1
ours dans les foyers suisses et dans les salles d’
école
, le souvenir de trois députés des cantons fondateurs de la Confédérat
2
in que la proportion des ingénieurs (formés par l’
École
d’ingénieurs de Lausanne, et par le Polytechnicum de Zurich) et celle
3
hère suisse, famille, sociétés, syndicats, armée,
écoles
. « Tout Suisse est pédagogue », répètent les auteurs suisses. Et cela
4
ique est au collège. » Mais son collège était une
école
du chrétien, sa discipline celle de la vérité biblique transcendante
5
loppe parallèlement à la première, est celle de l’
école
nouvelle. Elle se réclame de deux grands ancêtres suisses, Rousseau (
6
e tous. » Quels qu’aient pu être les excès de l’«
école
nouvelle » à ses débuts, ou les conséquences extrêmes qui furent parf
7
ites démocraties modernes. Les expériences de l’«
école
nouvelle » se sont bornées jusqu’ici au secteur privé (kindergarten o
8
imaire est à la fois obligatoire et gratuite. Les
écoles
privées ou l’enseignement familial sont autorisés, mais à la conditio
9
ormés puissent passer avec succès les examens des
écoles
publiques. En fait, presque tous les enfants suisses passent par l’éc
10
rassage des classes (renouvelé plus tard dans les
écoles
de recrues) est un des traits particuliers de la démocratie suisse mo
11
munes qui gardent le soin de l’administration des
écoles
et de la surveillance des classes. Elles nomment à cet effet des « co
12
alifiés à juste titre de « traits d’union entre l’
école
, les familles et la cité »32. Si variés que soient les types d’écoles
13
laïque. À l’école primaire succèdent d’une part l’
école
complémentaire (« cours du soir » ou « cours civique ») où l’on ensei
14
ie, de sciences appliquées ; et d’autre part, les
écoles
secondaires. Ces dernières sont tantôt communales ou cantonales, tant
15
a Confédération à « établir une Université et une
école
polytechnique ». Il est remarquable que seule la seconde ait été créé
16
gation pour tout citoyen valide de passer par une
école
de recrues, soit qu’il reste soldat, soit qu’il devienne officier, pr
17
suisse considère son armée, avant tout, comme une
école
pour adultes : école de civisme, d’égalité, de virilité, et aussi de
18
armée, avant tout, comme une école pour adultes :
école
de civisme, d’égalité, de virilité, et aussi de culture physique. Un
19
cé, il se développe trop… Il faudra le mettre à l’
école
, dit le père. » 31. Théologien et critique vaudois du xixe siècle.
20
ue vaudois du xixe siècle. 32. V. Moine, « Les
écoles
suisses », in La Démocratie suisse, 1948, p. 329. 33. En 1882, le pe
21
ionnées, il faut ajouter l’École polytechnique, l’
École
d’ingénieurs de Lausanne, l’Université commerciale de Saint-Gall, l’I
22
orientale, avec son hôtellerie et ses fermes, ses
écoles
et leurs centaines d’étudiants, ses œuvres d’art, ses ateliers, son h
23
et essentiels quant à la doctrine de l’État, ni d’
écoles
ou de factions irréductibles, comme celles dont les luttes séculaires
24
it déjà, dans cette même diversité la véritable «
école
de l’amitié » : Qu’il est donc réjouissant que tous les Suisses ne s
25
eu veuille nous la conserver — voilà la véritable
école
de l’amitié ! Et quand une même appartenance politique vient à s’épan
26
versités. Le dialecte a gagné du terrain dans les
écoles
, à partir de 1933, en manière de protestation contre l’Allemagne hitl
27
ns le concert des voix germaniques. Bodmer et « l’
école
suisse », Jean de Haller, Gessner, Lavater, ont dominé pendant plusie