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tructure sociale, comme ceux qui ont une fonction
économique
ou politique bien définie, précisément à cause de cela, l’écrivain re
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jourd’hui les questions matérielles, les « lois »
économiques
, les remous de la politique, le cinéma, ou l’Art lui-même. Quant à sa
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aussi quotidiennes et obsédantes que les réalités
économiques
qui, d’ailleurs, en dépendent dans une certaine mesure, comme le conf
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évitable : je veux parler de l’état d’arriération
économique
, sociale et politique des régions qui devinrent pour un temps colonie
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nde, l’Europe aurait donc signé son arrêt de mort
économique
et de rapide déshumanisation ? Les adversaires du colonialisme auraie
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duisant nos complexes personnels. Devant la crise
économique
et la fièvre nationaliste du tiers-monde, devant la crise morale de l
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et selon les modes, géographiques ou climatiques,
économiques
ou démographiques. Ce que j’appelle le phénomène européen se signale,
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ues, et ce fut le début de l’expansion séculaire,
économique
, politique et religieuse, d’un petit cap de l’Asie rongé de mers et d
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’était la conquête militaire, la prise du pouvoir
économique
ou politique, enfin la colonisation. De siècle en siècle, les contine
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bjectives se lisent sur nos mappemondes et cartes
économiques
, en attendant d’être photographiées par quelque satellite artificiel
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des formes d’existence sociale, et une puissance
économique
sans précédent, c’est cela l’Europe, c’est cela qui a fait le monde.
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mais notre cap de l’Asie n’avait connu croissance
économique
aussi rapide que depuis qu’il a renoncé, bon gré, mal gré, à ses poss
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dimensions, mais par son potentiel démographique,
économique
et culturel. Cependant, le sort d’une civilisation ne dépend pas seul
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oyant aux faits, une fois de plus : la prospérité
économique
de l’Occident et sa vitalité intellectuelle, que rien ne dépasse et n
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e aux pires excès du chauvinisme et à des mesures
économiques
ou politiques visiblement indéfendables du point de vue de leurs prop