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e et désespérée. « Ici le paradoxe joue à plein —
écrivait
-on à ce propos dans un récent article1 — la théologie dialectique de
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ce sont les motifs qui ont poussé M. Dominicé à l’
écrire
, et qu’il expose en une vingtaine de pages précises, mesurées, et con
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e dans laquelle il faut considérer l’ensemble des
écrits
de Kierkegaard, et qui est celle du Point de vue explicatif. Le livre
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esprit. Ce n’est pas le meilleur livre qu’on ait
écrit
sur les Groupes. Mais enfin, c’est le seul qui existe en français, et
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d’un jeune pasteur américain, Frank Buchman. On a
écrit
de lui : « Ce qui frappe chez Buchman, c’est son incapacité propremen
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arrive qu’il s’effondre pendant ses discours. Il
écrit
une Psychologie de la pauvreté et un roman dont le tirage atteint 250
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sur l’état du marché. » On le met en prison. Il y
écrit
en treize jours un roman : L’Archer tirant contre le soleil. Accueill
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mporaine est une invalide, mentalement dégénérée,
écrit
-il. Les banques, l’armée, les maisons de prostitution, les cabarets,
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ils furent tous des chrétiens. Plusieurs ont même
écrit
des romans furieusement antichrétiens — des romans justement comme ne
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étiens — des romans justement comme ne peuvent en
écrire
que des protestants, malgré eux. Quand je dis romanciers protestants,
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quoi son Histoire se distingue de celle qu’eût pu
écrire
un savant laïque épris de tolérance, teinté de renanisme, et considér
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la décadence culturelle qui marque la plupart des
écrits
de ce temps, au moment où certaine renaissance du calvinisme laisse e
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dire. Ensuite, n’oublions pas que la plupart des
écrits
français de Calvin — c’est le cas de ces Trois traités — furent tradu
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endre aux réformés, ne trouva rien de mieux que d’
écrire
un pamphlet contre la race des Monod, les traditions, l’esprit et l’i
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le suis, par l’affirmation répétée que l’auteur «
écrit
à genoux ». Au sous-titre du Problème du Bien, j’apposerais volontier
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able, que, depuis quatre siècles qu’elles ont été
écrites
, on n’en a pas traduit une seule en France ! Quelques pages choisies,
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ra envers et contre tous. Elle ne sait ni lire ni
écrire
. On peut surprendre, dans cette scène étonnante, l’un des secrets de
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s principaux collaborateurs de la revue Esprit ,
écrit
dans plusieurs revues des articles qui ne sont jamais indifférents. I
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ont n’aime pas les villes, il n’a pas besoin pour
écrire
de ces conversations, de ces échanges qui stimulent tant d’écrivains,
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assion, ne s’aimaient pas ? Quand j’ai commencé à
écrire
mon livre, je voulais simplement étudier ce mythe et analyser la cris
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Vertu, illustre bien votre pensée ? Oui, je l’ai
écrit
presque en même temps que L’Amour et l’Occident . Mais je ne le fera
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e l’ai un peu délaissé au profit d’un drame que j’
écris
pour l’Exposition de Zurich. Je veux mettre en scène un héros suisse,
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ois étages, qu’il faut ne jamais laisser vides. J’
écris
des phrases très courtes, un peu comme des slogans. Le chœur jouera u
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au besoin, de rectifier ce que je me proposais d’
écrire
sur lui. Voici ce qu’a donné cette entrevue. Né en 1906 à Neuchâtel,
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ienne. Je me trouvais sans activité à Paris, où j’
écrivais
le Journal d’un intellectuel en chômage , quand je rencontrai Abetz.
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plus près. » J’acceptai à une condition, celle d’
écrire
en rentrant exactement ce que je pensais du nazisme. J’en ai effectiv
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es démêlés avec les autorités allemandes, quand j’
écrivis
un article dans la Gazette de Lausanne sur l’entrée de Hitler dans Pa
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ont est envoyé en Amérique où il passera six ans,
écrira
La Part du diable et se liera avec plusieurs écrivains français. On
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ale déclenchée par l’Europe, en 1919, Paul Valéry
écrivait
cette phrase célèbre : Nous autres civilisations, nous savons maint
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tter, mais on doit le constater. Roger Caillois a
écrit
non sans drôlerie à propos de la fameuse phrase de Valéry : « Si les
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ce que j’étais un littéraire. À cette époque je n’
écrivais
que des poèmes, persuadé que toute autre forme de littérature était i
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nd le sujet même de ce livre. J’ai été entraîné à
écrire
cet ouvrage par toute une suite de circonstances. La plus ancienne ét
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1938. Le mois de février arriva et je n’avais pas
écrit
une ligne. Je reçus une lettre recommandée de Daniel-Rops, que j’ouvr
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erminé les 450 pages en trois mois. Comme je l’ai
écrit
dans la préface, c’est un livre qui m’a demandé trois mois de travail
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r que nous nous trouvons devant un problème. J’ai
écrit
des centaines de pages de notes sur ce que ce mot Dieu peut évoquer p
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it d’un homme du xxe siècle, moi, par exemple. J’
écris
généralement quelques notes au moment de m’endormir. Dans ces notes,