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s rationalistes et les athées, mais par toute une
école
théologique qui domine le protestantisme, et qui se trouve être celle
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iste fait la force, mais aussi la faiblesse d’une
école
qui a su redresser la pensée proprement protestante et qui en a fait
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sien. « L’existentialisme, écrit le chef de cette
école
, n’est pas autre chose qu’un effort pour tirer toutes les conséquence
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acun de ses actes. Je disais un jour au chef de l’
école
existentialisteo : « En somme votre philosophie peut se résumer dans
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américaine met « Sartre » au lieu de « chef de l’
école
existentialiste ». p. L’édition américaine ajoute : « It is unimagin
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n, et non de vertueuse indignation, à l’égard des
écoles
nouvelles, dépourvues de principe d’intégration, de commune mesure, d
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ur universaliste, il est nécessaire que, dans les
écoles
confessionnelles, un enseignement suffisamment poussé des autres conf
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évangéliques de nos jours ? Dès les bancs de « l’
école
du dimanche », tout jeune protestant est nourri aux sources mêmes du
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res mosaïques est attribuée par Wellhausen et son
école
à des disciples des grands prophètes. Ce serait donc le prophétisme,
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voudrait nous écrire une histoire des principales
écoles
modernes d’un point de vue strictement théologique ? Une histoire qui
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ant à dire sur la renaissance endémique, dans nos
écoles
d’avant-garde, des déviations les plus connues du mysticisme, du gnos
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tandis que le libéralisme tendait à se mettre à l’
école
de leurs complaisances, et par suite ne leur donnait rien. Exemple :
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ont cru devoir se mettre, comme ils disent, « à l’
école
de la Nature », et ne plus accepter d’autre guide que la sincérité vo
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tions ou les excès représentés par telle ou telle
école
artistique reflètent ces hérésies, ou peut-être en procèdent, — fût-c
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t en Angleterre et en Allemagne, théologiens de l’
école
hégélienne, ou adversaires du christianisme, tous, dans un commun acc
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oir que toutes les « vérités » qu’établissent les
écoles
successives sont relatives et provisoires, ont été dépassées l’une ap