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able, qu’ils apprenaient pendant l’hiver dans des
écoles
nommées « menestrandises » — (les conservatoires de l’époque, note Ci
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ne à cette époque est singulièrement curieux) une
école
, celle du trobar clus, dont l’ambition était de voiler la pensée sous
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rend un sens cryptographique. Je veux parler de l’
école
du trobar clus, déjà citée, et que M. Jeanroy définit en ces termes :
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e pas qu’à l’époque du surréalisme florissait une
école
psychiatrique dont on n’a pu retrouver les ouvrages : le fascisme, su
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on par les pamphlets de ses adversaires que cette
école
proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèmes surréalistes
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attitude déterministe : or le surréalisme fut une
école
littéraire avant tout ; on ne retrouve le terme de libido dans aucun
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qu’il a suffi que quelques-uns des chefs de cette
école
lisent Freud : les disciples se sont bornés à imiter la rhétorique de
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existence dès le ixe siècle, dans l’islam, d’une
école
de mystiques poètes qui devaient avoir plus tard pour principales ill
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aton — qu’il connaissait par Plotin, Proclus et l’
école
d’Athènes — un continuateur de Zoroastre. Son néo-platonisme était pa
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les titres de quelques traités mystiques de cette
école
donnent une idée : Le Familier des Amants, Le Roman des Sept Beautés…
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me iranien, dont s’inspiraient les mystiques de l’
école
illuminative de Sohrawardi, une jeune fille éblouissante attend le fi