1 opposition de Proudhon et de Marx, sur le terrain économique , traduit exactement l’opposition de Kierkegaard et de Hegel dans le d

2 naire. Mais c’est de la mythomanie ; les « Forces économiques  », dont ils parlent avec tremblement, n’existent pas. Elles font part

3 te est seule capable d’édifier un monde culturel, économique et social qu’anime un risque permanent, essentiel. L’état marxiste id

4 t d’entrevoir l’une des raisons de notre anarchie économique . Le capitalisme ne serait peut-être pas un trop mauvais système si se

5 une autre remarque : Mounier exagère l’importance économique de l’usure, suivant l’erreur fréquente des écrivains catholiques. Mar

6 , et dans une société où la technique, les « lois économiques  », la puissance de l’État, les mouvements de masse, etc., échappent à

7 rmer l’ensemble des réalités humaines : sociales, économiques et politiques, ou même morales. D’une part (en tant que religions), e