1 1940, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
1 semble assez peu homogène de réformes sociales et économiques . Willkie représente Wall Street, c’est-à-dire le capitalisme traditio
2 articles sérieusement documentés sur les défauts économiques du New Deal, suivis de lettres d’abonnés discutant les opinions publi
2 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
3 t ensemble depuis des siècles ; que les problèmes économiques sont plus complexes ; et qu’on ne peut comparer, sans offense, nos mo
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
4 ons, notre point de vue politique et nos intérêts économiques  »… Je ne sais ce que les Hindous, les Boers, les Canadiens français e
4 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
5 )v Parmi toutes les raisons de faire l’Europe, économiques , militaires, culturelles, il y a celle-ci, qui n’est pas négligeable 
6 communistes s’unissent pour dénoncer « l’emprise économique des USA », représentée à leurs yeux par le plan Marshall et ses suite
5 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
7 sérieuse dans les autres domaines, politiques ou économiques . Car ce sont elles seules qui permettent l’élaboration de l’instrumen
6 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). Genève, exemple européen ? (10-11 novembre 1973)
8 a centralisation ceux des trop petites dimensions économiques . Il s’agit simplement de résoudre les principaux problèmes de notre v
7 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
9 voiture a très largement débordé le cadre social, économique et politique qui lui avait été fixé au départ. Pour faire le point su
10 le nous rapproche les uns des autres, sur le plan économique , parce qu’elle dispense un travail à des millions de gens. Jean Kräye
11 décrivez une voiture née non pas d’une nécessité économique quelconque, mais de l’imagination d’un Henry Ford, mécanicien têtu et
12 ptible de nous conduire à de véritables désastres économiques et éthiques. L’autre histoire de fous étant, dans mon ouvrage, le dév
13 interrogé sur les conséquences au niveau social, économique , sur la vie morale des gens. La voiture est un exemple parfait d’abse
14 e l’industrie mondiale. L’index de la conjoncture économique c’est véritablement la General Motors et ensuite Ford qui sont depuis
15 tout mettre sur les routes. Et d’un point de vue économique l’avantage est également démontré. On bâtit trop d’autoroutes en Suis
16 on — n’est-elle pas neutralisée par cette réalité économique  ? François Peyrot : En effet, si vous avez eu l’occasion de visiter u
17 econnais qu’actuellement, sur le plan strictement économique , il serait très difficile de s’arrêter de produire des voitures. Mais