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ra peut-être leur sécheresse : celle de bulletins
écrits
dans le feu de l’action. Pour élargir cette œuvre en plein essor, nou
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Américain se demande si l’on y croit vraiment… (J’
écris
on à dessein : car ce ne sont pas les mêmes qui, en Europe, font la c
3
tes nations indépendantes de l’aide américaine. J’
écris
ceci dans la pleine conviction qu’il n’est pas un des responsables de
4
e projet d’union et démontrant ses avantages. Ces
écrits
réunis sous un nom bientôt illustre : The Federalist, exercèrent une
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en deux phrases le rôle et l’importance d’un tel
écrit
, je dirais que d’une part il a créé l’animation politique nécessaire
6
es glissent dans une flaque d’alcool, comme ose l’
écrire
du haut de son prix Nobel le courageux François Mauriac. Mais la rais
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s gravement compromis. Pour la première fois je l’
écris
: il se peut que l’Europe soit perdue. S’il doit en être ainsi, la fa
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se à l’union. Ces deux faits nous incitent à vous
écrire
. Nous voyons que l’Europe a besoin d’un Parlement et d’un exécutif qu
9
Il dépend de vous, Messieurs, et de nous tous, d’
écrire
une autre Histoire pour une Europe nouvelle. Au nom du Groupe des Vin
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ait sa section culturelle qui avait été chargée d’
écrire
et de présenter le Message aux Européens, dégageant, à la fin des déb
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nt chez nous — comme M. Ehrenbourg, pendant que j’
écris
ceci, parle à Genève au cours des débats des Rencontres international
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ets. Chacun serait alors introduit par un rapport
écrit
et traduit à l’avance. Et chacun fournirait le thème et le point de d
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es en URSS, sur la réforme agraire en Italie.) 6.
Écrits
européens sur l’URSS et soviétiques sur l’Europe. (Ce que chacun pens
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que les commentaires des œuvres exécutées soient
écrits
ou prononcés par des musicologues européens. Ainsi se trouverait gara
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comme un grand souverain. Pour Daniel Defoe, qui
écrit
sur lui toute une étude, « il est le self-made-man modèle, un Robinso
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Ivan le Terrible l’avait été du sien) que Custine
écrira
sa phrase célèbre : « Le gouvernement russe est une monarchie absolue
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ut point ; et pourtant ce causeur subversif qui n’
écrivait
qu’en français naturellement (le texte publié n’était qu’une traducti
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orale et culturelle : « La logique de l’histoire,
écrit
-il, prononce sa sentence contre la vie spirituelle de l’Europe occide
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taire que celle de l’État. « La censure tsariste,
écrit
Isaiah Berlin, imposait le silence, mais du moins n’ordonnait-elle pa
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urope, au contraire, il est courant que le maître
écrive
au bas d’une rédaction qu’il veut louer : « Bon travail, idées origin
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urs non encore « découverts », et les induirait à
écrire
des œuvres adaptées au très vaste public à la fois exigeant et nouvea
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péen couronna deux romans dont l’un venait d’être
écrit
en vue du concours, et dont l’autre avait pour auteur un ouvrier, de
23
Pfulg a demandé à notre directeur de bien vouloir
écrire
le chapitre du manuel d’histoire se rapportant à l’Europe. Ce chapitr
24
tion. De plus, le directeur du CEC a été chargé d’
écrire
le chapitre final d’un nouveau manuel d’histoire nationale, ce chapit
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quand il n’y a rien encore à contempler » comme l’
écrit
Altiero Spinelli. Si j’adopte toutefois cette position, on voudra m’a
26
ueil Quelle Europe ?, Fayard, 1958, p. 19. 42. J’
écrivais
cela dès 1950, à propos du projet de CECA précisément, dans une préfa
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ue beaucoup ne font que répéter ce qui a déjà été
écrit
dans d’autres langues, que retracer le même historique, que regrouper
28
cution. Il s’agit en effet de choisir ou de faire
écrire
des manuscrits répondant à une série de conditions dont certaines app
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ne s’expliquent que par un fond commun… Qui veut
écrire
l’histoire de l’Europe doit commencer par les héritages. » L’auteur e
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tituée aux xie et xiie siècles », et Marc Bloch
écrivait
que « l’Europe fut une création du haut Moyen Âge ». Enfin Reynold ap
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res les plus variées. Il était important que l’on
écrive
en français une histoire qui situe l’évolution « française » avant la
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l’idée que l’Europe serait née d’une succession d’
écrits
s’inspirant les uns des autres, plutôt que de prises de position « co
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ont ne peuvent témoigner indiscutablement que les
écrits
du passé, commentés en fonction des problèmes majeurs de leur temps.
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ême œuvre de créateur, bien entendu — un Centre n’
écrit
pas de poèmes — mais pour qu’il y ait quelque part en Europe un lieu
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eu circulaire de la terre et des astres » comme l’
écrit
Nyota Inyoka. C’est reproduire sans faute de la manière prescrite, à
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sir un parti ou un candidat, servir dans un jury,
écrire
à son député, etc. J’insiste : là où nos manuels diraient par exemple
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’être avant tout un patriote ! » Dès cet instant,
écrira-t
-il, il a découvert l’interdépendance des peuples et la nécessité de m
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ses difficultés financières, eut soudain l’idée d’
écrire
une pièce de théâtre avec Retinger. Le sujet fut aussitôt choisi : c’
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d pendant plusieurs mois. Ils avaient décidé de l’
écrire
en français, langue de théâtre par excellence, aux yeux de Conrad. Le
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rêté sur le champ. De la prison de Pontarlier, il
écrit
au comte Zamoyski, qui a de grandes relations parisiennes. Trois jour
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s, syndicats, pressure groups, etc. Mais surtout,
écrit
-il : « Je n’avais pas encore bien vu que la question n’était pas seul
42
n mathématicien, et le second-maître s’essayait à
écrire
, suivant l’exemple de Conrad. Ils semblaient peu versés dans l’art de
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quitter le pays en bienfaiteur public. « De fait,
écrit
-il, lorsque je quittai le Mexique pour de bon en 1936, le président C
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olonaise, l’ordre Virtuti militari. « Je refusai,
écrit
J.H.R., l’un de mes rares complexes étant de détester les titres et d
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être le témoin. » À ce moment, sa voix se brisa,
écrit
Retinger, « et pour la première fois, je le vis pleurer ». De fait, l
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tôt aux Rencontres internationales, mais par mes
écrits
plus anciens sur « l’engagement de l’intellectuel », dont certains re
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ui fut longtemps son plus proche collaborateur, m’
écrit
: « Il s’est confessé et il a reçu les derniers sacrements. Il avait
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t d’avoir fait ce qu’il avait voulu faire (sauf d’
écrire
ses mémoires). Il n’avait plus de « responsabilités » depuis plusieur
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51. « Ces ouvrages ne passèrent pas inaperçus »,
écrit
J. H. Retinger ; « Paul Valéry me dit un jour qu’ils lui rappelaient
50
mettre à la place de l’étudiant qui entreprend d’
écrire
une thèse sur un sujet européen. Il n’a pas le temps de lire 2000 vol
51
s communs à la plupart de ces ouvrages : ils sont
écrits
à la hâte, pour « coller à l’actualité », et par suite entachés d’err
52
ec l’Association européenne des enseignants. Nous
écrivions
notamment en 1960 : Si maintenant nous voulons faire l’Europe, c’est
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nt où l’histoire a souvent violé la géographie »,
écrit
très bien Jacques Beaujeu-Garnier, professeur à la Sorbonne. Je voudr
54
rincipe de l’irréversibilité du temps est amené à
écrire
« qu’une vue physicienne stricto sensu du cosmos est trop étriquée ;
55
s : je les écoute, et plusieurs d’entre eux l’ont
écrit
. Une phrase de Spinoza s’est fixée dans mon souvenir dès l’adolescenc
56
t plus spécifiquement d’une culture européenne »,
écrit
Arthur Koestler. Et Stephen Spender de son côté, pense que « seule la
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me activité de tous Pendant longtemps, lire et
écrire
fut réservé aux clercs, puis à une élite restreinte. Puis il y eut l’
58
’ils le méritent, et non des peuples. Un peuple n’
écrit
rien, ne produit pas de littérature. Il arrive au contraire qu’une na
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ère jusqu’à la domination anglaise, tout ce qui s’
écrit
en Inde est poésie ou prose sacrée, religieuse, rituelle, symbolique
60
auvaise syllabe, il s’endort pour l’éternité… Les
écrits
hindous (ou aztèques, incas, mandarins, aujourd’hui maoïstes) sont lu
61
prit critique : ceci les distingue absolument des
écrits
européens. Les Orientaux disent : comment interpréter la vérité de ce
62
ces, tout ce passé reste présent et agit dans nos
écrits
: La littérature européenne est coextensive dans le temps, avec la c
63
t de la Russie aujourd’hui, de la Chine demain »,
écrivait
dès 1954 Jean Monnet (Lettre de démission de la CECA). Ils sont trop
64
it trop d’oppositions.77 Quelques mois avant, j’
écrivais
de mon côté : L’union, pour deux États-nations, n’est jamais qu’une
65
ul argument ne vaut et je perdrais mon temps à en
écrire
ici. Mais des objections apparemment plus réalistes nous sont faites
66
e ses pouvoirs à une autorité supranationale ? »,
écrivait
François Mauriac, dans Le Figaro littéraire du 11 décembre 1967. 77.
67
re à 2 heures du matin dans un salon d’hôtel pour
écrire
le message final du congrès, à lire le lendemain matin. Je trouve là
68
les régions seront les unités de base. Je l’avais
écrit
dès 1940 et le redis au congrès fédéraliste de Montreux en 1947 : Il
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finition. Dès 1933, Robert Aron et Arnaud Dandieu
écrivaient
dans L’Ordre nouveau : Nous avons les moyens techniques d’abolir la
70
x et Engels ont été les premiers à le voir et à l’
écrire
: « Le triomphe du prolétariat ne le rend pas maître absolu de la soc
71
forme orale d’une langue », forme orale et forme
écrite
du Hochdeutsch, etc. Voici quelques chiffres plus clairs : En 1954,
72
ais en 1964, le député alsacien Henri Ulrich peut
écrire
que depuis la fin de la dernière guerre « l’enseignement de l’alleman
73
écologique, énergétique, etc. Ce qui me conduit à
écrire
en conclusion de mon rapport culturel : « Chacune des régions fonctio
74
serait une amicale des misanthropes. Cela peut s’
écrire
, non se faire. Car ou bien vous faites une amicale, mais vous n’êtes
75
ition du problème régional Claude Lévi-Strauss
écrivait
récemment : « On peut se demander si nos sociétés qui deviennent de p
76
olérables ou « manifestement aberrants », comme l’
écrit
J.-F. Gravier119. Rien n’empêche… Voici maintenant mon utopie —
77
sie Mineure, qui date de 1925 et qui est l’un des
écrits
les plus chargés d’affectivité contenue, les [p. 83] plus envoûtants,
78
avec l’aire du franco-provençal, qui y fut parlé,
écrit
et chanté du ixe siècle jusqu’aux débuts du xixe . (Pictet de Rochem
79
des actuelles frontières franco-genevoises, avait
écrit
trois opuscules dans cette langue, dont nous ne connaissons plus que
80
“La liberté est une sensation. Cela se respire” —
écrivait
Paul Valéry — donc cela ne se mesure pas) ; et aussi la possibilité d
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où son autorité, gagnée ailleurs, peut égarer. Il
écrivait
en 1939, aux premiers jours de la guerre, un texte sur lequel le jour
82
, ou cesse de l’aimer et s’effondre. Quand Orwell
écrit
son essai, le malheur qu’il prévoit est déjà arrivé : il se produit d
83
e dans les instants d’une crise aveuglante. Et il
écrit
, un peu plus tard, qu’au retour du Christ : « Nous serons tous transf
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zz — le jazz, ou musique « anglo-nègre », comme l’
écrit
d’une manière pertinente autant qu’originale, Charles-Albert Cingria
85
son dans le goût de ce pays ». Mais ils ne purent
écrire
que de petites mélodies qui ne rappelaient rien de leur musique indon
86
and, dont le père s’était fait protestant, et qui
écrivait
dans les salles du British Museum, pour le New York Daily Tribune (gr