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iers-monde reprend à son compte le modèle « d’une
économie
industrielle incapable de maîtriser la pollution et qui provoque la r
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t d’illustrer d’une manière convaincante, par une
économie
écologique et des institutions personnalistes, l’exemple salutaire du
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opéens d’aujourd’hui n’est pas d’abord celle de l’
économie
et du libre-échange commercial, mais bien celle des chances de la vie
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u tout : À chaque instant de la géographie, de l’
économie
de l’histoire, on a buté sur des réalités précises, vivantes, concrèt
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en présence d’une révolte de l’écologie contre l’
économie
(ou de la volonté de vivre contre la volonté de profit) et que le phé
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les aux USA : la décentralisation de l’État, de l’
économie
et des activités culturelles leur paraît la condition même d’une rena
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Il n’est pas né de quelque stade spécifique de l’
économie
, ni d’une géographie éminemment variable. Il n’est pas né de telle ét
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ondé sur quelque infrastructure « matérielle », d’
économie
, de classes, ou de « moyens de production », le phénomène européen pe
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uvetage de notre environnement, et celui de notre
économie
, la restauration du civisme, la paix elle-même : UER, régions, PME, a
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opéenne. Certes, Mme de Staël n’a pas prévu que l’
économie
, au xxe siècle prendrait le pas non seulement sur la culture, mais s
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ar la fiscalité et plus tard par l’École. Reste l’
économie
industrielle, dont les premières manifestations ne semblent pas organ
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peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose l’
économie
moderne. À défaut d’une union librement consentie, notre anarchie pré
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, définie par l’habitude, par les coutumes, par l’
économie
aussi. Leur développement au cours de l’histoire a malheureusement co
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ues l’un sur l’autre. Cela arrange très bien leur
économie
de faire des dépenses fantastiques d’armement, cela leur permet de do
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e type de ceux qui voulaient baser l’Europe sur l’
économie
. Lorsqu’il me parlait un peu, de temps en temps, de ce que je faisais