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ainsi protégés contre l’illusion — propagée par l’
école
pour le compte de l’État […] — selon laquelle l’Europe serait une add
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ions d’électricité, la vie culturelle, la vie des
écoles
supérieures, la formation professionnelle, les théâtres, demandent qu
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ialisme, que tant de gens croient inventé par une
école
parisienne durant l’occupation allemande. Tant Kierkegaard que Marx s
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ersité à proprement parler, il n’y a plus que des
écoles
professionnelles juxtaposées dans un même lieu, qui n’ont presque plu
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indispensable. Je demande qu’on institue dans les
écoles
publiques des cours de lecture des journaux. Proposition toute nature
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que l’on a pu soutenir que le véritable but de l’
école
, sous la IIIe République, c’était de former des lecteurs pour les jou
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r les personnes. 17 janvier 1969 Pour Napoléon, l’
école
ne devait plus former des personnes, mais des soldats pour la nation.
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’au contraire, le citoyen était là pour l’État. L’
école
napoléonienne, pourrait-on dire d’après la même forme de pensée, n’es
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e phénomène dominant du siècle — alignement par l’
école
, le recrutement, la presse et la technique. Tous ces courants collect
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stence humaine au xixe siècle étaient l’armée, l’
école
, la presse et la technique. Vous trouverez ces quatre critères très r
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e (l’armée aligne les corps et habitue à obéir, l’
école
aligne les esprits, la presse aligne les curiosités) et la technique
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tat stato-national sont principalement l’armée, l’
école
, l’information, la technique. Son emprise est proportionnelle à la dé
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forme ; en partie aussi, l’anarcho-syndicalisme d’
école
espagnole ; enfin, le fédéralisme, ou les réalisations qu’on a essayé
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culturelles des Européens, du très grand nombre d’
écoles
de pensée, d’art, qui s’y sont manifestées, de l’extrême richesse en
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n même temps que l’enseignement étatique dans les
écoles
: les manuels d’histoire fournissent quantité d’exemples. Le principe
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mmune de y pour l’hygiène mentale des enfants des
écoles
, on dit en réalité : la commune de x, quoique plus riche que celle de
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ou de la civitas romaine, mais aussi de ce que l’
École
française du xxe siècle appellera « la personne » ; c’est-à-dire l’i
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vembre 1966 Après Boèce, il y eut toutes sortes d’
écoles
de penseurs, de moines, de grands intellectuels du Moyen Âge jusqu’à
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ue j’appelle le fédéralisme, est ce que toute une
école
de philosophes de la vie politique entre les deux guerres mondiales a
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n n’ose plus les avouer et les enseigner dans les
écoles
, on se trouve hors d’état d’établir une politique, des plans d’avenir
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t qu’il y aura toujours en Occident, deux grandes
écoles
politiques. Pour l’une que j’appelle l’école unitaire, l’idée dominan
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des écoles politiques. Pour l’une que j’appelle l’
école
unitaire, l’idée dominante, le but dernier qui prime tout quand il y
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on cite, que l’on fasse apprendre aux enfants des
écoles
en France ; ce que l’on sait de Louis XIV et de son règne, ce sont le
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ralisme international ; et l’on sait que ces deux
écoles
vont jouer un rôle extrêmement important au xxe siècle. 26 novembre
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u milieu du xixe siècle, Tocqueville écrit que l’
école
de la liberté, c’est la commune. On a oublié tout cela jusque très ré
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que imposé par le moyen de l’école primaire, de l’
école
secondaire, mais très souvent aussi des universités ; budgets culture