1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 en deux images exactes les conditions morales et économiques des habitants de l’île. 1° Division des terres. — J’ai pu vérifier à
2 es renseigné, vaille que vaille, sur les facteurs économiques du pays, sur les noms des notables et sur le jeu des partis politique
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
3 ature spirituelle, à mon avis, au moins autant qu’ économique . Car la lutte qui se livre aujourd’hui dans le secret de la conscienc
3 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
4 auf les mouettes. Qu’on ne me parle plus des lois économiques et de leurs fatales réalités : car ce sont les réalités d’un monde to
4 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
5 t menacée d’annexion politique ou de colonisation économique . Voici le fait fondamental qu’énonçait au congrès de La Haye le Mess
6 W. Churchill) ; Ligue indépendante de coopération économique (Paul van Zeeland) ; Comité français pour l’Europe unie (E. Herriot e
7 universitaires. Trois résolutions furent votées : économique , politique et culturelle. La résolution politique prévoyait, comme pr
8 tre européen de la culture et de nombreux travaux économiques . Au début de novembre 1948, l’Union européenne des fédéralistes réuni
9  : Assemblée, Cour des droits de l’homme, mesures économiques , Centre de la culture. Décrivons rapidement les forces en présence :
10 out État qui céderait au totalitarisme ? Mesures économiques . — Le contradicteur moyen aime à nous dire que nos plans « généreux »
11 que nous n’aurons pas résolu les grands problèmes économiques . Nous sommes un certain nombre à penser qu’au contraire, la plupart d
12 penser qu’au contraire, la plupart des problèmes économiques resteront insolubles en fait, tant que nos plans politiques n’auront
13 sité le résultat des discussions de notre section économique , si l’on songe qu’elle a pu réunir, sous le signe de l’Europe, des ho
14 ment, il nous paraît clair que toutes les mesures économiques et politiques que pourrait proposer le Mouvement européen resteraient
15 vrira bientôt en Suisse. ⁂ Il n’est point d’ordre économique possible sans une volonté préalable de mise en ordre politique. Il n’
5 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
16 ent, mais notablement atténuées, que dans le plan économique , sous les noms de libéralisme et de dirigisme.) Que veulent les union
17 plan Marshall se termine dans deux ans. La crise économique s’aggrave très rapidement (sans nulle prudence !) faute d’unité dans
18 e autorité politique supranationale, d’un Conseil économique et social, d’un passeport européen, d’un Centre européen de la cultur
6 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
19 nous d’un corps d’occupation anticipée. La crise économique est imminente. La crise sociale est endémique. Au point de vue de la
20 , soit qu’elle se laisse subordonner aux intérêts économiques ou politiques, soit qu’elle se contente d’une liberté honoraire, sans
21 le vaut, avant la fin de l’année. Dans le domaine économique , nous avons le plan Schuman, qui peut être un début de mise en commun
7 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
22 leur langue, de leurs coutumes, ou des nécessités économiques nouvelles, et qui enfièvrent tour à tour la Bretagne, les Flandres ou
23 isés — se révèlent trop grands pour animer la vie économique culturelle et surtout civique de leurs régions : celles-ci se sentent
24 quelles ne peuvent répondre que de grands espaces économiques constitués à la mesure des possibilités et des besoins de l’ère scien
25 ilités de participation (civique, intellectuelle, économique ), efficacité, économie des moyens. Enfin, dernière étape : une fois d
26 défense, les affaires étrangères et la politique économique , ou certaines recherches scientifiques) sans léser les droits essenti