1
ent de plus en plus subordonnées à des nécessités
économiques
et politiques, voire militaires, et donc aux mécanismes de l’État. À
2
subsister seul, au triple point de vue politique,
économique
et militaire, cela est vrai plus encore au point de vue de la culture
3
ope doit être unie pour des raisons politiques et
économiques
. Ces raisons, bien connues désormais, sont la menace russe, la prépon
4
grand public de la nécessité d’une collaboration,
économique
ou militaire par exemple, c’est la sauvegarde du patrimoine culturel
5
pure et simple intégration (qui serait bien plus
économique
) à l’un des deux empires qui se disputent le monde ? — on ne peut lui
6
imer et de rendre forte par le moyen de son union
économique
et politique, est une réalité de civilisation, une réalité culturelle
7
ement de nos sciences, et donc de notre puissance
économique
. Car l’Europe, ce n’est pas le chemin de fer, l’électricité et le cha
8
le seul jeu des partis et des groupes d’intérêts
économiques
se plaignent du manque de passion dont les masses et même les élites
9
e festivals). Cette méthode s’est montrée la plus
économique
, la plus rapide et la plus efficace aussi pour préserver les entrepri
10
ent sauver nos trop petites nations de l’asphyxie
économique
? Comment nous replacer à l’avant d’un progrès que d’autres nous disp
11
)l Parmi toutes les raisons de faire l’Europe,
économiques
, militaires, culturelles, il y a celle-ci, qui n’est pas négligeable
12
communistes s’unissent pour dénoncer « l’emprise
économique
des USA », représentée à leurs yeux par le plan Marshall et ses suite
13
ditions préalables (comme de rétablir l’équilibre
économique
, le potentiel militaire, la santé civique de telle ou telle nation) q
14
écessaire du succès final et total de notre union
économique
et politique consiste donc dans la vitalité de l’idée d’une Europe un
15
Il faut des congrès politiques. Il faut des plans
économiques
. Mais il faut en même temps des foyers où l’on maintienne, où l’on ra
16
ions dans le monde, notre indépendance politique,
économique
et peut-être morale. Et certes, nous perdrons tout cela, tout ce qui
17
nstruction de l’Europe avançait, mais lentement :
économique
, politique, militaire. Et les résistances croissaient à la mesure des
18
, et celui de compenser la perte de nos positions
économiques
dans le monde, la table ronde a conclu à la nécessité « d’opérer un c
19
lème de l’Union n’est-il pas surtout politique et
économique
? Et la crise que subit aujourd’hui l’effort d’intégration politique
20
mais par d’implacables circonstances techniques,
économiques
et politiques. Il en résulte que la souveraineté nationale n’a plus g
21
s, publiciste grec : Dans les domaines militaire,
économique
et politique, les organisations internationales existantes (telles qu
22
rd morales, intellectuelles et spirituelles, puis
économiques
et sociales, qui par nature restent invisibles à l’œil des agences de
23
re un tableau réaliste des changements sociaux et
économiques
que produirait l’union ; de canaliser les bonnes volontés anxieuses e
24
nouveau, qui viendra se substituer aux problèmes
économiques
et sociaux d’aujourd’hui, portant alors au premier plan les grandes q
25
valeurs fondamentales menacées, et ses positions
économiques
compromises. Mais surtout, l’Europe se sent impuissante devant cette
26
de 200 millions de Russes, et dans la dépendance
économique
de 160 millions d’Américains. La raison de cet apparent paradoxe est
27
ions dans le monde, notre indépendance politique,
économique
, et par suite morale. Tout ce qui fait le sens même de nos vies. L
28
s milieux aussi variés que possible : politiques,
économiques
, intellectuels, sociaux, nationaux ou internationaux. Chacun devrait
29
55 que « l’établissement de relations politiques,
économiques
et culturelles plus larges entre les pays, indépendamment de leur rég
30
r groupe de six États, déjà signataires du traité
économique
instituant la CECA. On tente de créer maintenant d’autres « autorités
31
nt d’autres « autorités spécialisées », de nature
économique
, visant à ouvrir un grand marché commun (plan de Messine) ou à permet
32
la méthode des autorités spécialisées est surtout
économique
; celle de l’agitation pour une Constituante essentiellement politiqu
33
n Churchill, déclarait : Les organes juridiques,
économiques
et politiques que devra se donner l’Union ne sauraient fonctionner au
34
la bombe H, le conflit Est-Ouest, la conjoncture
économique
, le problème colonial, l’automation, l’électronique, l’énergie nucléa
35
qui le guident et qui déterminent ses structures
économiques
et politiques ; — comment ces forces se manifestent ou agissent à son
36
ue Dokumente et au Collège d’Europe pour un atlas
économique
et culturel de l’Europe. Elle a décerné des bourses importantes à cin
37
de notre culture étant lié à l’union politique et
économique
de nos peuples, comme l’âme est liée au corps ; ni plus ni moins. L’a
38
ous faut faire l’Europe pour assurer notre avenir
économique
, et parce qu’il n’est aucun de nos pays qui puisse encore s’en tirer
39
utre et accueillant. Une ère de grande prospérité
économique
s’ouvre pour la Suisse. Les capitaux étrangers s’accumulent dans nos
40
S, se partagent désormais la puissance politique,
économique
et militaire qui était autrefois celle de l’Europe. Les Russes domine
41
ation de l’Organisation européenne de coopération
économique
(OECE), groupant 16 pays, dont la Suisse. Mais le continent reste div
42
indépendance politique et retrouver sa prospérité
économique
. Si l’Europe s’unissait, disent-ils, elle formerait une fédération de
43
a Diète helvétique avant 1848. Désirant une union
économique
plus étroite, six pays (France, Allemagne, Italie, Hollande, Belgique
44
donc de l’ensemble de l’Europe pour sa prospérité
économique
. Elle en dépendrait aussi pour sa défense contre une éventuelle attaq
45
n statut de neutralité. Cependant, les nécessités
économiques
poussent la Suisse à coopérer toujours plus étroitement avec les orga
46
tres pays d’Europe, mais coopère aux institutions
économiques
européennes. Ses intérêts propres sont inséparables de ceux de l’Euro
47
t de l’éducation du public qu’à celui des aspects
économiques
. Deux de ces options se trouvaient mises en discussion par notre ques
48
re existence, le politique et l’institutionnel, l’
économique
et l’artistique, nous retrouverons toujours le même type de problèmes
49
plications générales du Marché commun dans la vie
économique
de nos pays, ainsi que les répercussions possibles du traité sur les
50
uivante : « Que se passerait-il si les frontières
économiques
étaient supprimées dans toute l’Europe ? » À mi-chemin entre le cours
51
le Marché commun n’est qu’un ensemble de mesures
économiques
. Et certes, il ne concerne que six pays, alors que le CEC tient à gar
52
ation plus poussée. À l’heure où les institutions
économiques
et politiques de l’Europe naissante proclament leur volonté de concen
53
partis, dix-huit États, et d’innombrables groupes
économiques
, et toutes leurs presses, qui entretiennent le tohu-bohu de gaffes pa
54
questions européennes : historiques, politiques,
économiques
, culturelles. De même, l’Institut prévu par l’art. 9 du traité de l’E
55
toire de l’Europe dans ses réalités politiques ou
économiques
. Il entend seulement nous donner une histoire des prises de conscienc
56
successifs de nos frontières nationales, l’union
économique
et politique de nos peuples peut et doit aujourd’hui s’édifier. On no
57
ation plus poussée. À l’heure où les institutions
économiques
et politiques de l’Europe naissante proclament leur volonté de concen
58
ditionnels ou modernes, sociaux, éthiques ou même
économiques
, et vous verrez qu’ils se rattachent tous, en Europe, à des problèmes
59
ar rapport aux réalités quotidiennes, sociales et
économiques
, aux principes et idéaux qui inspirent la civilisation européenne dan
60
ressément à détruire ses fondements politiques et
économiques
. Cette difficulté et cette déficience, communes à nos enseignements c
61
, de l’action de la presse locale, des conditions
économiques
et commerciales dont il s’agit de tenir compte, etc. En somme, ce man
62
n pays aux programmes existants : 1° Les réalités
économiques
sont encore trop négligées ; or, sans connaissances économiques, comm
63
nt encore trop négligées ; or, sans connaissances
économiques
, comment comprendre la société où l’on vit, juger de sa politique et
64
e « démocratie », et que toutes ses « victoires »
économiques
, scientifiques et sociales sont dues à son socialisme, parce qu’il co
65
ue ne tienne pas un compte suffisant des réalités
économiques
! Mais il est clair aussi que, dans ces conditions, le civisme réel n
66
t au plan européen seulement que les perspectives
économiques
et politiques de notre siècle peuvent être vues dans leurs vraies dim
67
is pas comment la vie politique et les nécessités
économiques
interfèrent avec les principes et l’idéologie. Je ne voyais pas les g
68
ne et l’équilibre européen (1916) et sur L’Avenir
économique
de la Pologne (1917). Son Petit Manuel de la politique anglaise, publ
69
qui démontrerait, à coup d’exemples et d’analyses
économiques
, l’opportunité d’une union de l’Europe. Mais Ernie Bevin, sollicité d
70
and, il créait la Ligue européenne de coopération
économique
(d’abord nommée Ligue indépendante, dans l’idée de ne pas en exclure
71
de présider la séance plénière sur les questions
économiques
, aux côtés de Winston Churchill, et de me donner sa réponse. M’ayant
72
co-germaniques, sont formulées dans la résolution
économique
de La Haye. Le programme politique, le programme culturel et éducatif
73
r pied les grands congrès politique de Bruxelles,
économique
de Westminster, social de Rome, et culturel de Lausanne. Grâce à eux,
74
qui compromettent les ententes politiques et même
économiques
. Ils peuvent provoquer des heurts violents, une dégradation des valeu
75
de nombreuses revues scientifiques, pédagogiques,
économiques
, etc. La plupart des publications (revues ou volumes) des instituts n
76
e part les responsables des relations politiques,
économiques
, techniques, il y a aujourd’hui un grand vide. Il n’y a pas de relais
77
ts politiques d’abord) ; ou d’organismes purement
économiques
(qui négligent les aspects spirituels et psychologiques des problèmes
78
u chômage mais aux loisirs créateurs ; solidarité
économique
et culturelle du genre humain. 3. Trouver, ou former, des interlocu
79
ommuns à tous les pays de la région : intégration
économique
ou politique ; manuels et enseignement de l’histoire et du civisme ;
80
errière nos conflits politiques et nos inégalités
économiques
, il y a des réalités beaucoup plus durables et profondes, qui sont no
81
s qui opposent nos régions sur le plan politique,
économique
et social. La méconnaissance de ces réalités « culturelles » est ce q
82
buer à une meilleure entente politique —· et même
économique
— nous ne pourrons le faire qu’en travaillant à « améliorer le terrai
83
s qui a précédé et qui soutient les constructions
économiques
et politiques, lesquelles servent de sujet à la plupart des thèses so
84
pements prochains et nécessaires de l’intégration
économique
et du fédéralisme politique. Mais quoi ! le succès d’une idée se mesu
85
cialisé dans le domaine de l’économie et du droit
économique
. Il semble donc qu’une politique de l’édition « européiste » n’est pa
86
la Journée européenne des écoles, des Communautés
économiques
européennes et du CEC, la formation d’un groupe ad hoc fut décidée, e
87
es députés, des dirigeants de comités d’expansion
économique
ou de la chambre de commerce, et enfin les représentants des plus imp
88
ées d’une manière assez arbitraire à des réalités
économiques
, linguistiques et culturelles qui n’ont pas du tout les mêmes frontiè
89
’une culture vivante et créatrice sans un support
économique
. Pour illustrer ce deuxième point, le support économique indispensabl
90
que. Pour illustrer ce deuxième point, le support
économique
indispensable au développement de la culture, je voudrais simplement
91
vital entre l’évolution culturelle et l’évolution
économique
. Notons que ces évolutions ne sont jamais parties d’une base « nation
92
nal qui leur offre une tradition, une subsistance
économique
, un public, bref, une réponse à leur travail créateur. Et ceci nous c
93
ble d’une population active, y compris ses forces
économiques
, à la création d’un grand foyer de production, qui serait la métropol
94
n phare, pour définir une métropole culturelle et
économique
. Je trouve cette image parfaitement exacte en ceci qu’elle évoque un
95
ival, des revues, une grande université, un essor
économique
très puissant auquel on a souvent fait allusion ici, des groupements
96
siste en un attrait, un climat, et des ressources
économiques
, dont la combinaison assure la production et le rayonnement. Le clima
97
problème de la métropole à la fois culturelle et
économique
, et le problème des responsabilités de ceux qui entreprendront de l’a
98
des domaines les plus variés de la vie publique,
économique
et sociale, d’autre part. Condition générale d’admission : avoir prou
99
s sociales et la coordination de leurs politiques
économiques
. Ce qui nous manque encore, c’est une étude quasi ethnographique des
100
on passa au premier rang : rétablir la prospérité
économique
du continent : et cela conduisit à la création de la CECA, puis du Ma
101
ralentir et presque de bloquer tout le processus
économique
de la consommation, de l’investissement et même de la fécondité. De m
102
re à nous rappeler que le niveau de développement
économique
d’une culture donnée ne saurait être évalué, calculé ou prévu, comme
103
planification démographique sur la planification
économique
de l’aide aux sous-développés, car, sans la première, la seconde est
104
n fusionna, au dernier moment, avec la commission
économique
. db. Rougemont Denis de, « [Introduction] L’Europe et le monde », B
105
élite disposant de loisirs, et la vie politique,
économique
et sociale d’autre part, qu’ils considèrent comme le solide et le sér
106
n est le négatif. Les thèmes sociaux, politiques,
économiques
, qu’on retrouve dans nos littératures dès le début du xixe siècle ;
107
morbide de l’État-nation aux réalités politiques,
économiques
, techniques et démographiques de notre temps. Ils ne me semblent pas
108
astiques, scolaires, universitaires, et plus tard
économiques
, sous l’hégémonie d’une seule ethnie70. Modèle monstrueux, si l’on y
109
deux grands. Ils sont trop petits dans le domaine
économique
pour répondre au « défi américain » — cela n’a plus à être démontré —
110
out pour résister à la satellisation politique ou
économique
. Par quoi ils manquent doublement à la fonction de toute autorité :
111
lettres et arts ; enfin les dynamismes sociaux et
économiques
en interaction permanente, combinés avec tous les autres : ce sont le
112
dministratives imposées aux réalités ethniques et
économiques
, les régions vont très rapidement se dessiner, s’organiser et s’affir
113
t pris en fait (sinon en droit) plus d’importance
économique
et culturelle que les bureaux de la capitale, la révolution régionale
114
ux travaux du colloque de Bruxelles : L’activité
économique
suscite dans l’espace des formes de polarisation qui naissent de rela
115
terdépendance et de complémentarité géographique,
économique
et sociale […] un certain nombre d’unités territoriales réunissant de
116
e d’unités territoriales réunissant des activités
économiques
complémentaires et fortement liées, gravitant autour de centres urbai
117
urbains où se localisent d’importantes fonctions
économiques
, en particulier les fonctions de décision. En outre, ces centres joue
118
petites, le nombre et l’importance des fonctions
économiques
et sociales diminuent dans l’unité territoriale considérée, de sorte
119
is Armand remarque que « la notion d’indépendance
économique
a changé complètement de contenu. Le mot “indépendance” a perdu son s
120
spatiales : culture, ethnie, religion, existence
économique
, loyauté envers le prince maître de tout, et d’autant plus absolument
121
sés par la disparité des définitions ethniques et
économiques
de la région — et voilà qui provoque une réflexion en progrès intensi
122
’une communauté régionale conduit à sa médiocrité
économique
et culturelle ; b) l’absorption d’une communauté régionale par l’État
123
t-nation centralisé conduit à cette forme de vide
économique
et culturel qui a résulté partout de la colonisation. Qui ne voit en
124
les nécessités régionales aussi bien sociales qu’
économiques
, culturelles que techniques. Or, ces ordinateurs, nous les avons ! J’
125
es flux de biens et de services tant culturels qu’
économiques
et techniques, enfin chercherait à prévoir les structures obligées ou
126
87. Sur les contradictions entre l’ethnique et l’
économique
dans une région donnée, le pays de Galles, lire le rapport très sobre
127
e tient pas. » « La Bretagne n’est pas une entité
économique
viable. Et qui parle breton à Rennes ? » « Les ethnies et les économi
128
maines (spirituelles et physiques, culturelles et
économiques
) à une seule et unique surface géographique déclarée « sol sacré de l
129
ant dans tous les domaines clés : le politique, l’
économique
, le social et le culturel — aurait sans doute plus de chances de favo
130
re des réseaux d’échange et groupes de production
économiques
, ni des institutions sociales et culturelles. 2° Les unités de base p
131
as, en principe, superposables aux unités de base
économiques
(ou culturelles) et aux structures correspondantes : les unes et les
132
n comme les intersections de « classes » de faits
économiques
, ethniques, sociaux et culturels d’aires différentes, définissant des
133
rait empêcher les citoyens, habitant cette région
économique
, de continuer à se rattacher politiquement à l’une des trois nations
134
Le Marché commun, par exemple, qui est un pouvoir
économique
, doit-il entretenir des visées politiques, ou laisser ce soin soit à
135
politique, non exclusifs, bien entendu, de liens
économiques
, sociaux ou culturels noués ailleurs. cl) Voilà qui nous donnera, san
136
is, en tant qu’entités politiques, des « droits »
économiques
qu’ils s’arrogent en barons pillards. Tant qu’il n’y aura pas, au niv
137
mesure de manipuler les mécanismes de production
économique
, ou infrastructure, du même coup se rend maître de déterminer les phé
138
res temps et circonstances selon des critères non
économiques
(militaires, politiques, linguistiques, prétendument historiques, etc
139
ionalités ou ethnies caractérisées, des ensembles
économiques
actuels ou potentiels, des entités écologiques, créant d’un côté de l
140
Genève), bloquant des processus de développement
économique
ou culturel (Aachen-Liège-Maastricht, Bâle-Mulhouse-Freiburg), compro
141
r la politique, ou de la culture par les intérêts
économiques
et des raisons de prestige étatique, les frontières actuelles ont été
142
ions ethniques est millénaire ; celui des régions
économiques
est décennal ; mais la frontière politique unique et omnivalente que
143
gociateurs de traités. De là, tous les « dommages
économiques
» énumérés par le Rapport de base et « les désavantages sociaux » et
144
ratives, des réalités ethniques et des dynamismes
économiques
, n’est que la traduction du dogme de la souveraineté totale, universe
145
es, qui sont inadéquates pour définir les régions
économiques
, et moins encore avec les régions écologiques. La volonté stato-natio
146
éritable Europe, et non pas seulement une colonie
économique
et une colonie idéologico-politique juxtaposées. Car dans le cas d’un
147
plus, il est urgent d’introduire un enseignement
économique
au degré secondaire : la plupart des options proposées aux citoyens,
148
paux, cantonaux, régionaux, concernent des objets
économiques
que rien ne les a préparés à évaluer. Une connaissance plus concrète
149
de savoir si « l’Alsace va basculer dans l’orbite
économique
allemande », mais comment elle peut développer son économie d’une man
150
n Tous les problèmes régionaux — qu’ils soient
économiques
, écologiques ou éducatifs — sont liés en fait à des problèmes contine
151
gence régionale de planification ou concertation (
économique
, sociale, hospitalière, écologique, éducative, des transports, etc.).
152
c’est-à-dire d’aires variables selon la fonction,
économique
, sociale, éducative, écologique, énergétique, etc. Ce qui me conduit
153
aires étrangères, de l’Intérieur, et des Affaires
économiques
, touchant la possibilité de former des associations intercommunales s
154
ions devient flagrante, où les solutions purement
économiques
s’avèrent insuffisantes pour convaincre les peuples, et où, en revanc
155
aires, lesquels devaient conduire à une politique
économique
commune à tous nos pays, et pas seulement à ceux de la CEE d’ici 1980
156
capables de résoudre virtuellement ces problèmes
économiques
et commerciaux, on a vu que cela ne suffisait pas. Restaurer l’indust
157
onal. Que ces motifs soient de nature ethnique ou
économique
, linguistique ou géographique, traditionnelle ou prospective, ce qui
158
aux de nature très diverse, ethniques ou sociaux,
économiques
ou linguistiques, écologiques ou politiques. Mais si l’on considère l
159
lasses de motifs principaux, les ethniques et les
économiques
— d’ailleurs en interaction fréquente. Motifs ethniques d’abord. Il y
160
rimées déclarent souffrir d’un sous-développement
économique
(par rapport à l’ensemble national) dont elles rendent responsable l’
161
à l’Europe fédérée dès qu’elle sera faite. Motifs
économiques
ensuite. Les plans d’aménagement du territoire qui se donnent pour bu
162
qui se donnent pour but de réduire les disparités
économiques
intra-nationales (Sud-Ouest français, Mezzogiorno) ont motivé les pre
163
s décisive est posé par les régions naturelles ou
économiques
qui se trouvent coupées par des frontières politiques nées du hasard
164
correspondent plus à nulle réalité ni ethnique ni
économique
. Sur toutes les frontières de tous nos États, les exemples abondent :
165
les conflits entre limites politiques et espaces
économiques
se révèlent intolérables ou « manifestement aberrants », comme l’écri
166
zones françaises voisines définissent une région
économique
plus vaste, plus fluente, qui est encore en bonne partie virtuelle, e
167
à Bruxelles s’occupe de coordonner les activités
économiques
des pays membres et de leurs régions. Rien n’empêchera, enfin, que ce
168
logique ou culturelle, ou d’instances d’arbitrage
économique
. Pour franchir la dernière étape vers la fédération continentale, il
169
e tout cela, avant les catastrophes écologiques,
économiques
et nucléaires que tout annonce ? À cela je répondrai par une anecdote
170
ns. Tout le problème politique, social, culturel,
économique
, écologique de l’Europe — et de l’Occident tout entier — se ramène à
171
s avantages qu’on en attendait pour la prospérité
économique
, et plus encore : pour une réelle participation civique. De sévères m
172
virtualités frustrées. Les problèmes écologiques,
économiques
, énergétiques, éducatifs, sociaux et culturels se multiplient et s’ex
173
uation de la formule stato-nationale aux réalités
économiques
, sociales et culturelles du xxe siècle qui se « déclare » dans les r
174
tion d’un virtuel ensemble naturel ou ethnique ou
économique
, par deux ou trois souverainetés nationales, comme c’est le cas de la
175
ution des océans et de l’atmosphère, déséquilibre
économique
croissant entre l’Occident et le tiers-monde, dégradation générale de
176
de considération radicalement différent, non pas
économique
, ni écologique, ni énergétique, ni éducatif, mais social, moral et en
177
ire en termes politiques de puissances comparées (
économiques
, démographiques, militaires). Et s’il reste du temps en fin de congrè
178
pas de Livres sacrés sur les relations sexuelles,
économiques
, sociales, politiques, comme en possèdent les autres religions « univ
179
c., etc.). La création de régions fonctionnelles (
économiques
, écologiques, ethno-culturelles, énergétiques, etc.) nécessairement t