1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Contre la culture organisée (avril 1952)
1 ent de plus en plus subordonnées à des nécessités économiques et politiques, voire militaires, et donc aux mécanismes de l’État. À
2 subsister seul, au triple point de vue politique, économique et militaire, cela est vrai plus encore au point de vue de la culture
2 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
3 ope doit être unie pour des raisons politiques et économiques . Ces raisons, bien connues désormais, sont la menace russe, la prépon
4 grand public de la nécessité d’une collaboration, économique ou militaire par exemple, c’est la sauvegarde du patrimoine culturel
5 pure et simple intégration (qui serait bien plus économique ) à l’un des deux empires qui se disputent le monde ? — on ne peut lui
6 imer et de rendre forte par le moyen de son union économique et politique, est une réalité de civilisation, une réalité culturelle
7 ement de nos sciences, et donc de notre puissance économique . Car l’Europe, ce n’est pas le chemin de fer, l’électricité et le cha
8 le seul jeu des partis et des groupes d’intérêts économiques se plaignent du manque de passion dont les masses et même les élites
3 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
9 e festivals). Cette méthode s’est montrée la plus économique , la plus rapide et la plus efficace aussi pour préserver les entrepri
4 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en avril 1953 (avril 1953)
10 ent sauver nos trop petites nations de l’asphyxie économique  ? Comment nous replacer à l’avant d’un progrès que d’autres nous disp
5 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aller et retour (avril 1953)
11 )l Parmi toutes les raisons de faire l’Europe, économiques , militaires, culturelles, il y a celle-ci, qui n’est pas négligeable 
12 communistes s’unissent pour dénoncer « l’emprise économique des USA », représentée à leurs yeux par le plan Marshall et ses suite
6 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
13 ditions préalables (comme de rétablir l’équilibre économique , le potentiel militaire, la santé civique de telle ou telle nation) q
7 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Perspectives du CEC (juillet octobre 1953)
14 écessaire du succès final et total de notre union économique et politique consiste donc dans la vitalité de l’idée d’une Europe un
15 Il faut des congrès politiques. Il faut des plans économiques . Mais il faut en même temps des foyers où l’on maintienne, où l’on ra
8 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
16 ions dans le monde, notre indépendance politique, économique et peut-être morale. Et certes, nous perdrons tout cela, tout ce qui
17 nstruction de l’Europe avançait, mais lentement : économique , politique, militaire. Et les résistances croissaient à la mesure des
18 , et celui de compenser la perte de nos positions économiques dans le monde, la table ronde a conclu à la nécessité « d’opérer un c
9 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales : trois questions, trois réponses (mai-juillet 1954)
19 lème de l’Union n’est-il pas surtout politique et économique  ? Et la crise que subit aujourd’hui l’effort d’intégration politique
10 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
20 mais par d’implacables circonstances techniques, économiques et politiques. Il en résulte que la souveraineté nationale n’a plus g
21 s, publiciste grec : Dans les domaines militaire, économique et politique, les organisations internationales existantes (telles qu
11 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (octobre-novembre 1954)
22 rd morales, intellectuelles et spirituelles, puis économiques et sociales, qui par nature restent invisibles à l’œil des agences de
12 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Orienter les espoirs européens (décembre 1954-janvier 1955)
23 re un tableau réaliste des changements sociaux et économiques que produirait l’union ; de canaliser les bonnes volontés anxieuses e
13 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
24 nouveau, qui viendra se substituer aux problèmes économiques et sociaux d’aujourd’hui, portant alors au premier plan les grandes q
14 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
25 valeurs fondamentales menacées, et ses positions économiques compromises. Mais surtout, l’Europe se sent impuissante devant cette
26 de 200 millions de Russes, et dans la dépendance économique de 160 millions d’Américains. La raison de cet apparent paradoxe est
27 ions dans le monde, notre indépendance politique, économique , et par suite morale. Tout ce qui fait le sens même de nos vies. L
28 s milieux aussi variés que possible : politiques, économiques , intellectuels, sociaux, nationaux ou internationaux. Chacun devrait
15 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
29 55 que « l’établissement de relations politiques, économiques et culturelles plus larges entre les pays, indépendamment de leur rég
16 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Relance européenne ? (février 1956)
30 r groupe de six États, déjà signataires du traité économique instituant la CECA. On tente de créer maintenant d’autres « autorités
31 nt d’autres « autorités spécialisées », de nature économique , visant à ouvrir un grand marché commun (plan de Messine) ou à permet
32 la méthode des autorités spécialisées est surtout économique  ; celle de l’agitation pour une Constituante essentiellement politiqu
17 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À pied d’œuvre (avril-mai 1956)
33 n Churchill, déclarait : Les organes juridiques, économiques et politiques que devra se donner l’Union ne sauraient fonctionner au
18 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
34 la bombe H, le conflit Est-Ouest, la conjoncture économique , le problème colonial, l’automation, l’électronique, l’énergie nucléa
35 qui le guident et qui déterminent ses structures économiques et politiques ; — comment ces forces se manifestent ou agissent à son
19 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Ce n’est pas au pied du mur… (juin-juillet 1956)
36 ue Dokumente et au Collège d’Europe pour un atlas économique et culturel de l’Europe. Elle a décerné des bourses importantes à cin
20 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Au seuil d’une année décisive (février 1957)
37 de notre culture étant lié à l’union politique et économique de nos peuples, comme l’âme est liée au corps ; ni plus ni moins. L’a
38 ous faut faire l’Europe pour assurer notre avenir économique , et parce qu’il n’est aucun de nos pays qui puisse encore s’en tirer
21 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
39 utre et accueillant. Une ère de grande prospérité économique s’ouvre pour la Suisse. Les capitaux étrangers s’accumulent dans nos
40 S, se partagent désormais la puissance politique, économique et militaire qui était autrefois celle de l’Europe. Les Russes domine
41 ation de l’Organisation européenne de coopération économique (OECE), groupant 16 pays, dont la Suisse. Mais le continent reste div
42 indépendance politique et retrouver sa prospérité économique . Si l’Europe s’unissait, disent-ils, elle formerait une fédération de
43 a Diète helvétique avant 1848. Désirant une union économique plus étroite, six pays (France, Allemagne, Italie, Hollande, Belgique
44 donc de l’ensemble de l’Europe pour sa prospérité économique . Elle en dépendrait aussi pour sa défense contre une éventuelle attaq
45 n statut de neutralité. Cependant, les nécessités économiques poussent la Suisse à coopérer toujours plus étroitement avec les orga
46 tres pays d’Europe, mais coopère aux institutions économiques européennes. Ses intérêts propres sont inséparables de ceux de l’Euro
22 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
47 t de l’éducation du public qu’à celui des aspects économiques . Deux de ces options se trouvaient mises en discussion par notre ques
48 re existence, le politique et l’institutionnel, l’ économique et l’artistique, nous retrouverons toujours le même type de problèmes
23 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Promesses du Marché commun [Avant-propos] (décembre 1957)
49 plications générales du Marché commun dans la vie économique de nos pays, ainsi que les répercussions possibles du traité sur les
50 uivante : « Que se passerait-il si les frontières économiques étaient supprimées dans toute l’Europe ? » À mi-chemin entre le cours
24 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Centre européen de la culture : ce qu’il fait — d’où il vient — où il va (février 1958)
51 le Marché commun n’est qu’un ensemble de mesures économiques . Et certes, il ne concerne que six pays, alors que le CEC tient à gar
52 ation plus poussée. À l’heure où les institutions économiques et politiques de l’Europe naissante proclament leur volonté de concen
25 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Un essai de synthèse (mai 1958)
53 partis, dix-huit États, et d’innombrables groupes économiques , et toutes leurs presses, qui entretiennent le tohu-bohu de gaffes pa
26 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La création d’un Centre européen d’enseignement postuniversitaire (juillet 1958)
54 questions européennes : historiques, politiques, économiques , culturelles. De même, l’Institut prévu par l’art. 9 du traité de l’E
27 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Carlo Curcio, Europa, Storia di un’idea (septembre 1959)
55 toire de l’Europe dans ses réalités politiques ou économiques . Il entend seulement nous donner une histoire des prises de conscienc
28 1960, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC (1959-1960)
56 successifs de nos frontières nationales, l’union économique et politique de nos peuples peut et doit aujourd’hui s’édifier. On no
57 ation plus poussée. À l’heure où les institutions économiques et politiques de l’Europe naissante proclament leur volonté de concen
29 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
58 ditionnels ou modernes, sociaux, éthiques ou même économiques , et vous verrez qu’ils se rattachent tous, en Europe, à des problèmes
30 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
59 ar rapport aux réalités quotidiennes, sociales et économiques , aux principes et idéaux qui inspirent la civilisation européenne dan
60 ressément à détruire ses fondements politiques et économiques . Cette difficulté et cette déficience, communes à nos enseignements c
61 , de l’action de la presse locale, des conditions économiques et commerciales dont il s’agit de tenir compte, etc. En somme, ce man
62 n pays aux programmes existants : 1° Les réalités économiques sont encore trop négligées ; or, sans connaissances économiques, comm
63 nt encore trop négligées ; or, sans connaissances économiques , comment comprendre la société où l’on vit, juger de sa politique et
64 e « démocratie », et que toutes ses « victoires » économiques , scientifiques et sociales sont dues à son socialisme, parce qu’il co
65 ue ne tienne pas un compte suffisant des réalités économiques  ! Mais il est clair aussi que, dans ces conditions, le civisme réel n
66 t au plan européen seulement que les perspectives économiques et politiques de notre siècle peuvent être vues dans leurs vraies dim
31 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
67 is pas comment la vie politique et les nécessités économiques interfèrent avec les principes et l’idéologie. Je ne voyais pas les g
68 ne et l’équilibre européen (1916) et sur L’Avenir économique de la Pologne (1917). Son Petit Manuel de la politique anglaise, publ
69 qui démontrerait, à coup d’exemples et d’analyses économiques , l’opportunité d’une union de l’Europe. Mais Ernie Bevin, sollicité d
70 and, il créait la Ligue européenne de coopération économique (d’abord nommée Ligue indépendante, dans l’idée de ne pas en exclure
71 de présider la séance plénière sur les questions économiques , aux côtés de Winston Churchill, et de me donner sa réponse. M’ayant
72 co-germaniques, sont formulées dans la résolution économique de La Haye. Le programme politique, le programme culturel et éducatif
73 r pied les grands congrès politique de Bruxelles, économique de Westminster, social de Rome, et culturel de Lausanne. Grâce à eux,
32 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
74 qui compromettent les ententes politiques et même économiques . Ils peuvent provoquer des heurts violents, une dégradation des valeu
75 de nombreuses revues scientifiques, pédagogiques, économiques , etc. La plupart des publications (revues ou volumes) des instituts n
76 e part les responsables des relations politiques, économiques , techniques, il y a aujourd’hui un grand vide. Il n’y a pas de relais
77 ts politiques d’abord) ; ou d’organismes purement économiques (qui négligent les aspects spirituels et psychologiques des problèmes
78 u chômage mais aux loisirs créateurs ; solidarité économique et culturelle du genre humain.   3. Trouver, ou former, des interlocu
79 ommuns à tous les pays de la région : intégration économique ou politique ; manuels et enseignement de l’histoire et du civisme ;
33 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue des cultures [interventions] (avril 1962)
80 errière nos conflits politiques et nos inégalités économiques , il y a des réalités beaucoup plus durables et profondes, qui sont no
81 s qui opposent nos régions sur le plan politique, économique et social. La méconnaissance de ces réalités « culturelles » est ce q
82 buer à une meilleure entente politique —· et même économique — nous ne pourrons le faire qu’en travaillant à « améliorer le terrai
34 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux-mille volumes sur l’Europe (février 1963)
83 s qui a précédé et qui soutient les constructions économiques et politiques, lesquelles servent de sujet à la plupart des thèses so
84 pements prochains et nécessaires de l’intégration économique et du fédéralisme politique. Mais quoi ! le succès d’une idée se mesu
85 cialisé dans le domaine de l’économie et du droit économique . Il semble donc qu’une politique de l’édition « européiste » n’est pa
35 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Enquête sur l’enseignement civique dans les pays européens [Avant-propos] (mai 1963)
86 la Journée européenne des écoles, des Communautés économiques européennes et du CEC, la formation d’un groupe ad hoc fut décidée, e
36 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [Avant-propos] (juillet 1963)
87 es députés, des dirigeants de comités d’expansion économique ou de la chambre de commerce, et enfin les représentants des plus imp
37 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
88 ées d’une manière assez arbitraire à des réalités économiques , linguistiques et culturelles qui n’ont pas du tout les mêmes frontiè
89 ’une culture vivante et créatrice sans un support économique . Pour illustrer ce deuxième point, le support économique indispensabl
90 que. Pour illustrer ce deuxième point, le support économique indispensable au développement de la culture, je voudrais simplement
91 vital entre l’évolution culturelle et l’évolution économique . Notons que ces évolutions ne sont jamais parties d’une base « nation
92 nal qui leur offre une tradition, une subsistance économique , un public, bref, une réponse à leur travail créateur. Et ceci nous c
93 ble d’une population active, y compris ses forces économiques , à la création d’un grand foyer de production, qui serait la métropol
94 n phare, pour définir une métropole culturelle et économique . Je trouve cette image parfaitement exacte en ceci qu’elle évoque un
95 ival, des revues, une grande université, un essor économique très puissant auquel on a souvent fait allusion ici, des groupements
96 siste en un attrait, un climat, et des ressources économiques , dont la combinaison assure la production et le rayonnement. Le clima
97 problème de la métropole à la fois culturelle et économique , et le problème des responsabilités de ceux qui entreprendront de l’a
38 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
98 des domaines les plus variés de la vie publique, économique et sociale, d’autre part. Condition générale d’admission : avoir prou
99 s sociales et la coordination de leurs politiques économiques . Ce qui nous manque encore, c’est une étude quasi ethnographique des
39 1965, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe et le monde [Introduction] (février 1965)
100 on passa au premier rang : rétablir la prospérité économique du continent : et cela conduisit à la création de la CECA, puis du Ma
101 ralentir et presque de bloquer tout le processus économique de la consommation, de l’investissement et même de la fécondité. De m
102 re à nous rappeler que le niveau de développement économique d’une culture donnée ne saurait être évalué, calculé ou prévu, comme
103 planification démographique sur la planification économique de l’aide aux sous-développés, car, sans la première, la seconde est
104 n fusionna, au dernier moment, avec la commission économique . db. Rougemont Denis de, « [Introduction] L’Europe et le monde », B
40 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
105 élite disposant de loisirs, et la vie politique, économique et sociale d’autre part, qu’ils considèrent comme le solide et le sér
41 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
106 n est le négatif. Les thèmes sociaux, politiques, économiques , qu’on retrouve dans nos littératures dès le début du xixe siècle ;
42 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
107 morbide de l’État-nation aux réalités politiques, économiques , techniques et démographiques de notre temps. Ils ne me semblent pas
108 astiques, scolaires, universitaires, et plus tard économiques , sous l’hégémonie d’une seule ethnie70. Modèle monstrueux, si l’on y
109 deux grands. Ils sont trop petits dans le domaine économique pour répondre au « défi américain » — cela n’a plus à être démontré —
110 out pour résister à la satellisation politique ou économique . Par quoi ils manquent doublement à la fonction de toute autorité :
111 lettres et arts ; enfin les dynamismes sociaux et économiques en interaction permanente, combinés avec tous les autres : ce sont le
112 dministratives imposées aux réalités ethniques et économiques , les régions vont très rapidement se dessiner, s’organiser et s’affir
113 t pris en fait (sinon en droit) plus d’importance économique et culturelle que les bureaux de la capitale, la révolution régionale
114 ux travaux du colloque de Bruxelles : L’activité économique suscite dans l’espace des formes de polarisation qui naissent de rela
115 terdépendance et de complémentarité géographique, économique et sociale […] un certain nombre d’unités territoriales réunissant de
116 e d’unités territoriales réunissant des activités économiques complémentaires et fortement liées, gravitant autour de centres urbai
117 urbains où se localisent d’importantes fonctions économiques , en particulier les fonctions de décision. En outre, ces centres joue
118 petites, le nombre et l’importance des fonctions économiques et sociales diminuent dans l’unité territoriale considérée, de sorte
119 is Armand remarque que « la notion d’indépendance économique a changé complètement de contenu. Le mot “indépendance” a perdu son s
120 spatiales : culture, ethnie, religion, existence économique , loyauté envers le prince maître de tout, et d’autant plus absolument
121 sés par la disparité des définitions ethniques et économiques de la région — et voilà qui provoque une réflexion en progrès intensi
122 ’une communauté régionale conduit à sa médiocrité économique et culturelle ; b) l’absorption d’une communauté régionale par l’État
123 t-nation centralisé conduit à cette forme de vide économique et culturel qui a résulté partout de la colonisation. Qui ne voit en
124 les nécessités régionales aussi bien sociales qu’ économiques , culturelles que techniques. Or, ces ordinateurs, nous les avons ! J’
125 es flux de biens et de services tant culturels qu’ économiques et techniques, enfin chercherait à prévoir les structures obligées ou
126 87. Sur les contradictions entre l’ethnique et l’ économique dans une région donnée, le pays de Galles, lire le rapport très sobre
43 1970, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
127 e tient pas. » « La Bretagne n’est pas une entité économique viable. Et qui parle breton à Rennes ? » « Les ethnies et les économi
128 maines (spirituelles et physiques, culturelles et économiques ) à une seule et unique surface géographique déclarée « sol sacré de l
129 ant dans tous les domaines clés : le politique, l’ économique , le social et le culturel — aurait sans doute plus de chances de favo
130 re des réseaux d’échange et groupes de production économiques , ni des institutions sociales et culturelles. 2° Les unités de base p
131 as, en principe, superposables aux unités de base économiques (ou culturelles) et aux structures correspondantes : les unes et les
132 n comme les intersections de « classes » de faits économiques , ethniques, sociaux et culturels d’aires différentes, définissant des
133 rait empêcher les citoyens, habitant cette région économique , de continuer à se rattacher politiquement à l’une des trois nations
134 Le Marché commun, par exemple, qui est un pouvoir économique , doit-il entretenir des visées politiques, ou laisser ce soin soit à
135 politique, non exclusifs, bien entendu, de liens économiques , sociaux ou culturels noués ailleurs. cl) Voilà qui nous donnera, san
136 is, en tant qu’entités politiques, des « droits » économiques qu’ils s’arrogent en barons pillards. Tant qu’il n’y aura pas, au niv
44 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
137 mesure de manipuler les mécanismes de production économique , ou infrastructure, du même coup se rend maître de déterminer les phé
45 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
138 res temps et circonstances selon des critères non économiques (militaires, politiques, linguistiques, prétendument historiques, etc
139 ionalités ou ethnies caractérisées, des ensembles économiques actuels ou potentiels, des entités écologiques, créant d’un côté de l
140 Genève), bloquant des processus de développement économique ou culturel (Aachen-Liège-Maastricht, Bâle-Mulhouse-Freiburg), compro
141 r la politique, ou de la culture par les intérêts économiques et des raisons de prestige étatique, les frontières actuelles ont été
142 ions ethniques est millénaire ; celui des régions économiques est décennal ; mais la frontière politique unique et omnivalente que
143 gociateurs de traités. De là, tous les « dommages économiques  » énumérés par le Rapport de base et « les désavantages sociaux » et
144 ratives, des réalités ethniques et des dynamismes économiques , n’est que la traduction du dogme de la souveraineté totale, universe
145 es, qui sont inadéquates pour définir les régions économiques , et moins encore avec les régions écologiques. La volonté stato-natio
146 éritable Europe, et non pas seulement une colonie économique et une colonie idéologico-politique juxtaposées. Car dans le cas d’un
147 plus, il est urgent d’introduire un enseignement économique au degré secondaire : la plupart des options proposées aux citoyens,
148 paux, cantonaux, régionaux, concernent des objets économiques que rien ne les a préparés à évaluer. Une connaissance plus concrète
149 de savoir si « l’Alsace va basculer dans l’orbite économique allemande », mais comment elle peut développer son économie d’une man
150 n Tous les problèmes régionaux — qu’ils soient économiques , écologiques ou éducatifs — sont liés en fait à des problèmes contine
151 gence régionale de planification ou concertation ( économique , sociale, hospitalière, écologique, éducative, des transports, etc.).
46 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Confrontation des régions transfrontalières [Nos conclusions] (été 1972)
152 c’est-à-dire d’aires variables selon la fonction, économique , sociale, éducative, écologique, énergétique, etc. Ce qui me conduit
153 aires étrangères, de l’Intérieur, et des Affaires économiques , touchant la possibilité de former des associations intercommunales s
154 ions devient flagrante, où les solutions purement économiques s’avèrent insuffisantes pour convaincre les peuples, et où, en revanc
47 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
155 aires, lesquels devaient conduire à une politique économique commune à tous nos pays, et pas seulement à ceux de la CEE d’ici 1980
156 capables de résoudre virtuellement ces problèmes économiques et commerciaux, on a vu que cela ne suffisait pas. Restaurer l’indust
157 onal. Que ces motifs soient de nature ethnique ou économique , linguistique ou géographique, traditionnelle ou prospective, ce qui
158 aux de nature très diverse, ethniques ou sociaux, économiques ou linguistiques, écologiques ou politiques. Mais si l’on considère l
159 lasses de motifs principaux, les ethniques et les économiques — d’ailleurs en interaction fréquente. Motifs ethniques d’abord. Il y
160 rimées déclarent souffrir d’un sous-développement économique (par rapport à l’ensemble national) dont elles rendent responsable l’
161 à l’Europe fédérée dès qu’elle sera faite. Motifs économiques ensuite. Les plans d’aménagement du territoire qui se donnent pour bu
162 qui se donnent pour but de réduire les disparités économiques intra-nationales (Sud-Ouest français, Mezzogiorno) ont motivé les pre
163 s décisive est posé par les régions naturelles ou économiques qui se trouvent coupées par des frontières politiques nées du hasard
164 correspondent plus à nulle réalité ni ethnique ni économique . Sur toutes les frontières de tous nos États, les exemples abondent :
165 les conflits entre limites politiques et espaces économiques se révèlent intolérables ou « manifestement aberrants », comme l’écri
166 zones françaises voisines définissent une région économique plus vaste, plus fluente, qui est encore en bonne partie virtuelle, e
167 à Bruxelles s’occupe de coordonner les activités économiques des pays membres et de leurs régions. Rien n’empêchera, enfin, que ce
168 logique ou culturelle, ou d’instances d’arbitrage économique . Pour franchir la dernière étape vers la fédération continentale, il
169 e tout cela, avant les catastrophes écologiques, économiques et nucléaires que tout annonce ? À cela je répondrai par une anecdote
170 ns. Tout le problème politique, social, culturel, économique , écologique de l’Europe — et de l’Occident tout entier — se ramène à
48 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
171 s avantages qu’on en attendait pour la prospérité économique , et plus encore : pour une réelle participation civique. De sévères m
49 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi des régions ? (printemps-été 1975)
172 virtualités frustrées. Les problèmes écologiques, économiques , énergétiques, éducatifs, sociaux et culturels se multiplient et s’ex
173 uation de la formule stato-nationale aux réalités économiques , sociales et culturelles du xxe siècle qui se « déclare » dans les r
174 tion d’un virtuel ensemble naturel ou ethnique ou économique , par deux ou trois souverainetés nationales, comme c’est le cas de la
175 ution des océans et de l’atmosphère, déséquilibre économique croissant entre l’Occident et le tiers-monde, dégradation générale de
176 de considération radicalement différent, non pas économique , ni écologique, ni énergétique, ni éducatif, mais social, moral et en
50 1976, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
177 ire en termes politiques de puissances comparées ( économiques , démographiques, militaires). Et s’il reste du temps en fin de congrè
178 pas de Livres sacrés sur les relations sexuelles, économiques , sociales, politiques, comme en possèdent les autres religions « univ
179 c., etc.). La création de régions fonctionnelles ( économiques , écologiques, ethno-culturelles, énergétiques, etc.) nécessairement t