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its et les cœurs. Et le reste suivra — l’armée, l’
économie
— quand chacun de nos peuples aura compris qu’il s’agit de se sauver
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ement une réalité économique, on oublie que notre
économie
n’est pas tombée du ciel ni sortie du sol, et qu’elle ne tire pas son
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is bien de nos cerveaux, donc de notre culture. L’
économie
moderne est dominée par la technique, laquelle est née du mariage de
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révisible et sans tenir compte des « besoins de l’
économie
»), d’autre part pour orienter la société, c’est-à-dire formuler ses
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om. Car sans elle, les écoles professionnelles, l’
économie
, et la société tout entière sont menacées de perdre le sens, en même
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péens est que ces régions, définies surtout par l’
économie
, se définissent aussi par la culture et quelquefois par l’ethnie comm
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’avoir les mêmes frontières, comme la langue et l’
économie
, l’état civil et l’exploitation du sous-sol, ou pire encore, les idéo
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e faux problèmes, résultant de la seule fiction d’
économies
dites nationales, qui ne correspondent à rien d’économique. Mais ce q
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ic, tâches politiques au sens originel du mot : l’
économie
, l’écologie et l’habitat, les transports, les relations globales avec
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il est clair que l’Europe des marchandages entre
économies
étatiques ne peut pas entraîner d’adhésions enthousiastes. Les jeunes
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eunesse, dans le monde entier, ne relève pas de l’
économie
, et encore moins de la politique au sens étroit et partisan du terme.
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économiques et intégrer nos entreprises dans une
économie
concertée à l’échelle continentale (comme peuvent le faire les cinqua
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gument de la concurrence étrangère à laquelle « l’
économie
suisse » ne pourrait « résister » que grâce à l’appoint des travaille
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: car dans une Europe intégrée, il n’y a plus « d’
économie
suisse », il y a seulement une économie européenne. Mais si « s’ouvri
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plus « d’économie suisse », il y a seulement une
économie
européenne. Mais si « s’ouvrir à l’Europe » signifie seulement import
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t, paradoxalement, à s’enfermer dans un concept d’
économie
« nationale », par définition non intégrée. On ne peut pas avoir le b
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érales spécialisées par leur fonction : finances,
économie
, justice, transports, recherches scientifiques et universités, armée,
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férant par la langue et la race, la confession, l’
économie
et les traditions historiques — on voit très mal ce qui empêcherait d
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étudier l’histoire, la géographie, l’écologie, l’
économie
— l’économie doit être une des branches principales des programmes —
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stoire, la géographie, l’écologie, l’économie — l’
économie
doit être une des branches principales des programmes — dans ces dime
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. Une bourde du général de Gaulle Pourquoi l’
économie
et l’écologie ? On ne comprend pas le monde actuel sans l’économie. S
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logie ? On ne comprend pas le monde actuel sans l’
économie
. Sur dix votations proposées au peuple suisse, huit au moins posent d
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es citoyens n’ont pas été préparés. En étudiant l’
économie
, les élèves verraient bien que rien n’y justifie les frontières. Idem