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modernes et puissants (politiques, scientifiques,
économiques
, sociaux) au service de la vocation commune à tous nos peuples, le mo
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nos raisons de vivre. Il y a la menace de ruines
économiques
qui entraîneraient une tutelle étrangère et ses conséquences culturel
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e festivals). Cette méthode s’est montrée la plus
économique
, la plus rapide et la plus efficace aussi pour préserver les entrepri
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ions dans le monde, notre indépendance politique,
économique
et peut-être morale. Et certes, nous perdrons tout cela, tout ce qui
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nstruction de l’Europe avançait, mais lentement :
économique
, politique, militaire. Et les résistances croissaient à la mesure des
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, et celui de compenser la perte de nos positions
économiques
dans le monde, la table ronde a conclu à la nécessité « d’opérer un c
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mais par d’implacables circonstances techniques,
économiques
et politiques. Il en résulte que la souveraineté nationale n’a plus g
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publiciste grec : « Dans les domaines militaire,
économique
et politique, les organisations internationales existantes (telles qu
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Europe non seulement au point de vue politique et
économique
, mais aussi sur le plan culturel et spirituel. Il avait été décidé fi
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écessités de l’époque » empruntant au vocabulaire
économique
et politique. Or si l’on peut prouver que l’auto produite par une pet
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s, comme celles des autres nations, à l’évolution
économique
et sociale du pays. Il est donc normal d’admettre que l’évolution éco
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ys. Il est donc normal d’admettre que l’évolution
économique
de l’URSS commandait de passer de la dictature d’un seul à celle de p
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s’agit là d’une nécessité organique. L’évolution
économique
et sociale est en Russie — « comme dans les autres nations » — le vra
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s de nourriture et de richesses : cette théorie «
économique
» ou utilitaire suppose un type d’homme peu connu ou ignoré jusqu’au
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jourd’hui les questions matérielles, les « lois »
économiques
, les remous de la politique, le cinéma, ou l’Art lui-même. Quant à sa
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it tout désarmement et retardait ainsi le progrès
économique
; 8. que le niveau de vie des travailleurs, dans tous les pays commun
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elles restent libres (en principe). Les échanges
économiques
se poursuivent dans la mesure du possible avec les deux camps. On éch
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plus, elle serait condamnée au permanent désordre
économique
entretenu par ses divisions. Le peu de progrès dû à « l’idée européen
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it strictement militaire, non pas morale, ni même
économique
. Elle signifierait strictement le refus des Européens d’être utilisés
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Elle ne portera pas sur les moyens politiques ou
économiques
d’obtenir l’union ; ni sur les options tactiques, occasionnelles, que
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acles psychologiques, traditionnels ou soi-disant
économiques
, s’opposent à l’union nécessaire. Pour les tourner (seule solution pr
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fin, la faiblesse du support matériel (militaire,
économique
, démographique) faisant présager la perte de l’indépendance, suivie d
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art, sans prétentions de métropole ni de monopole
économique
ou culturel. Bonn, ou Berne, ou La Haye ne gênent pas les vrais centr
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ucoup plus réelles ; et surtout devant des tâches
économiques
, éducatives et spirituelles, d’une ampleur telle qu’aucun de nos pays
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leur doctrine aux nécessités de leur construction
économique
; il est probable que les Américains ne sont pas loin de réaliser les
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mi-chemin de son évolution, s’ouvre sur une union
économique
étendue à l’échelle atlantique. La première indiquait le transfert de
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l’entrée dans le Marché commun, pour des raisons
économiques
, et aussi politiques. Je garde quelque espoir que, lorsque des forces
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de pactes politiques et militaires, et de traités
économiques
entre pays prétendus souverains. C’est la formule d’une Sainte-Allian
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Ein Volk, ein Reich, ein Führer. » Des puissances
économiques
et des équipes de technocrates en lieu et place des anciens partis et
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ux dépens de l’union réelle. Toutefois, une unité
économique
massive de plusieurs centaines de millions des meilleurs travailleurs
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e de la Confédération ». Adhérer au Marché commun
économique
en refusant son « prolongement politique » — pour rester neutres à to
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ire140 ». « La situation internationale actuelle,
économique
, politique et militaire a, en fait, complètement transformé le sens,
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ues, qu’elle reste libre d’avancer142. Arguments
économiques
. — La Suisse a très bien réussi jusqu’ici sans subordonner son économ
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vembre 1962. 142. Paul Guggenheim, Organisations
économiques
supranationales, indépendance et neutralité de la Suisse, Bâle, 1963.
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s dans l’eau sombre… Été ce matin à la commission
économique
, en curieux. Le président Hopkinson MP me prie de venir siéger à la t
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puyer sur le plan Marshall, et qu’une intégration
économique
conduira nécessairement à l’intégration militaire. Le réalisme comman
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européenne, de Maurice Allais sur l’organisation
économique
, ou de Théo Chopard sur le syndicalisme, je souligne beaucoup de prop
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propose les étapes suivantes pour l’organisation
économique
du continent : l’union douanière doit être l’expression finale d’une
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uanière doit être l’expression finale d’une union
économique
, c’est-à-dire d’un plan commun de production ; la franchise totale de
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oustrait quelques points essentiels, la politique
économique
, par exemple. Au surplus, dans la perspective historique qui commence
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de la guerre, la Ligue européenne de coopération
économique
, au nom de laquelle il était venu à Montreux. Je devais découvrir tou
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s’occuperaient des problèmes politiques, sociaux,
économiques
, coloniaux, etc. Leurs dirigeants formeraient le noyau d’un futur gou
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gfried), et de la Ligue européenne de coopération
économique
(van Zeeland, Serruys) se rencontraient avec ceux de l’UEF (Brugmans,
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ançais aient chacun une voix, tout comme la Ligue
économique
et l’UEF, cette dernière se trouve seule contre trois. « Pourtant, si
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aux commissions « sérieuses » (la politique et l’
économique
), devait assumer le rôle décisif de dire le sens de toute l’entrepris
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grès par les animateurs des sections politique et
économique
. Dès la fin de février, j’avais reçu des promesses de collaboration d
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pour le rapport culturel, le rapport politique et
économique
étant déjà sous presse. On était à dix jours du Congrès. À Londres, l
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, c’est-à-dire de fonder les efforts pour l’union
économique
et politique sur l’unité de culture déjà existante et sur les droits
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s Chevaliers, où la séance plénière de la section
économique
prenait fin. Je vis Churchill debout devant le micro, les mains sur l
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part l’adhésion de P.-H. Spaak ; puis un congrès
économique
à Westminster, en avril 1949, qui précisa qu’« une Autorité européenn
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cifiques dans des domaines bien définis de la vie
économique
». Pour les « industries de base telles que charbon, fer et acier »,
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spondance autre qu’accidentelle avec aucun espace
économique
défini par la nature des choses ou par un projet rationnel. Puissan
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ibrement son avenir. Jusqu’à nous, point de choix
économiques
ni même peut-être politiques longuement délibérés, concertés à long t
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t vraiment former, comme par miracle, des entités
économiques
intelligibles. Je ne sais si les problèmes profonds que pose leur bal
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s dites nationales, qui ne correspondent à rien d’
économique
. Mais ce que je sais de science certaine, c’est que les États-nations
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on où il peut servir une entité vivante, civique,
économique
ou culturelle, et être contrôlé par l’usager ; distribuer et répartir