1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 1. Une fausse nouvelle : « Dieu est mort »
1 re, ou encore dans nos préoccupations politiques, économiques et sociales. Puisqu’il n’est sensible qu’au cœur, c’est-à-dire au plu
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
2 applications sociales, culturelles, politiques ou économiques , il semblerait bon de fixer certains principes ou stades intermédiair
3 cice d’une vocation. Elle condamnera tout système économique qui fait de l’homme le jouet des intérêts de l’État, d’un trust, de l
4 (de droite), l’intérêt national ou la prospérité économique . Le devoir des Églises est de repenser toutes ces catégories et de le
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
5 des facteurs en partie mesurables (géographiques, économiques , etc.), ou formulables dans notre langage plus ou moins naïvement pos
6 parti entre ces deux explications d’un phénomène économique que par ailleurs personne — non pas même Marx, quoi qu’on en pense so
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
7 à tous les bouleversements politiques, sociaux et économiques . La féodalité, la monarchie, la distinction des classes, le capitalis
8 femme à l’égalité politique, juridique et surtout économique est peut-être le facteur principal de cette évolution. Le seul fait q
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
9 remise sur ses pieds en la fondant sur la matière économique  ; qu’ainsi lestée, elle a pu se mettre en marche et agir au niveau du
10 a « science » infaillible des lois de l’évolution économique , qu’il formule. Je résume et je simplifie ce processus : ceux qui pré
11 e changer « le monde », c’est-à-dire les rapports économiques et sociaux. Et s’il nous reste encore du temps, nous changerons l’hom
12 par exemple, n’est qu’un « reflet » du processus économique  ? On voit ainsi comment Marx lui-même se prend à son jeu polémique. C
13 insisté plus qu’il ne convenait sur les facteurs économiques . Nous étions forcés d’insister sur leur caractère fondamental, par op
14 usticiable, en soi, que d’une critique politique, économique , historique, etc.36 Et je ne vois pas que le chrétien comme tel ait d
15 uant que c’est le seul moyen d’accéder à un stade économique plus favorable au développement du socialisme. Je vois beaucoup de ma
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
16 nouveau, qui viendra se substituer aux problèmes économiques et sociaux d’aujourd’hui, portant alors au premier plan les grandes q
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
17 avers les complexités infinies de nos difficultés économiques , sociales, politiques et religieuses, ils se dégagent avec d’autant p
18 nt un climat presque mortel. Conflit politique et économique entre l’État totalitaire et les droits de l’homme. Conflit moral entr
19 ant une somme d’hérésies. Du conflit politique et économique , résultent pratiquement la guerre et la révolution. Du conflit moral
20 il faut se la représenter. La santé politique et économique s’appelle fédéralisme. La santé morale et civique s’appelle personnal
21 s ceci : que le fédéralisme implique dans l’ordre économique la vitalité des syndicats ouvriers et patronaux, et la substitution a
22 ormalement. Il ne reste donc à prévoir qu’un vide économique , idéologique et social sans précédent dans notre histoire. » bt. L’é
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
23 toutes dernières années. Un certain déterminisme économique semblait nous conduire sans merci vers le triomphe du plan total, ord
24 eul ses colonies. Aucun ne peut vivre en autarcie économique , ni commercer comme il l’entend. Aucun donc n’est indépendant. Mais i
9 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
25 saines du quadruple point de vue social, civique, économique et politique. Il a toujours favorisé les solutions fédératives, perme
26 ette technique, et les valeurs morales, sociales, économiques et politiques qui en furent le contexte séculaire se voient aujourd’h