1
s mesurables, comme ce serait le cas au plan de l’
économie
ou de l’état social par exemple ? Je cherchais à cerner les options p
2
et de modes de vie, mais il y a les religions, l’
économie
, les formes politiques, etc.), interdisent toute union politique, et
3
nt cessé d’être nationales au xxe siècle ? Notre
économie
, nos techniques, se développent en dépit des nations, qui ont au plus
4
lus finement, Bertrand de Jouvenel, comparant les
économies
des États-Unis et de l’URSS, a montré que l’entreprise communiste n’a
5
aits conduit à la conclusion suivante : « C’est l’
économie
capitaliste des États-Unis qui a passé à la seconde phase, et c’est l
6
s-Unis qui a passé à la seconde phase, et c’est l’
économie
communiste l’URSS qui se trouve dans la première. » « Il n’empêche qu
7
s réalités de base et des problèmes présents de l’
économie
, incroyablement négligée par l’École, doit devenir partie intégrante
8
nne. L’honnête homme vote, et sa voix détermine l’
économie
de son pays, que ce soit d’une manière directe comme en Suisse, ou pl
9
ges et pays sujets, toutes unités de langues et d’
économies
fort diverses. Ce long processus d’agrégations contractuelles ou forc
10
pas même la raison, d’ailleurs bien faible, de l’
économie
… » Et Rossi concluait en montrant les progrès « mémorables » réalisés
11
à ce point prédestinée. Du seul point de vue de l’
économie
des échanges, elle n’est rien si elle n’est pas l’animatrice d’une ci
12
peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose l’
économie
moderne. La situation n’a guère changé depuis ce congrès, qui marqua
13
ions, sa religion, sa philosophie, sa morale, son
économie
et ses arts. On a beau citer le Moyen Âge comme une période bénie d’u
14
damnée d’autre part par les conditions mêmes de l’
économie
, de la technique et de la culture au xxe siècle, le nationalisme n’e
15
es institutions, sa religion, sa philosophie, son
économie
et ses arts. On a beau citer le Moyen Âge comme une période bénie d’u
16
es institutions, sa religion, sa philosophie, son
économie
et ses arts. On a beau citer le Moyen Âge comme une période bénie d’u
17
Culture et technique (juillet 1961)ae af L’
économie
occidentale d’aujourd’hui est dominée par l’industrie ; or le moteur
18
intermédiaire et à son sujet, que la culture et l’
économie
de l’Occident communiquent le plus directement, au niveau de la créat
19
sives. Elles dépendent, non point des « lois de l’
économie
» dont parlaient Marx et les théoriciens bourgeois de l’utilitarisme,
20
rt de la technique moderne, et par suite de notre
économie
, nous ne trouvons pas le désir de gain, ni le besoin de confort, ni l
21
x de l’utilitarisme, ce ne sont pas les lois de l’
économie
et encore moins les besoins matériels — quand les 2/3 de l’humanité s
22
ue la haine. Quatrième et dernière conclusion : L’
économie
occidentale qui sait bien qu’elle dépend de la technique, doit compre
23
lture créatrice. Il est vital pour l’avenir de l’
économie
en Occident, de soutenir la culture sous toutes ses formes : cette cu
24
appartient donc conjointement à la culture et à l’
économie
, qui trouvent là leur commune responsabilité. ae. Rougemont Denis
25
gnifiantes — la politique, la guerre, l’action, l’
économie
, et sans doute la morale. Pourtant, nul n’était moins que lui tenté p
26
enne Si l’Europe a pu dominer le monde par son
économie
, ses armes et ses techniques, de la Renaissance jusqu’à la Deuxième G
27
n ingénieur, un technocrate et un théoricien de l’
économie
peuvent vous faire en trois jours un plan géométrique d’unification r
28
lturelles, décuplées par une aide puissante que l’
économie
seule peut leur donner, l’indispensable union économique ne pourra ja
29
Bien au contraire. Le bon usage et la santé de l’
économie
technicienne, selon ses meilleurs spécialistes, veulent à la fois des