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, pour répondre aux besoins culturels, ethniques,
économiques
, écologiques et sociaux de l’Européen, en cette fin du xxe siècle. E
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ché commun, naissait la problématique des régions
économiques
de l’Europe des Six, puis des Neuf, et s’annonçait par quelques plast
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rapport à l’évolution sociale, politique et même
économique
de cette fin du xxe siècle, quelque chose de relativement anachroniq
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un se cache derrière un grand arroi de nécessités
économiques
, d’impératifs technologiques calculés pour les besoins de la cause, l
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r « d’impératifs technologiques », « d’impératifs
économiques
», de nécessités de défense nationale, etc., autant de mythes derrièr
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au profit d’une prétention compétitive au niveau
économique
. C’est cela qui est mauvais. 6. En ne faisant plus la différence entr
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14. Vous vous attaquez au Pouvoir, la croissance
économique
, vous êtes à votre manière un révolutionnaire. Vos idées sont très su
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se laisser berner par ces fariboles d’impératifs
économiques
ou politiques. Le monde dans lequel nous vivons, c’est nous qui l’avo
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e l’appareil étatique sur la vie complète, la vie
économique
, la vie quotidienne, la vie personnelle de chaque individu. Cette mai
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it nous conduire, non seulement d’un point de vue
économique
mais aussi social et moral. Nous disions que si des gens comme Hitler
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considérée. Les régions écologiques, les régions
économiques
, les régions culturelles ou linguistiques n’ont pas nécessairement le
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onduise à la plus terrible catastrophe politique,
économique
et culturelle ?… Si les peuples de l’Europe le veulent, la Paneurope
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ment, l’association agira surtout dans le domaine
économique
. C’est la question la plus pressante. Je crois que l’on peut y obteni
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sant. Briand préconise donc l’union des intérêts
économiques
d’abord, sur la base d’un respect religieux de la souveraineté absolu
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e sociale, l’utilisation intégrale des ressources
économiques
en faveur de la collectivité tout entière et l’épanouissement autonom
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nde formation politique et le plus vaste ensemble
économique
de notre temps. Jamais l’histoire du monde n’aura connu un si puissan
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otif : la prospérité à rétablir par l’intégration
économique
est celui qui donnera lieu à l’ouverture du Marché commun dès 1957. L
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ition, qu’elle souhaite que les pouvoirs purement
économiques
de sa Commission soient élargis aux domaines du social, de la culture
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rchill, que d’en exclure pour des motifs purement
économiques
, les pays scandinaves et l’Ibérie, les Balkans et l’Autriche, et même
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nt raison. Il faut donc s’attendre que le pouvoir
économique
et politique des USA devienne toujours plus dominant. Mais d’autre pa
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e des Européens dans leurs conditions d’existence
économique
d’abord, puis d’indépendance politique, et finalement de survie pure
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conduisant à des formes diverses d’asservissement
économique
, puis politique, crise de civilisation laissant prévoir des désastres
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n de l’Europe, seul moyen de résister à l’emprise
économique
ou politique des Super-Grands, mais plus encore : seul moyen de résis
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toutes définitions : linguistiques, historiques,
économiques
, écologiques, géographiques. C’est sur elles que l’Europe se fera, no
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la volonté, je cite : « d’harmoniser la politique
économique
avec l’image de l’homme à laquelle nous aspirons et les conditions po
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ales nucléaires n’est pas technologique, même pas
économique
, et il est encore moins financier : car à ces trois niveaux, la cause
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6, plusieurs groupes de recherches sociologiques,
économiques
, écologiques et historiques16 ont été formés pour étudier méthodiquem
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’histoire, l’écologie, l’ethnie, les possibilités
économiques
, etc., mais bloquée par la souveraineté des États régnant de part et
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constatons d’abord que les problèmes écologiques,
économiques
, énergétiques, éducatifs, sociaux et culturels se multiplient et s’ex
30
es politiques centenaires21, et celui des espaces
économiques
au mieux décennal. Vouloir imposer une frontière fixe et commune à de
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uation de la formule stato-nationale aux réalités
économiques
, sociales et culturelles du xxe siècle qui se « déclare » dans les r
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signifie pas — bien entendu — que les inégalités
économiques
doivent être maintenues à tout prix, mais seulement que la définition
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que la définition d’une région par ses problèmes
économiques
est insuffisante. c) La grande presse s’occupe de temps à autre, à l’
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les régions sur les seules réalités (inégalités)
économiques
. Les partis ethniques en viennent nécessairement à revendiquer des vi
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lus) de leur ethnie, pour des raisons d’équilibre
économique
. (Ainsi le Front de libération breton revendique pour des motifs écon
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t de libération breton revendique pour des motifs
économiques
, Rennes et Nantes, qui ne parlent pas ou plus breton…) d) Il ne saura
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ion d’un virtuel ensemble naturel ou ethnique, ou
économique
, par deux ou trois souverainetés nationales, comme c’est le cas de la
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rbois s’y trouvant englobées. Quant aux fonctions
économiques
et commerciales, il est clair qu’elles ne sauraient être localisées d
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ettant que chaque fonction régionale (écologique,
économique
, de recherches scientifiques, d’université, etc.) soit exercée par un
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pel à des compétences reconnues dans les domaines
économique
, écologique, éducatif, scientifique… Rien n’empêchera que ces hommes
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logique ou culturelle, ou d’instances d’arbitrage
économique
. Pour franchir la dernière étape vers la fédération continentale, il
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part du pétrole mondial. Telles sont les données
économiques
, politiques et militaires du problème aux yeux des dirigeants occiden
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rands problèmes auxquels nous sommes confrontés —
économiques
, énergétiques, monétaires, militaires… — se révèlent de plus en plus
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nationales. En nouant des accords industriels et
économiques
… Ce fut l’idée de Jean Monnet, dont je salue la mémoire, qui imaginai
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tionales ne peuvent résister ni à la colonisation
économique
des États-Unis, ni lutter contre une intervention militaire qui viend
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ire, après une brève période de crises violentes,
économiques
, énergétiques, sociales ou politiques, voire religieuses. À ces crise
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peuvent en fait : — ni résister à la colonisation
économique
par les USA ; — ni repousser une intervention militaire de l’Est ; —
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pper longtemps encore aux dangers de colonisation
économique
par l’Ouest ou d’invasion militaire par l’Est, de ruine financière et
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servons que les solutions possibles aux problèmes
économiques
, énergétiques ou écologiques de la société occidentale ne coïncident
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epuis 1948, on a peu avancé, sauf dans le domaine
économique
de neuf pays. Le Marché commun prétend faire l’Europe autour de l’éco
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étrole), l’Europe est menacée de mort. Aucune loi
économique
ne nous empêche de changer. Ce ne sont que nos désirs que l’on appell
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ire, après une brève période de crises violentes,
économiques
, énergétiques, sociales ou politiques, voire religieuses. ⁂ À ces cri
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t en fait : — ni résister seule à la colonisation
économique
par les USA ; — ni repousser seule une intervention militaire de l’Es
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pper longtemps encore aux dangers de colonisation
économique
par l’Ouest ou d’invasion militaire par l’Est, de ruine financière et
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rt terme. ⁂ Les solutions possibles aux problèmes
économiques
, énergétiques ou écologiques de la société occidentale ne coïncident
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graphs » à l’appui, qu’il n’est que deux systèmes
économiques
et sociaux possibles — scientifiquement parlant — à savoir le stalini
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les motifs immédiats de notre union sont d’ordre
économique
et politique, il n’est pas moins certain que l’unité de l’Europe est
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successifs de nos frontières nationales, l’union
économique
et politique de nos peuples peut et doit aujourd’hui s’édifier. Résum
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que. Il s’agit d’une interview donnée à une revue
économique
, en 1975, par le PDG de Novatome (organisme chargé de construire Supe
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té et le rendement décroissant des systèmes, tant
économiques
que physiques, industriels que militaires ; et que l’autonomie des en
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ales nucléaires n’est pas technologique, même pas
économique
, et il est encore moins financier : car à ces trois niveaux, la cause
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lle les conditions ecclésiastiques et politiques,
économiques
et sociales, nous dirions aujourd’hui : culturelles au sens large. Ce
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de ses deux autres commissions, la politique et l’
économique
. J’ai demandé qu’on me donne une preuve que l’on prend la culture au
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ort beaucoup plus profond pour réaliser une unité
économique
et politique de l’Europe. Quelques années plus tard, tout a changé d
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’après-guerre, de la reconstruction, et de l’élan
économique
qui en était résulté. Elles ont vu se produire, dans les domaines les
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rant les vingt-deux années de la « reconstruction
économique
», de 1945 à 1968, ne sera nullement la suite des deux traumatismes q
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ns — qu’elle se veuille sociale, ou scientifique,
économique
ou politique, implique que l’on s’entende sur la nature des besoins h
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res. Toute réflexion sur les finalités d’un ordre
économique
mondial (qu’on ne saurait dire « nouveau », puisque sans précédent) d
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aujourd’hui, pratiquement, en termes de politique
économique
, plutôt que sur la base d’enquêtes scientifiques. Elle tend à faire c
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ique plutôt que stratégique, et humaine plutôt qu’
économique
, des besoins véritables de l’humanité ; — information — indépendante
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e d’eau potable. Selon une étude de la Commission
économique
pour l’Europe, l’eau des rivières et des nappes souterraines est déjà
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ales nucléaires, d’où accroissement des activités
économiques
sur les zones côtières, d’où nouveau risque de déséquilibre écologiqu
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ent donc tous d’une priorité accordée aux profits
économiques
d’une part, aux « nécessités de la défense nationale » d’autre part.
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nnes ? Parmi les mesures à la fois écologiques et
économiques
qui s’imposent sans discussion à nos populations, voici quelques exem
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ant une somme d’hérésies. Du conflit politique et
économique
, résultent pratiquement la guerre et la révolution. Du conflit moral
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il faut se la représenter. La santé politique et
économique
s’appelle fédéralisme. La santé morale et civique s’appelle personnal
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s ceci : que le fédéralisme implique dans l’ordre
économique
la vitalité des syndicats ouvriers et patronaux, et la substitution a
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rieur à toute espèce de considération utilitaire,
économique
. Et de même pour nos autres rêves constants. Agir à distance, parler
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faire, notre affaire. 62. « Les robots, enjeux
économiques
et sociaux », La Documentation française, 1981, p. 196. 63. Cf. nota
80
alement Robert Aron né juif. « Spirituel d’abord,
économique
ensuite, politique à leur service », disait l’une des premières devis
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; et nous tirions de cet axiome les conséquences
économiques
et politiques : abolition de la condition prolétarienne par l’institu
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ce que l’on peut savoir sur les acteurs sociaux,
économiques
et culturels de la région, créée en quelque sorte par cette migration
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chons. Nous les appelons par exemple « impératifs
économiques
» ou « techniques ». Chaque pays s’évertue à expliquer que sa balance
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Tout cela va très mal finir. Suivant les théories
économiques
ou militaires, cela peut durer cinquante ou cent ans. Mais on n’y cou
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certains cas, mais le plus souvent écologiques ou
économiques
. Le chômage, par exemple, ne peut être combattu que dans le cadre des
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— utilité certaine, nuisances possibles, aspects
économiques
et sociaux à court ou à moyen terme — mais à leurs relations avec les
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turologie dite scientifique dans leurs prévisions
économiques
et politiques. Qu’il s’agisse de l’auto, du pétrole ou de l’énergie,
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Denis de, « Information n’est pas savoir », Revue
économique
et sociale, Lausanne, octobre 1981, p. 310-320.
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— utilité certaine, nuisances possibles, aspects
économiques
et sociaux à court ou moyen terme —, mais dans ses relations avec les
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urologie dite scientifique, dans leurs prévisions
économiques
et politiques. Qu’il s’agisse de la crise de l’auto, du pétrole ou de
91
matique ? Après avoir donné mon exposé à La Revue
économique
et sociale , j’ai découvert un texte de Platon, qui correspond exacte
92
la société. Suite à un article paru dans La Revue
économique
et sociale , nous lui avons posé quelques questions. »