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la morale quotidienne dégradée, l’industrie et l’
économie
tout entière suspendues à l’auto, qui est elle-même suspendue aux res
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de la guerre, dont tous sont nés. Ils ont créé l’
économie
industrielle sur la base et dans le cadre, d’ailleurs occidental, des
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ement hétérogènes, telles que langue et sous-sol,
économie
et histoire. Il faudrait un miracle pour que ces réalités coïncident
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la coïncidence territoriale de l’idéologie, de l’
économie
, de l’état civil et de la culture serait proprement délirante si elle
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il s’agisse de régions nouvelles, ou créées par l’
économie
et par des réalités qui ne tiennent pas compte des frontières. À mesu
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ui n’ont rien à voir ensemble, comme la langue, l’
économie
, ce qu’il y a dans le sous-sol, l’état civil, l’histoire, les dévelop
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es Russes, et c’est réalisé en bonne partie par l’
économie
de nos États de l’Ouest, qui est envahie par les Américains qui rachè
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la ne correspond pas tout à fait aux besoins de l’
économie
industrielle qui, par une intégration très poussée et une concentrati
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illes se sont agrandies démesurément et que notre
économie
a secrété certaines organisations très complexes. Vous dites que l’éc
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es organisations très complexes. Vous dites que l’
économie
exige une certaine concentration et conduit à faire des grandes ville
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e des grandes villes. Je mets cela en question. L’
économie
n’a rien à exiger, l’économie est là au service des hommes. Si on vou
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cela en question. L’économie n’a rien à exiger, l’
économie
est là au service des hommes. Si on vous dit que les dimensions optim
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e les dimensions optimums d’une ville exigent une
économie
décentralisée, l’économie doit se décentraliser. Si l’on continue, co
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d’une ville exigent une économie décentralisée, l’
économie
doit se décentraliser. Si l’on continue, comme on l’a fait jusqu’à pr
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s apparaît menaçant pour nos libertés, pour notre
économie
, pour la nature, et finalement pour la survie de l’espèce humaine. Qu
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notions d’impératif technique et d’impératif de l’
économie
se révèlent à leur tour valeurs fausses et même d’un ridicule moliére
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ement abaissées devant les valeurs matérielles. L’
économie
, l’armement, le prestige deviennent les facteurs essentiels de la vie
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velles ? » On peut d’ailleurs en dire autant de l’
économie
, dont « la zone planée trouverait sa justification ultime dans le fai
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it de libérer l’homme (création des automatismes,
économie
de l’énergie, accumulation des richesses…) et de la rendre ainsi disp
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de la vie économique, c’est dire qu’une véritable
économie
« planée » exclut à priori l’étatisme. Pour que cette élimination de
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économique fasse appel aux ressorts humains de l’
économie
: solidarité, collaboration, initiative, émulation, lutte, risque, pr
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état civil de ses habitants, mais aussi quant à l’
économie
, à l’énergie, à l’éducation et même à l’écologie. Or, dans la mesure
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ndes sans commune mesure. Mais si la politique, l’
économie
, les langues n’ont de toute évidence aucune frontière commune — ce se
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de Procuste de leurs frontières les langues et l’
économie
, les ressources du sous-sol et l’état civil, la culture et les idéolo
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son que la langue, les frontières politiques et l’
économie
ont des rythmes de fluctuation non comparables : d’ordre millénaire p
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cé des frontières, et décennal, au plus, pour les
économies
industrielles. Cette analyse nous ramène à un dilemme d’une crudité g
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attitudes mentales, morales, spirituelles, dont l’
économie
en général et le Budget en particulier ne font que traduire en chiffr
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Mais voici qui est encore plus fou : elle jette l’
économie
de nos démocraties occidentales dans la dépendance humiliante de quel
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e et qui eût déjà permis environ 15,8 milliards d’
économies
: 1° supprimer les formalités de douanes et passeports au départ et à
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sloqué essayait de reconstruire ses villes et une
économie
de paix, on vit aussi renaître dans tous nos pays d’une part des init
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anges, qui sont la santé de la culture comme de l’
économie
, et, de la sorte, élever le niveau général. Mais elle déborde largeme
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otre Institut, non seulement en histoire, mais en
économie
, en science politique, en anthropologie philosophique, sur les problè
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es lettres, de la médecine ou de l’histoire, de l’
économie
libérale ou marxiste, ou de la science politique en soi, soit à mille
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le détient la clé de l’évolution du Monde ; que l’
économie
obéit aux mêmes nécessités chez tous les peuples, quelles que soient
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pproche des problèmes de la cité. Il implique une
économie
dérivée de la culture et des accidents de l’histoire répercutés sur n
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les fondements séculaires de la culture et notre
économie
moderne, plus de liens et bien plus mystérieux, que nos brillants thé
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onomistes ont tant de mal à faire fonctionner les
économies
nationales car la seule idée d’« économie nationale » est une absurdi
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er les économies nationales car la seule idée d’«
économie
nationale » est une absurdité. Prenons l’exemple du lac Léman, puisqu
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r les socialistes : c’est l’idée selon laquelle l’
économie
commande tout. Jean Monnet, quels que soient ses mérites, ne raisonna
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urelles. À partir de là, l’intendance suivrait… L’
économie
, c’est l’intendance. Sinon, comment oserions-nous attendre des popula
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ne n’a jamais dit à quel moment il faudrait que l’
économie
s’arrête de croître. Est-ce 10 %, 7 %, 3 % par an ? Personne ne le sa
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ou quinze ans ; or nous pouvons faire déjà 30 % d’
économie
tout de suite ; depuis la crise, on a fait 20 % en Suisse comme on a
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us avons entre les mains de quoi détruire toute l’
économie
européenne et il n’est pas dit que nous ne le ferons pas. » Comment H
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est le même. Et pourtant on parle de relance de l’
économie
! C’est une aberration totale, une absurdité. En relançant on ne parv
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s xixe et xxe siècles ont été marqués par les «
économies
d’échelle » qui ont conduit à une concentration toujours de plus en p
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pe […], sans cesse confronté avec le devenir de l’
économie
mondiale ». C’est à Montreux enfin que naît l’idée d’un rassemblement
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éens. Lacune fort importante dans ce complexe : l’
économie
. Le plan Marshall, entré en vigueur dès 1946, avait donné naissance à
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e des congrès, d’une coopération instituée de nos
économies
nationales — la française et l’allemande d’abord — d’où devait s’ensu
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stitutions et des règles communes. 3. Organiser l’
économie
d’abord, sur un plan supranational, et la politique suivra. L’efficac
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et l’ensemble des mesures décidées pour relever l’
économie
française. 26. Publié dans L’Europe de demain, Éditions de la Baconn