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ie notre absence de liberté, toutes les fatalités
économiques
qui, selon lui, dominent nos croyances intimes. Mais cela revient au
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au même : car si tout est déterminé par les lois
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, donc par la matière, là encore l’esprit ne peut rien. Aussi bien, Ma
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ifient les rigueurs de leur régime au nom de lois
économiques
, ou historiques, ou biologiques. Or il est clair que ces lois ne sont
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prétexte de réalisme, et de défense des intérêts
économiques
, c’est la réalité européenne de la Suisse que l’on perd de vue. On l’
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es dernières années, pour sa défense militaire et
économique
, des mesures d’une ampleur auparavant inconnue. Cependant les milieux
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petitesse de notre territoire, et nos difficultés
économiques
, ils n’aperçoivent nullement l’indication d’une vocation européenne d
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pire. Peu à peu, le Gothard perdra son importance
économique
, mais il prendra la valeur d’un symbole, et la mission des Suisses s’
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igieux, culturels, linguistiques, idéologiques ou
économiques
, à condition qu’ils aient ceci de commun : l’œcuménicité, la volonté
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la base de la plupart de nos conflits politiques,
économiques
, parlementaires. 2. Ni gauche ni droite. — Les centralisateurs et les
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i aient plus d’idées générales que de compétences
économiques
. Je connais tel professeur d’Université, tel écrivain, tel philanthro