1 ros sous ? Est-ce que Marx a raison, est-ce que l’ économique serait le dernier mot des souffrances morales ? Pour peu qu’on sorte

2 « impératifs » technologiques, des « nécessités » économiques , et des « exigences » de la défense nationale, ultima ratio de l’arbi

3 d dessein de Jean Monnet, inspirateur de l’Europe économique , son premier objectif pleinement atteint. Faut-il en conclure que « L

4 » ne serait-elle qu’un marché ? Qu’une communauté économique  ? Qu’une alliance d’États souverains ? Ne doit-elle pas être au contr

5 pas comme une ethnie d’abord, ou comme une entité économique , mais comme un « espace de participation civique ». Le général ajoute

6 en bonne partie le « miracle » de la restauration économique , sociale et politique de la RFA. L’Italie s’est dotée, en 1946, après

7 é d’ordre historique ou culturel, géographique ou économique , ou tout à la fois, qui confère à la population une cohésion dans la

8 socioprofessionnelles à la décision de politique économique  » dans le cadre de la régionalisation « se trouvaient déjà en germe »

9 raît la condition même d’une renaissance civique, économique et culturelle de leur pays. À part les guerres d’agression et les cen

10 lle les conditions ecclésiastiques et politiques, économiques et sociales, nous dirions aujourd’hui : culturelles au sens large. Ce

11 de ses deux autres commissions, la politique et l’ économique . J’ai demandé qu’on me donne une preuve que l’on prend la culture au

12 ort beaucoup plus profond pour réaliser une unité économique et politique de l’Europe. Quelques années plus tard, tout a changé d

13 et des sciences. Quant aux communes politiques ou économiques , elles relèvent de l’empereur (parfois du roi) et sont donc « immédia

14 tes unités qu’ici, tout comme dans les structures économiques , sociales et politiques, l’on entrevoit la seule issue possiblement h

15 sponsables de domaines variés de la vie publique, économique et sociale, d’autre part. Condition générale d’admission : avoir prou

16 s sociales et la coordination de leurs politiques économiques . Ce qui nous manque encore, c’est une étude quasi ethnographique des

17 aux débuts du xixe siècle est devenu le problème économique le plus brûlant de la fin du xxe siècle : preuve de plus de la précé

18 ronologique, du culturel voire du religieux sur l’ économique . Mais comment surmonter l’antinomie Nord-Sud, s’il est vrai qu’elle p

19 l’union de l’Europe sur la base d’une Communauté économique  ; elle eût fondé plutôt la Communauté européenne de la culture. Car e

20 res nationales ou européennes. Vers une politique économique et sociale écologique. Pour une agriculture en équilibre avec la natu

21 s membres s’abaissent à des querelles subalternes économiques ou financières hors de proportion avec les défis majeurs du temps pré

22 deux grands. Ils sont trop petits dans le domaine économique pour répondre au « défi américain », mais aussi pour répondre au défi

23 out pour résister à la satellisation politique ou économique . Par quoi ils manquent doublement à la fonction de tout gouvernement 

24 euvent en effet : — ni résister à la colonisation économique par les USA ; — ni repousser une intervention militaire venue de l’Es

25 ’accidents, de victoires et défaites électorales, économiques , voire militaires au loin. Elle est déterminée par ces prises de cons

26 lus encore scientifiques, technologiques, et donc économiques aussi. Conformément à ses mesures fondamentales, cette culture commun

27 nde formation politique et le plus vaste ensemble économique de notre temps. Jamais l’histoire du monde n’aura connu un si puissan

28 rs ce qui allait devenir dès 1955 les Communautés économiques européennes ou CEE : elle eût, de toute manière, échappé à la sphère

29 et sa vocation spécifique, que les seuls intérêts économiques , et cela dans 10 pays seulement, c’est-à-dire un peu moins de la moit

30 s échecs subis dans son domaine propre, qui est l’ économique . Car on sent bien que le double fait que le Conseil de l’Europe s’att

31 lamée avec des moyens politiques et les activités économiques qu’elle met en œuvre à leur service. La plus remarquable réalisation

32 ranco Valsecchi ; un groupe questions sociales et économiques , rapporteur l’économiste anglais Peter Wiles ; et un groupe sciences,

33 (souligné par moi) au processus de développement économique et social. Ce qui revient à « ajouter » un peu de superflu au nécess

34 armonieux des sociétés avec les facteurs sociaux, économiques et technologiques ». Tout cela, bel et bon (quoique mal dit en frança

35 un des développements majeurs, politique, social, économique , et surtout civique, du xxe siècle finissant. Une troisième Conféren

36 de propositions, et la seconde à vocation unique, économique , mais dotée de quelques pouvoirs (sans cesse menacés, d’ailleurs, par

37 ope unie (Raoul Dautry et René Courtin), la Ligue économique de coopération européenne (Paul van Zeeland), les Nouvelles équipes i

38 critiquant violemment les pouvoirs politiques et économiques , sourds aux véritables exigences de liberté de l’homme. Un livre souv

39 ire l’Europe sur des réalités solides, réalistes, économiques  », ont maintenant complètement changé. On a beaucoup cité une phrase