1 rces furent d’abord des idées, sont nées d’œuvres écrites . Le nationalisme qui nous étrique et qui paralyse encore le régime de

2 iques des xvie et xviie siècles, la plupart des écrits par des moines et à l’usage des confesseurs, on ne voit pas un seul é

3 Depuis la fin de l’Empire romain, on n’avait plus écrit de poèmes d’amour ni de traités de mystiques originaux. La vie sexuel

4 it Æneas Sivius au xve siècle. Qu’est-ce qu’on y écrit sur ce sujet ? Je trouve plusieurs dizaines d’ouvrages publiés en deu

5 e est littéralement la création du tiers-monde », écrit Fanon. Ses richesses ne proviendraient que de ses vols, c’est-à-dire

6 r l’« Europe » des hargnes provinciales. Quand il écrit Europe, il ne pense que France, et quand il pense France, il ne voit

7 m : le café. C’est là qu’elle se parle d’abord, s’ écrit bien souvent, et se lit. C’est dans les cafés de Hollande que se réun

8  2. Précédé du chapeau suivant, très probablement écrit par Rougemont : « L’Europe est en train de s’unir, pour des raisons à

9 ie siècle, elle hantait nos esprits. Voici ce qu’ écrit à Catherine de Russie le baron Grimm, gazetier littéraire de Paris, à

10 and, dont le père s’était fait protestant, et qui écrivait en Angleterre des articles pour le New York Herald Tribune. (Ces arti

11 la rédaction précise : « Une coquille nous a fait écrire que le chiffre de la population de l’Europe de l’Ouest était de 355 m

12 mone de Beauvoir, si j’en juge par leurs derniers écrits . Chez les plus jeunes, combien savent distinguer la sexualité de l’ér