presse et cultivés par les intellectuels. L’Europe
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indispensable. Je demande qu’on institue dans les
écoles
publiques des cours de lecture des journaux. Proposition toute nature
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n’enseigne pas l’histoire toute récente dans les
écoles
. J’ai dû expliquer l’autre jour encore à une jeune Française de vingt
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emps après, je fusse informé de l’existence d’une
école
du zen dont les maîtres parviendraient à ceci : atteindre le but sans