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re, ou encore dans nos préoccupations politiques,
économiques
et sociales. Puisqu’il n’est sensible qu’au cœur, c’est-à-dire au plu
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applications sociales, culturelles, politiques ou
économiques
, il semblerait bon de fixer certains principes ou stades intermédiair
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cice d’une vocation. Elle condamnera tout système
économique
qui fait de l’homme le jouet des intérêts de l’État, d’un trust, de l
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(de droite), l’intérêt national ou la prospérité
économique
. Le devoir des Églises est de repenser toutes ces catégories et de le
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des facteurs en partie mesurables (géographiques,
économiques
, etc.), ou formulables dans notre langage plus ou moins naïvement pos
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parti entre ces deux explications d’un phénomène
économique
que par ailleurs personne — non pas même Marx, quoi qu’on en pense so
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à tous les bouleversements politiques, sociaux et
économiques
. La féodalité, la monarchie, la distinction des classes, le capitalis
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femme à l’égalité politique, juridique et surtout
économique
est peut-être le facteur principal de cette évolution. Le seul fait q
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remise sur ses pieds en la fondant sur la matière
économique
; qu’ainsi lestée, elle a pu se mettre en marche et agir au niveau du
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a « science » infaillible des lois de l’évolution
économique
, qu’il formule. Je résume et je simplifie ce processus : ceux qui pré
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e changer « le monde », c’est-à-dire les rapports
économiques
et sociaux. Et s’il nous reste encore du temps, nous changerons l’hom
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par exemple, n’est qu’un « reflet » du processus
économique
? On voit ainsi comment Marx lui-même se prend à son jeu polémique. C
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insisté plus qu’il ne convenait sur les facteurs
économiques
. Nous étions forcés d’insister sur leur caractère fondamental, par op
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usticiable, en soi, que d’une critique politique,
économique
, historique, etc.36 Et je ne vois pas que le chrétien comme tel ait d
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uant que c’est le seul moyen d’accéder à un stade
économique
plus favorable au développement du socialisme. Je vois beaucoup de ma
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nouveau, qui viendra se substituer aux problèmes
économiques
et sociaux d’aujourd’hui, portant alors au premier plan les grandes q
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avers les complexités infinies de nos difficultés
économiques
, sociales, politiques et religieuses, ils se dégagent avec d’autant p
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nt un climat presque mortel. Conflit politique et
économique
entre l’État totalitaire et les droits de l’homme. Conflit moral entr
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ant une somme d’hérésies. Du conflit politique et
économique
, résultent pratiquement la guerre et la révolution. Du conflit moral
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il faut se la représenter. La santé politique et
économique
s’appelle fédéralisme. La santé morale et civique s’appelle personnal
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s ceci : que le fédéralisme implique dans l’ordre
économique
la vitalité des syndicats ouvriers et patronaux, et la substitution a
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ormalement. Il ne reste donc à prévoir qu’un vide
économique
, idéologique et social sans précédent dans notre histoire. » bt. L’é
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toutes dernières années. Un certain déterminisme
économique
semblait nous conduire sans merci vers le triomphe du plan total, ord
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eul ses colonies. Aucun ne peut vivre en autarcie
économique
, ni commercer comme il l’entend. Aucun donc n’est indépendant. Mais i
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saines du quadruple point de vue social, civique,
économique
et politique. Il a toujours favorisé les solutions fédératives, perme
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ette technique, et les valeurs morales, sociales,
économiques
et politiques qui en furent le contexte séculaire se voient aujourd’h