1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
1 n, l’imitera, et même la France, si les questions économiques et sociales y prennent un jour l’acuité qu’elles ont, depuis la guerr
2 laires, etc. Cette carence subite dans le domaine économique vient à l’appui de la thèse marxiste qui ne veut voir dans les Église
2 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
3 dre le travail comme point de départ d’un système économique ou d’une culture, c’est vicier à la base toutes les conceptions du lo
3 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
4 ssions du jour, sans soupçonner les conséquences, économiques ou religieuses, par exemple, des « idées » qu’ils mettent en action.
4 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
5 emous de la bataille qu’à travers un nouvel ordre économique , c’est l’homme et sa libération qui en reste l’enjeu et le but ; il s
6 irmation du primat de l’homme sur les dispositifs économiques , ce rappel d’une misère qu’ignorent tous les partis, voilà qui rend u
5 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
7 ant à faire du clerc un inutile ; vu la situation économique inaugurée par le krach de Wall Street (1930) et nommée crise ; vu la
6 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
8 ulture n’était rien qu’un « reflet » du processus économique , et de la lutte des classes qui en résulte. De là sa théorie de la cu
9 t, et comme un produit accessoire de la dictature économique des prolétaires. Au début, on avait représenté les masses comme la f
10 bstituer au dogme de la toute-puissance des faits économiques , la croyance au pouvoir créateur d’une élite guidant les masses. Et c
11 me « une forme commune de la vie, dont l’activité économique et politique ne constitue qu’une partie tout comme la production scie
12 ssent « incompréhensibles » ; les transformations économiques et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin
13 pouvions pas faire autre chose. Nos circonstances économiques et historiques étaient telles qu’il fallait une dictature pour y mett
14 nus aigus chez nous : luttes sociales, injustices économiques , décadence d’une culture séparée du peuple et divisée contre elle-mêm
15 ent ans, nous serons réduits à l’état de colonies économiques et culturelles par l’expansion normale de nos voisins ; — ou bien nou
7 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
16 primauté du spirituel ; primauté de l’homme sur l’ économique  ; affirmation de la personne comme valeur spirituelle absolue, par su
17 e le marxisme : étatisme, dictature, déterminisme économique et pas un mot de l’oppression stalinienne. Et pas un mot de la « dial
8 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
18 battre. (Volonté et pouvoir des masses, fatalités économiques , évolution de l’Histoire, mythes de la gauche et de la droite, divini
19 asme communiste. La plupart des fameuses « lois » économiques ou sociologiques que nous pensons avoir récemment « découvertes » ne
9 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
20 prétexte de réalisme, et de défense des intérêts économiques , c’est la réalité européenne de la Suisse qu’on perd de vue. On l’a s
10 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
21 erd de son importance, par suite de l’instabilité économique . Les coutumes rappelant le rapt nuptial n’existent plus que sous form
11 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
22 — En France, n’importe quel problème d’ajustement économique devient aussitôt politique, c’est-à-dire qu’il provoque des discours
12 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
23 versités de tous ordres (politiques aussi bien qu’ économiques ) dans un corps, non dans un carcan. Ce qui est la politique par excel
13 1962, Esprit, articles (1932–1962). Lettre à Jean-Marie Domenach, à propos de « Sartre et l’Europe » (mai 1962)
24 luais en effet par ces lignes : « Devant la crise économique et la fièvre nationaliste du tiers-monde, l’heure n’est pas de crache
25 symbole d’un “européanisme” obsédé par le progrès économique  ; je m’étais étonné qu’un “Européen” aussi convaincu que D. de Rougem