1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
1 modernes et puissants (politiques, scientifiques, économiques , sociaux) au service de la vocation commune à tous nos peuples, le mo
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
2 nos raisons de vivre. Il y a la menace de ruines économiques qui entraîneraient une tutelle étrangère et ses conséquences culturel
3 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
3 e festivals). Cette méthode s’est montrée la plus économique , la plus rapide et la plus efficace aussi pour préserver les entrepri
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
4 ions dans le monde, notre indépendance politique, économique et peut-être morale. Et certes, nous perdrons tout cela, tout ce qui
5 nstruction de l’Europe avançait, mais lentement : économique , politique, militaire. Et les résistances croissaient à la mesure des
6 , et celui de compenser la perte de nos positions économiques dans le monde, la table ronde a conclu à la nécessité « d’opérer un c
7 mais par d’implacables circonstances techniques, économiques et politiques. Il en résulte que la souveraineté nationale n’a plus g
8 publiciste grec : « Dans les domaines militaire, économique et politique, les organisations internationales existantes (telles qu
9 Europe non seulement au point de vue politique et économique , mais aussi sur le plan culturel et spirituel. Il avait été décidé fi
5 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
10 écessités de l’époque » empruntant au vocabulaire économique et politique. Or si l’on peut prouver que l’auto produite par une pet
6 1954, Preuves, articles (1951–1968). Politique de la peur proclamée (novembre 1954)
11 s, comme celles des autres nations, à l’évolution économique et sociale du pays. Il est donc normal d’admettre que l’évolution éco
12 ys. Il est donc normal d’admettre que l’évolution économique de l’URSS commandait de passer de la dictature d’un seul à celle de p
13 s’agit là d’une nécessité organique. L’évolution économique et sociale est en Russie — « comme dans les autres nations » — le vra
7 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
14 s de nourriture et de richesses : cette théorie «  économique  » ou utilitaire suppose un type d’homme peu connu ou ignoré jusqu’au
15 jourd’hui les questions matérielles, les « lois » économiques , les remous de la politique, le cinéma, ou l’Art lui-même. Quant à sa
8 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
16 it tout désarmement et retardait ainsi le progrès économique  ; 8. que le niveau de vie des travailleurs, dans tous les pays commun
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
17 elles restent libres (en principe). Les échanges économiques se poursuivent dans la mesure du possible avec les deux camps. On éch
10 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
18 plus, elle serait condamnée au permanent désordre économique entretenu par ses divisions. Le peu de progrès dû à « l’idée européen
11 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
19 it strictement militaire, non pas morale, ni même économique . Elle signifierait strictement le refus des Européens d’être utilisés
12 1957, Preuves, articles (1951–1968). Pourquoi je suis Européen (octobre 1957)
20 Elle ne portera pas sur les moyens politiques ou économiques d’obtenir l’union ; ni sur les options tactiques, occasionnelles, que
13 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
21 acles psychologiques, traditionnels ou soi-disant économiques , s’opposent à l’union nécessaire. Pour les tourner (seule solution pr
14 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
22 fin, la faiblesse du support matériel (militaire, économique , démographique) faisant présager la perte de l’indépendance, suivie d
15 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
23 art, sans prétentions de métropole ni de monopole économique ou culturel. Bonn, ou Berne, ou La Haye ne gênent pas les vrais centr
16 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
24 ucoup plus réelles ; et surtout devant des tâches économiques , éducatives et spirituelles, d’une ampleur telle qu’aucun de nos pays
17 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
25 leur doctrine aux nécessités de leur construction économique  ; il est probable que les Américains ne sont pas loin de réaliser les
18 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
26 mi-chemin de son évolution, s’ouvre sur une union économique étendue à l’échelle atlantique. La première indiquait le transfert de
27 l’entrée dans le Marché commun, pour des raisons économiques , et aussi politiques. Je garde quelque espoir que, lorsque des forces
19 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
28 de pactes politiques et militaires, et de traités économiques entre pays prétendus souverains. C’est la formule d’une Sainte-Allian
29 Ein Volk, ein Reich, ein Führer. » Des puissances économiques et des équipes de technocrates en lieu et place des anciens partis et
30 ux dépens de l’union réelle. Toutefois, une unité économique massive de plusieurs centaines de millions des meilleurs travailleurs
31 e de la Confédération ». Adhérer au Marché commun économique en refusant son « prolongement politique » — pour rester neutres à to
32 ire140 ». « La situation internationale actuelle, économique , politique et militaire a, en fait, complètement transformé le sens,
33 ues, qu’elle reste libre d’avancer142. Arguments économiques . — La Suisse a très bien réussi jusqu’ici sans subordonner son économ
34 vembre 1962. 142. Paul Guggenheim, Organisations économiques supranationales, indépendance et neutralité de la Suisse, Bâle, 1963.
20 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
35 s dans l’eau sombre… Été ce matin à la commission économique , en curieux. Le président Hopkinson MP me prie de venir siéger à la t
36 puyer sur le plan Marshall, et qu’une intégration économique conduira nécessairement à l’intégration militaire. Le réalisme comman
37 européenne, de Maurice Allais sur l’organisation économique , ou de Théo Chopard sur le syndicalisme, je souligne beaucoup de prop
38 propose les étapes suivantes pour l’organisation économique du continent : l’union douanière doit être l’expression finale d’une
39 uanière doit être l’expression finale d’une union économique , c’est-à-dire d’un plan commun de production ; la franchise totale de
40 oustrait quelques points essentiels, la politique économique , par exemple. Au surplus, dans la perspective historique qui commence
41 de la guerre, la Ligue européenne de coopération économique , au nom de laquelle il était venu à Montreux. Je devais découvrir tou
42 s’occuperaient des problèmes politiques, sociaux, économiques , coloniaux, etc. Leurs dirigeants formeraient le noyau d’un futur gou
43 gfried), et de la Ligue européenne de coopération économique (van Zeeland, Serruys) se rencontraient avec ceux de l’UEF (Brugmans,
44 ançais aient chacun une voix, tout comme la Ligue économique et l’UEF, cette dernière se trouve seule contre trois. « Pourtant, si
45 aux commissions « sérieuses » (la politique et l’ économique ), devait assumer le rôle décisif de dire le sens de toute l’entrepris
46 grès par les animateurs des sections politique et économique . Dès la fin de février, j’avais reçu des promesses de collaboration d
47 pour le rapport culturel, le rapport politique et économique étant déjà sous presse. On était à dix jours du Congrès. À Londres, l
48 , c’est-à-dire de fonder les efforts pour l’union économique et politique sur l’unité de culture déjà existante et sur les droits
49 s Chevaliers, où la séance plénière de la section économique prenait fin. Je vis Churchill debout devant le micro, les mains sur l
50 part l’adhésion de P.-H. Spaak ; puis un congrès économique à Westminster, en avril 1949, qui précisa qu’« une Autorité européenn
51 cifiques dans des domaines bien définis de la vie économique  ». Pour les « industries de base telles que charbon, fer et acier »,
21 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
52 spondance autre qu’accidentelle avec aucun espace économique défini par la nature des choses ou par un projet rationnel. Puissan
53 ibrement son avenir. Jusqu’à nous, point de choix économiques ni même peut-être politiques longuement délibérés, concertés à long t
54 t vraiment former, comme par miracle, des entités économiques intelligibles. Je ne sais si les problèmes profonds que pose leur bal
55 s dites nationales, qui ne correspondent à rien d’ économique . Mais ce que je sais de science certaine, c’est que les États-nations
56 on où il peut servir une entité vivante, civique, économique ou culturelle, et être contrôlé par l’usager ; distribuer et répartir