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iste » ; à lire « caractère unifiant » là où nous
écrivons
« trait distinctif », à déplorer que nous éliminions le judaïsme ou l
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ïsme ou le christianisme, quand nous ne cessons d’
écrire
qu’avec Rome et Athènes ils sont les éléments fondamentaux de notre c
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e votre auteur consiste à lire à rebours tous nos
écrits
, et non pas à les interpréter d’une manière qui pourrait prêter à dis
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et de plans, et de leurs critiques : elle reste à
écrire
, on le voit. Il m’importait seulement de situer ma position, c’est-à-
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toujours, par des manifestes d’intellectuels, des
écrits
de visionnaires, des groupuscules de militants — pour la plupart issu
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tres doivent être cités d’emblée. Les 85 articles
écrits
par Jay, Hamilton et Madison pour défendre la Constitution fédérale a
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gmans et Pierre Duclos — le second de ces auteurs
écrit
ceci : Tout démontre que, quel que soit son avenir, [le fédéralisme]
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honnête et enseignant d’aller rechercher dans les
écrits
des précurseurs de l’Europe unie, à partir du xive siècle, et en rem
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estion européenne, l’empire et les nations. Dante
écrit
son traité au moment où le Saint-Empire, principe d’unité, est en cri
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e. « Si cet idéal de l’avenir se réalise un jour,
écrit
-il en 1875, la nationalité suisse devra s’incorporer à la communauté
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es sur les bancs de l’école ; et si plus tard ils
écrivent
et publient, il y aura peu de chances qu’ils se lisent mutuellement.
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ussi bas que possible et surtout pas trop vite »,
écrivait
une mère angoissée à son fils aviateur en 1915.) Mais de cette Premiè
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vains et philosophes les plus sérieux. Bernanos a
écrit
un livre plein de verve et d’indignation patriotique et prophétique i
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ande partie aux efforts de Joseph Retinger, qui m’
écrivait
le 29 mars : Je suis d’avis que cette déclaration doit fournir le po
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but de 1967, c’est-à-dire au moment où devaient l’
écrire
de leur côté Jean Buchmann, qui la publie dans L’Europe en formation
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t de la Russie aujourd’hui, de la Chine demain »,
écrivait
dès 1954 Jean Monnet. (Lettre de démission de la CECA.) Ils sont trop
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ositions.30 Bien avant d’avoir lu ces lignes, j’
écrivais
de mon côté : L’union, pour deux États-nations, n’est jamais qu’une
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e ses pouvoirs à une autorité supranationale ? »,
écrivait
François Mauriac, dans le Figaro littéraire qui parut le jour même où
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s belles choses » (15 février 1969)z Vous avez
écrit
: « N’habitez pas les villes » et peut-être est-ce pour cela que vous
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édéralisme. Il l’a non seulement défendue par ses
écrits
, mais également par son action en tant que directeur du Centre europé
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’Occident et les ouvrages que je suis en train d’
écrire
ou que j’ai déjà écrit sur le fédéralisme. Il n’y a jamais eu en moi
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es que je suis en train d’écrire ou que j’ai déjà
écrit
sur le fédéralisme. Il n’y a jamais eu en moi deux activités distinct
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. […] Comme je le disais d’ailleurs dans un livre
écrit
pendant la guerre à New York, La Part du diable , nous allons vers l
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Deux prodigieux spectacles ont fixé son regard (
écrit
Nietzsche parlant d’Héraclite) : le mouvement éternel, négation de la
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rope germanique et latine : du sommet du Gothard,
écrivait
le chevalier de Boufflers, « l’on peut cracher dans l’Océan et dans l
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is l’Europe est partout où une langue est parlée,
écrite
et chantée librement par une communauté d’hommes libres. Rien n’est a
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n illustre homme d’État belge, et grand Européen,
écrivait
récemment : « Ce n’est pas dans le fédéralisme, ce n’est pas en se re
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e à la fois une et double de Jésus-Christ. Et ils
écrivent
: « Nous enseignons un seul et même Seigneur Jésus-Christ, vrai Dieu
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s de la séance du 10 mars 1969. u. Pierre Duclos
écrivait
en 1962 dans son excellent ouvrage en collaboration avec Henri Brugma
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nage qui m’ont touché. La plupart des « actuels »
écrivent
mal, ou sont plats. Mais la question de son « actualité » reste intér
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el dessein il consacre à peu près un tiers de son
écrit
à la chronique de faits d’armes dont il n’a pas été le témoin, et qui
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mpassion signale la présence de Dunant, qui avait
écrit
peu de pages auparavant, de la manière la plus impersonnelle, à propo
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n Belge exalté et d’un négociant de Neuchâtel qui
écrit
pour les mourants des lettres d’adieux à leurs familles. Peu à peu, l
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sait la suite, mais dans son livre, il se borne à
écrire
cette seule phrase qui est sans doute l’une des plus saugrenues de l’
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ces rendus à l’humanité souffrante ». Le pape lui
écrit
de sa main. Et c’est enfin le premier prix Nobel de la paix qui vient
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ère Guerre « mondiale ». Il l’avait vue venir. Il
écrivait
: « Ah ! la guerre n’est pas morte ! Tout ce qui fait la gloire de vo
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er, ni peut-être s’avouer à lui-même, alors qu’il
écrivait
le début d’Un Souvenir. Son vrai discours contre la guerre et le mili
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s inédits qu’il faut le chercher, dans ces textes
écrits
pour lui seul, et dans le seul respect de la vérité, sans idée d’acti
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les causes de la guerre dans l’ère moderne, qu’il
écrit
vers la fin du siècle dernier. Il est difficile aujourd’hui de ne pas