1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 ours dans les foyers suisses et dans les salles d’ école , le souvenir de trois députés des cantons fondateurs de la Confédérat
2 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
2 in que la proportion des ingénieurs (formés par l’ École d’ingénieurs de Lausanne, et par le Polytechnicum de Zurich) et celle
3 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
3 hère suisse, famille, sociétés, syndicats, armée, écoles . « Tout Suisse est pédagogue », répètent les auteurs suisses. Et cela
4 ique est au collège. » Mais son collège était une école du chrétien, sa discipline celle de la vérité biblique transcendante
5 loppe parallèlement à la première, est celle de l’ école nouvelle. Elle se réclame de deux grands ancêtres suisses, Rousseau (
6 e tous. » Quels qu’aient pu être les excès de l’«  école nouvelle » à ses débuts, ou les conséquences extrêmes qui furent parf
7 ites démocraties modernes. Les expériences de l’«  école nouvelle » se sont bornées jusqu’ici au secteur privé (kindergarten o
8 imaire est à la fois obligatoire et gratuite. Les écoles privées ou l’enseignement familial sont autorisés, mais à la conditio
9 ormés puissent passer avec succès les examens des écoles publiques. En fait, presque tous les enfants suisses passent par l’éc
10 rassage des classes (renouvelé plus tard dans les écoles de recrues) est un des traits particuliers de la démocratie suisse mo
11 munes qui gardent le soin de l’administration des écoles et de la surveillance des classes. Elles nomment à cet effet des « co
12 alifiés à juste titre de « traits d’union entre l’ école , les familles et la cité »32. Si variés que soient les types d’écoles
13 laïque. À l’école primaire succèdent d’une part l’ école complémentaire (« cours du soir » ou « cours civique ») où l’on ensei
14 ie, de sciences appliquées ; et d’autre part, les écoles secondaires. Ces dernières sont tantôt communales ou cantonales, tant
15 a Confédération à « établir une Université et une école polytechnique ». Il est remarquable que seule la seconde ait été créé
16 gation pour tout citoyen valide de passer par une école de recrues, soit qu’il reste soldat, soit qu’il devienne officier, pr
17 suisse considère son armée, avant tout, comme une école pour adultes : école de civisme, d’égalité, de virilité, et aussi de
18 armée, avant tout, comme une école pour adultes : école de civisme, d’égalité, de virilité, et aussi de culture physique. Un
19 cé, il se développe trop… Il faudra le mettre à l’ école , dit le père. » 31. Théologien et critique vaudois du xixe siècle.
20 ue vaudois du xixe siècle. 32. V. Moine, « Les écoles suisses », in La Démocratie suisse, 1948, p. 329. 33. En 1882, le pe
21 ionnées, il faut ajouter l’École polytechnique, l’ École d’ingénieurs de Lausanne, l’Université commerciale de Saint-Gall, l’I
4 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
22 orientale, avec son hôtellerie et ses fermes, ses écoles et leurs centaines d’étudiants, ses œuvres d’art, ses ateliers, son h
23 et essentiels quant à la doctrine de l’État, ni d’ écoles ou de factions irréductibles, comme celles dont les luttes séculaires
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
24 it déjà, dans cette même diversité la véritable «  école de l’amitié » : Qu’il est donc réjouissant que tous les Suisses ne s
25 eu veuille nous la conserver — voilà la véritable école de l’amitié ! Et quand une même appartenance politique vient à s’épan
26 versités. Le dialecte a gagné du terrain dans les écoles , à partir de 1933, en manière de protestation contre l’Allemagne hitl
27 ns le concert des voix germaniques. Bodmer et « l’ école suisse », Jean de Haller, Gessner, Lavater, ont dominé pendant plusie