1
en deux images exactes les conditions morales et
économiques
des habitants de l’île. 1° Division des terres. — J’ai pu vérifier à
2
es renseigné, vaille que vaille, sur les facteurs
économiques
du pays, sur les noms des notables et sur le jeu des partis politique
3
ature spirituelle, à mon avis, au moins autant qu’
économique
. Car la lutte qui se livre aujourd’hui dans le secret de la conscienc
4
auf les mouettes. Qu’on ne me parle plus des lois
économiques
et de leurs fatales réalités : car ce sont les réalités d’un monde to
5
t menacée d’annexion politique ou de colonisation
économique
. Voici le fait fondamental qu’énonçait au congrès de La Haye le Mess
6
W. Churchill) ; Ligue indépendante de coopération
économique
(Paul van Zeeland) ; Comité français pour l’Europe unie (E. Herriot e
7
universitaires. Trois résolutions furent votées :
économique
, politique et culturelle. La résolution politique prévoyait, comme pr
8
tre européen de la culture et de nombreux travaux
économiques
. Au début de novembre 1948, l’Union européenne des fédéralistes réuni
9
: Assemblée, Cour des droits de l’homme, mesures
économiques
, Centre de la culture. Décrivons rapidement les forces en présence :
10
out État qui céderait au totalitarisme ? Mesures
économiques
. — Le contradicteur moyen aime à nous dire que nos plans « généreux »
11
que nous n’aurons pas résolu les grands problèmes
économiques
. Nous sommes un certain nombre à penser qu’au contraire, la plupart d
12
penser qu’au contraire, la plupart des problèmes
économiques
resteront insolubles en fait, tant que nos plans politiques n’auront
13
sité le résultat des discussions de notre section
économique
, si l’on songe qu’elle a pu réunir, sous le signe de l’Europe, des ho
14
ment, il nous paraît clair que toutes les mesures
économiques
et politiques que pourrait proposer le Mouvement européen resteraient
15
vrira bientôt en Suisse. ⁂ Il n’est point d’ordre
économique
possible sans une volonté préalable de mise en ordre politique. Il n’
16
ent, mais notablement atténuées, que dans le plan
économique
, sous les noms de libéralisme et de dirigisme.) Que veulent les union
17
plan Marshall se termine dans deux ans. La crise
économique
s’aggrave très rapidement (sans nulle prudence !) faute d’unité dans
18
e autorité politique supranationale, d’un Conseil
économique
et social, d’un passeport européen, d’un Centre européen de la cultur
19
nous d’un corps d’occupation anticipée. La crise
économique
est imminente. La crise sociale est endémique. Au point de vue de la
20
, soit qu’elle se laisse subordonner aux intérêts
économiques
ou politiques, soit qu’elle se contente d’une liberté honoraire, sans
21
le vaut, avant la fin de l’année. Dans le domaine
économique
, nous avons le plan Schuman, qui peut être un début de mise en commun
22
leur langue, de leurs coutumes, ou des nécessités
économiques
nouvelles, et qui enfièvrent tour à tour la Bretagne, les Flandres ou
23
isés — se révèlent trop grands pour animer la vie
économique
culturelle et surtout civique de leurs régions : celles-ci se sentent
24
quelles ne peuvent répondre que de grands espaces
économiques
constitués à la mesure des possibilités et des besoins de l’ère scien
25
ilités de participation (civique, intellectuelle,
économique
), efficacité, économie des moyens. Enfin, dernière étape : une fois d
26
défense, les affaires étrangères et la politique
économique
, ou certaines recherches scientifiques) sans léser les droits essenti