1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 ce au succès durable de ses Étymologies, dans les écoles du Moyen Âge. À l’inverse de Lactance et de Jérôme, qui avaient privé
2 er. Suit une théorie des climats, qui rappelle l’ école d’Hippocrate et qui fera fortune jusqu’au xixe siècle ; on la retrou
3 spirituelles. Selon Alcuin (735-804), maître de l’ école du palais, éducateur, théologien et rhéteur de cour, elle est le cont
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
4 afin que, grâce à cette subordination graduée, l’ école du Christ, le temple du Christ et le royaume du Christ soient solidem
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
5 que les jacobins exécrés ? Mme de Staël est de l’ école fédéraliste, qui est aussi œcuménique : Il y a dans l’esprit humain
6 (comme le lui reprocheront les nationalistes de l’ école de Charles Maurras) la « trouée » par laquelle la France fut ouverte
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
7 otectrice, et se distribuaient dans le cercle des écoles chrétiennes. Si la science avait peu d’étendue, elle n’était pas du m
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
8 i s’est peu à peu substitué sur le drapeau de nos écoles à l’adoration des saintes idées, au grand problème éducationnel qui s
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
9 es de l’Ouest sur la Russie, puis celles des deux écoles antagonistes qui divisèrent les élites russes touchant l’Europe, pour
10 opéen d’aujourd’hui, les thèses communes aux deux écoles (décadence européenne, messianisme russe à la fois religieux et socia
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
11 l’excès de son génie national, comme la véritable école et le théâtre du scepticisme dans ce qu’il a de plus attrayant. La fo
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
12 signaler — retenons un style de pensée qui a fait école , et un parti pris pessimiste qui a fourni ses références à toute une
13 ment sectionné, chez nos contemporains élevés à l’ école du « mais-aussi-en-outre ». Tout est interprété, analysé, résolu, mêm
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
14 umaine est mise à nu, à propos de l’amour, dans l’ École des Femmes, dans Phèdre. Mais rien de ce qu’ont produit les peuples d
15 l’héritage chrétien qui est invoqué. Deux grandes écoles d’historiens de la culture s’opposent, sur ce sujet, non sans violenc
16 rreurs symétriques auxquelles s’exposent les deux écoles  : Les historiens modernes, en particulier les Anglais, ont eu fréque
17 ne se contente pas de renvoyer dos à dos les deux écoles . Il a décrit mieux que personne l’influence décisive de l’Église sur
18 ienté ou l’Europe, est devenue lieu commun pour l’ école catholique de la première moitié du siècle. Personne ne l’a mieux réf
19 e philosophie spéculative qu’on enseigne dans les écoles  », le Discours de la Méthode oppose « une pratique, par laquelle, con
20 e Hegel, et dans les acrobaties dialectiques de l’ École aristotélicienne. Il y a toujours quelque chose de nouveau sous le so