1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 rend un sens cryptographique. Je veux parler de l’ école du trobar clus, déjà citée, et que M. Jeanroy définit en ces termes :
2 e pas qu’à l’époque du surréalisme florissait une école psychiatrique dont on n’a pu retrouver les ouvrages : le fascisme, su
3 on par les pamphlets de ses adversaires que cette école proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèmes surréalistes
4 attitude déterministe : or le surréalisme fut une école littéraire avant tout ; on ne retrouve le terme de libido dans aucun
5 qu’il a suffi que quelques-uns des chefs de cette école lisent Freud : les disciples se sont bornés à imiter la rhétorique de
6 l’œuvre, dès le ixe siècle, dans l’islam, d’une école de mystiques poètes qui devaient avoir plus tard pour principales ill
7 aton — qu’il connaissait par Plotin, Proclus et l’ école d’Athènes — un continuateur de Zoroastre. Son néo-platonisme était pa
8 les titres de quelques traités mystiques de cette école donnent une idée : le Familier des Amants, le Roman des Sept Beautés…
9 me iranien, dont s’inspiraient les mystiques de l’ école illuminative de Sohrawardi une jeune fille éblouissante attend le fid
10 e courtoise des Arabes ; influence de Freud sur l’ école surréaliste). Les polémiques parfois fort vives provoquées par ma thè
11 Inde entière, tant hindouiste que bouddhiste, une école ou mode religieuse dont l’influence s’épanouira pendant des siècles.
12 nelle, pur principe, sans visage et sans nom. Une école mystique du tantrisme tardif, le Sahajiyâ, « amplifie l’érotique ritu
13 des traces indiscutables de manichéisme. Selon l’ école néo-cathare française, les hérétiques du xiie siècle auraient connu
14 sées que firent à ma thèse minima les partisans d’ écoles au moins diverses, me voici ramené par une sorte de spirale au-dessus
15 Clairvaux et les cathares, mais aussi Abélard, l’ école de Chartres, et plusieurs hérétiques très dangereusement voisins de l
16 ut (p. 100) la description du « service » selon l’ école Sahajiya. Cette interprétation de Guiraut Riquier est exacte. On peut
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
17 er » la mystique, et cela bien avant Freud et son école . Voici donc le dilemme que pose l’amour-passion : si l’on n’y voit qu
18 re l’obligation de faire élever leurs enfants à l’ école d’État « parcoururent les campagnes complètement dévêtus et chantant
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
19 Palerme, où Frédéric II tient sa cour, fleurit l’ école dite des Siciliens. Dans quelle mesure cette poésie courtoise du Sud
20 ce stil nuovo, le style savant et caressant que l’ école du Nord — novatrice mais qui revient aux origines valables — oppose à
21 riqueurs. Ce qui est frappant dans cette nouvelle école , c’est qu’elle rénove consciemment le langage symbolique des troubado
22 éalise, c’est l’instinct. Je songe à une certaine école de romanciers anglo-américains, qui fleurit dans l’entre-deux-guerres
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
23 vant elle », répond Foch. L’hérésie de l’ancienne école , précise-t-il, c’était d’avoir voulu « faire de la guerre une science
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
24 à des mesures d’ordre eugénique. On ouvrit une «  école de fiancées » pour les futures femmes des S. S. (Schutz Staffeln : es
25 istère de la propagande. En 1938, on institua des écoles analogues pour toutes les femmes allemandes. Et l’on décréta que les
26 les travaux tout récents de C. G. Jung et de son école sur la Sophia, Sagesse et Vierge-Mère éternelle212 ; et par ailleurs