1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
1 et arriérée, mais devant 46 partis organisés, une économie très complexe et très malade, un territoire surpeuplé, des traditions
2 obligation de proclamer la primauté pratique de l’ économie et de la politique sur tout autre facteur. On s’ingénia, dans les dis
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
3 é bourgeoise notamment. Or il est clair qu’aucune économie ne peut survivre bien longtemps à la ruine de la mesure spirituelle q
3 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
4 plus frappant aujourd’hui que le destin de notre économie . C’est qu’entre la crise matérielle et la crise de la pensée, il y a
5 . Déjà l’on subordonne l’invention aux lois d’une économie en faillite. On refuse le brevet aux inventeurs de mécaniques suscept
6 ine du désordre proclamé aujourd’hui dans toute l’ économie de la planète. Mais quelle législation, quelle méthode eût osé prévoi
7 cours (ou à l’État) l’office du choix, faisant l’ économie de l’acte et de l’engagement personnel. Comme si cette pensée systéma
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
8 lite sociale, c’est-à-dire d’une culture et d’une économie qui n’ont plus de mesure commune depuis cent-cinquante ans déjà. Nous
9 e reconstruction qui se fondent par exemple sur l’ économie  : ils pourront bien produire des millions de machines, mais ils seron