1
3. L’Europe unie n’est pas un expédient moderne,
économique
ou politique, mais c’est un idéal qu’approuvent depuis mille ans tous
2
mais les conditions politiques, ecclésiastiques,
économiques
et sociales, — nous dirions la culture, en un mot. « Personne ne conn
3
les inaugurent l’ère d’un aventureux impérialisme
économique
au moment où sombre l’idée du Saint-Empire continental. Elles déplace
4
res continents, et cela du fait de leur expansion
économique
. Les armes économiques sont devenues décisives : Ce ne sont plus les
5
a du fait de leur expansion économique. Les armes
économiques
sont devenues décisives : Ce ne sont plus les armées aujourd’hui qui
6
t. Au reste, qu’on ne croie pas que l’uniformité
économique
soit un facteur d’union, bien au contraire : C’est parce que le sol d
7
ntières naturelles », c’est-à-dire à leur optimum
économique
, et refermés chacun sur soi, sans espoir ni besoin d’agrandissement.
8
ement organique de l’Europe, la logique des faits
économiques
autant que celle de l’histoire, nous conduisent inévitablement vers u
9
a eue de pouvoir résoudre le problème politique,
économique
et social en son sein et par ses seules forces, dans l’oubli de cette
10
rx lui est sans conteste supérieur dans l’analyse
économique
, Proudhon n’en est pas moins l’ancêtre européen des formes démocratiq
11
social, celui qui veut réaliser l’ordre social et
économique
ici-bas ». Dans les deux cas, il y a mission et messianisme, mission
12
mondiale. Et la naissance d’une action politique,
économique
et culturelle pour faire de ces projets une réalité date du lendemain
13
ette nouvelle unité, il faut placer un grand fait
économique
qui éclaire la situation : les petits États de l’Europe — j’entends t
14
ais — les frontières militaires et les frontières
économiques
. Mais tous ces nationalismes sont des impasses ; qu’on essaie de les
15
e et pour le bien du monde, sinon leur suprématie
économique
et politique, du moins leur séculaire suprématie de créateurs et de p
16
énation dans laquelle la brutalité d’un mécanisme
économique
et social a fait sombrer sa liberté de disposer de lui-même. C’est en
17
que, avec ses problèmes particuliers, politiques,
économiques
, spirituels, etc. Fruit de l’hellénisme après son expansion, le monde
18
nce de l’Europe, c’est l’ensemble des difficultés
économiques
devant lesquelles se trouve aujourd’hui chacune des nations européenn
19
emand ou de cet Anglais dans cette dimension de l’
économique
. Car le fait véritablement curieux est précisément que la dépression
20
iculté ne se trouve donc dans aucun des problèmes
économiques
qui se posent, mais dans ce que la forme de vie publique où doivent s
21
vie publique où doivent se mouvoir les capacités
économiques
, n’est pas en rapport avec leur intensité… Le pessimisme, le décourag
22
teurs sont en apparence très distincts du domaine
économique
. Par exemple dans la vie intellectuelle. Tout bon intellectuel allema
23
nt les frontières et les structures nationales et
économiques
qui entravent l’échange des hommes et des biens. Ceci vaut surtout po
24
entre nous tous. Aucune organisation politique ou
économique
, quelles que soient les bonnes volontés dont elle bénéficierait, ne s
25
ort beaucoup plus profond pour réaliser une unité
économique
et politique de l’Europe. Au thème de l’unité dans la diversité, Art
26
tiques du continent en un groupement politique et
économique
international. Si la Paneurope est créée, en tant que puissance mondi
27
onduise à la plus terrible catastrophe politique,
économique
et culturelle ? L’avenir de l’Europe dépend de la réponse qui sera do
28
ment, l’association agira surtout dans le domaine
économique
. C’est la question la plus pressante. Je crois que l’on peut y obteni
29
urope, les possibilités d’élargissement du marché
économique
, les tentatives d’intensification et d’amélioration de la production
30
e sociale, l’utilisation intégrale des ressources
économiques
en faveur de la collectivité tout entière et l’épanouissement autonom
31
le une Union fédérale permettra la reconstruction
économique
du continent et la suppression des monopoles et des autarcies nationa
32
nde formation politique et le plus vaste ensemble
économique
de notre temps. Jamais l’histoire du monde n’aura connu un si puissan
33
ur patrimoine commun et de favoriser leur progrès
économique
et social. (b) Ce but sera poursuivi au moyen des organes du Conseil,
34
l’adoption d’une action commune dans les domaines
économique
, social, culturel, scientifique, juridique et administratif, ainsi qu
35
’établissement de bases communes de développement
économique
; Soucieux de concourir par l’expansion de leurs productions fondame
36
els, à fonder par l’instauration d’une communauté
économique
les premières assises d’une communauté plus large et plus profonde en
37
cidés à assurer par une action commune le progrès
économique
et social de leur pays en éliminant les barrières qui divisent l’Euro