1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
1 iter ensuite de scélérats ; droit de protester, d’ écrire au Times, ou à la Feuille locale, de faire campagne pour n’importe qu
2 ires, contre la religion des idoles. Un lecteur m’ écrivait récemment : « Quelle réponse l’Occident prétend-il apporter à l’inqui
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
3 Américain se demande si l’on y croit vraiment… (J’ écris on à dessein : car ce ne sont pas les mêmes qui, en Europe, font la c
3 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
4 influence de son père (auquel il dédiera tous ses écrits religieux) qui ouvrit les yeux de Kierkegaard sur l’absolu du christi
5 sque parfois de succomber. « Qui peut comprendre, écrit -il, cette contradiction de la douleur : ne point se révéler et faire
6 z lui, pleure toute la nuit. « Mais le lendemain, écrit -il, je fus comme d’ordinaire, et même plus pétillant d’esprit que jam
7 i tout le drame, et il y a réussi, puisqu’il peut écrire , non sans amertume : « Elle a choisi le cri, j’ai gardé la douleur »,
8 autre, tourna soudain au duel à mort. Kierkegaard écrivit immédiatement un article d’une extrême violence. Il attendit des mois
9 deux parlait et de m’imaginer qu’Hamlet avait été écrit par Kierkegaard, voire qu’à l’inverse la biographie de Kierkegaard av
10 u’il nous propose, c’est la souffrance, lorsqu’il écrit cette phrase lourde de sens : « Ce n’est pas le chemin qui est diffic
4 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
11 in » au milieu du secteur soviétique, comme l’ont écrit dans leur panique les communistes ? Pouvaient-ils pratiquement n’être
5 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
12 des applications de la science. Lorsque Einstein écrivit la célèbre équation de la relativité E = mc2, pouvait-il prévoir que
6 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
13 me le vôtre, il dépend de nous tous, Européens, d’ écrire une autre Histoire pour une Europe nouvelle. 4. Je le dis d’autan
7 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
14 Haydn ou un Mozart. Pourquoi cela ? Parce qu’ils écrivent de la musique en connaissance de toute l’histoire de la musique — d’a
8 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
15 blèmes fondamentaux mis en question. Je le voyais écrire sans cesse, résumant certaines déclarations, formulant son propre jug
9 1954, Preuves, articles (1951–1968). Politique de la peur proclamée (novembre 1954)
16 sur laquelle régnait Guillaume II. Ce qui peut s’ écrire  : Peur de l’Allemagne + Guillaume II = Peur de l’Allemagne – Adenaue
17 aire de Staline, comme on voit. En 1927, M. Bevan écrivait dans son journal intime : « Staline est-il un autre Lénine ? Très évi
10 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
18 stianisé ». S’il n’y a pas de socialisme en Asie, écrivait en 1930 Henri de Man, cela tient à l’absence du christianisme. Dès ce
19 onne grandiose de Saint-Just, au triste Marat… », écrit l’un d’eux. L’incroyance, même la plus sereine, a besoin du prestige
11 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
20 homme sauvé. Il est très important que Kepler ait écrit  : « Les œuvres de Dieu sont dignes d’être contemplées. » Ne voir là q
21 vers 1900. Un demi-siècle plus tard, Schrödinger écrivait  : « Le physicien d’aujourd’hui, à l’intérieur du domaine propre de sa
12 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
22 modernes » que j’ai dits. Erreur sur la Bombe. J’ écrivais au lendemain d’Hiroshima : « La Bombe n’est pas dangereuse du tout. C
23 Novalis. 36. Le modèle qui servit à Goethe pour écrire la fin du second Faust fut l’ingénieur anglais W. A. Madocks, constru
13 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
24 personne se trouve entre les mains d’un malade », écrivait Simone Weil au temps d’Hitler, qui était aussi le temps de Staline. E
25 dre à Franco moyennant une solide contrepartie, j’ écrivis  : « Aujourd’hui, c’est le voleur lui-même qui rapporte contre récompe
26 un fou cruel et rusé (le « Caligula du Kremlin », écrivaient Preuves et le BEIPI), un mégalomane en proie au délire de persécution
27 guerre, payées par les Américains, etc. ; ni à l’ écrire , s’ils ne le croyaient pas. Que se passe-t-il aujourd’hui ? Quel est
28 formels52. » Et Courtade, témoin du procès, osait écrire  : « On cherche en vain sur ce visage une trace d’humanité53. » Rajk é
29 i en pratique. La crise est telle, au moment où j’ écris (fin juin 1956), qu’on ne saurait plus refuser sans examen l’hypothès
30 p. 1524. 45. N’est-ce pas l’avis de Sartre, qui écrit  : « Le culte de la personne… coûtait cher en vies humaines et en bien
31 océdé est courant dans Esprit. Quant à Sartre, il écrit dans ses Temps modernes (n° 123, p. 1521) : « On ne répond pas à Rous
14 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
32 de attend pour confesser que nous sommes mâles », écrit le Père Enfantin, au moment où il débarque avec un groupe de fidèles
15 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
33 icaux ont loué sa « dignité ». Stravinski vient d’ écrire sur commande une œuvre austère et dure, qui ne concède rien ni à l’at
16 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
34 te petite note en soit témoin : à la date où je l’ écris , nous ne savons rien de ce qui peut nous attendre ou non sur d’autres
35 un clin d’œil, — « en un atome de temps, comme l’ écrivait saint Paul, à propos justement de la Fin du Monde. En fait, on nous a
17 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
36 « L’Europe à l’aide ! » et mourant sans réponse. ( Écrit pour le Journal de Genève un bref article. Que peut-on faire ? Il y a
37 l ? Savoir ce qu’il faut dire est notre action. J’ écrivais hier : Jurons de faire l’Europe. C’est la seule réponse positive et f
18 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
38 ais. « L’un des plus beaux aspects de l’Europe », écrit Voltaire, qui y a vécu de 1758 jusqu’à l’année de sa mort, vingt ans
39 ujours en ricanant dans le chemin de la vérité », écrivait -il à Mme du Deffand. Avec ou sans le curé, contre les tyranneaux, en
40 est ici que la publicité fut inventée. Voltaire n’ écrivait plus une lettre aux princes intellectuels et temporels de l’Europe sa
19 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
41 oin plus fier d’indépendance. Je ne sais qui a pu écrire que « seul un État neutre est vraiment indépendant »61. Il est clair
20 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
42 ntervention était l’expression d’une politique », écrit Sartre. Admettons que personne ne l’ait vu à part lui. L’histoire réc
43 M. Sartre n’a pu « digérer » Budapest, comme il l’ écrit , ce n’est point qu’il ait cédé à un réflexe irrépressible d’écœuremen
44 e droit de protester contre les Russes. En effet, écrit -il, « qu’on le veuille ou non, l’édification socialiste est privilégi
45 Deux confusions et deux Suisses Le même Sartre écrivait naguère que je me suis tu sur Suez mais « abondamment expliqué sur Bu
46 iétante découverte. « Je connais M. de Rougemont, écrit Sartre, c’est un homme doux, bien élevé, et par-dessus le marché un S
47 rappelle que l’ouvrage qu’il attaque, d’ailleurs écrit pour un éditeur de New York, ne parlait que de l’Occident en général.
48 r, je crains qu’il ne s’inspire de Machiavel, qui écrivait au xvie siècle : Svizzeri, armatissimi e liberissimi. Qu’il se rassu
49 e cri part, et l’on s’est trahi… Fort brillamment écrit d’un bout à l’autre, ce livre accroche et convainc dès le début, plus
21 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
50 els. » Et je sens aussitôt que l’intellectuel qui écrit cela défend une certaine politique, et en attaque une autre qu’il dén
51 éparer la mort des autres sans qu’on proteste. Écrit en avion Volant de Genève à Londres, à La Haye ou à Rome, je lis l
52 mets et italique) une phrase que l’auteur n’a pas écrite  : « De Nicée à la bombe atomique, l’homme européen, somme toute, a pe
53 ami qui soupirait : « Ah je n’ai plus le temps d’ écrire , même aux amis, je ne réponds plus qu’aux lettres anonymes ! » ad.
22 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
54 damné. Le Kremlin payerait notre presse qu’elle n’ écrirait pas autrement. Mais il sait bien qu’il peut lui faire confiance. La t
23 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
55 et même parfois les peuples ; et que l’Histoire s’ écrira demain. L’irréalité de ce siècle provient de ceci que la « réalité »
24 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
56 rêve d’un peuple et son comportement.) Fontenelle écrit en 1686 : « L’art de voler ne fait encore que de naître ; il se perfe
57 vers du xxie siècle, quel sens auront encore nos écrits et nos livres ? Perdront-ils toute espèce d’intérêt, tout pouvoir d’é
58 ondent sur nos doctrines sociologiques ; puis les écrits qui expriment notre étonnement devant les nouveautés techniques. Enfi
25 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
59 rgente, mais dont le premier mot n’est pas encore écrit  ? Sur la fondation d’une ville Mais montrer une erreur est sans
26 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
60 pour un temps. Post-scriptum À l’heure où j’ écris , ce 10 août, le débat se déchaîne, comme je l’avais prévu dans ma chr
27 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
61 -Paul Sartre est une belle intelligence. Quand il écrit la phrase suivante : « Il y a cent-cinquante ans que la France est ad
62 d’abord à la croyance en Dieu ? « Il est normal, écrit -il, qu’un certain nombre de personnes, maltraitées par la vie, aient
28 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
63 escrit.) J’entrevoyais, il y a vingt ans, quand j’ écrivais L’Amour et l’Occident , qu’une culture trop consciente de ses fins e
64 t meurt ivre d’amour, dans sa prison, après avoir écrit ce livre posthume. Robert Musil. — J’ai aimé mon Autriche « impérial
65 mort à peu près ignoré, tout près de ce lieu où j’ écris , — j’étais alors en Amérique — et son œuvre, en partie posthume, ne c
66 ute » : Elle l’avait ravi comme un poème d’amour écrit en secret, dont les allusions sont chargées d’un bonheur encore incon
67 sée — il s’agit de simples notes pour une suite à écrire — Musil transpose ici l’épisode des amants légendaires bannis dans la
68 n’a pas d’histoire, chacun sait cela depuis qu’on écrit des romans et qui passionnent. Mais cette convention littéraire, cond
69 e les préférences du grand nombre vont aux romans écrits à la première personne et par une femme, décrivant des situations quo
70 En même temps paraissaient à New York deux romans écrits par des étrangers, Russes au surplus ; l’un décrivant des situations
71 aire d’amour-passion. Voyons les faits. Pasternak écrit un énorme roman (dont une partie seulement sera publiée) décrivant le
72 ce que la mieux communicable, soit celle qui fait écrire des romans, celle dont la contagion rarement mortelle mais délicieuse
29 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
73 us que je fais bien des histoires pour une phrase écrite en passant ? Mais c’est cela justement qui m’inquiète, cette attaque
74 ce, après tant de phrases que vous n’aurez jamais écrites — et dont je vous rends l’hommage de vous tenir comptable — en faveur
30 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
75 ot, les charmes de cette prose et son autorité. J’ écrivais  : Dans la mesure même où Kassner se montre disciple de Kierkegaard,
76 connu dont je ne puisse imaginer qu’il ait dit ou écrit une sottise ou, même en bavardant, une platitude. Qu’il s’agisse de s
77 lle et sans clichés, prend ses distances : Rilke, écrit -il, a toujours refusé l’idée fondamentale du sacrifice, seul chemin q
78 lui avait dit dans une lettre qu’il la sentait «  écrite pour lui, et contre lui ». Il suggère en passant un parallèle entre K
79 ée l’a frappé : Cela resta fixé dans ma mémoire, écrit -il, me tint alerté… jusqu’à ce que, peu de temps après, je fusse info
80 a raison ; il y a du zen, en fait, dans tous mes écrits , à commencer par cette « Morale de la musique » qui aujourd’hui, à ca
81 semble que Kassner ne se soit pas souvenu d’avoir écrit lui-même dans ses Proverbes du yogi 89 les phrases suivantes : Quand
82 ulhan. 80. En 1931. 81. « Je ne songe pas ici — écrit Kassner — au journaliste anonyme, mais bien à l’auteur qui écrit des
83 au journaliste anonyme, mais bien à l’auteur qui écrit des drames, des romans, des systèmes. Ce journaliste-là, préoccupé d’
84 , 1949. Une bonne partie de ces proverbes étaient écrits avant la guerre de 1914 et avaient paru en revue. Je rappelle que Kas
31 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
85 e conviction qu’il n’existe pas “d’art bourgeois” écrit -il. Balzac, Stendhal, Flaubert, etc., n’ont jamais exprimé l’idéologi
32 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
86 it tranquille du cloître. Enfin, c’est à Mozart, écrira-t -il plus tard — dans les Étapes — qu’il aura dû de n’avoir pas vécu sa
87 algique. (Et déjà, durant les fiançailles, il lui écrit pour s’excuser d’un rendez-vous manqué : il est allé tout seul à la c
88 e mariage. Nietzsche en a certes moins longuement écrit que Kierkegaard, mais son œuvre n’est pas moins riche en jugements br
89 , qu’il publie à 28 ans. Au même âge, Kierkegaard écrit Ou bien… ou bien. Et tandis que l’un trouve dans le Don Giovanni de M
90 enhauer, leur maître commun. « J’aime en Wagner — écrit -il en 1866 à Erwin Rohde — ce que j’aime en Schopenhauer : le souffle
91 d désormais détesté, Nietzsche vit à Gênes, et il écrit Aurore. « Presque chaque phrase de ce livre a été pensée et comme cap
92 thume, le dernier appel à Isolde, ce billet qu’il écrit pour Cosima au jour où la démence éclate : « Ariane, je t’aime ! sign
93 ui liait Da Ponte et Casanova au moment où l’abbé écrivit son livret, la visite que les deux compères firent à Mozart, la prése
33 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
94 ’il n’atteint pas un but qu’il ne poursuit pas », écrit l’un de ses apologistes127, qui ajoute aussitôt : « Il est heureux ju
95 nt en Orient à l’invincible ordre des Assassins —  écrivait Nietzsche en humeur donjuanesque —, ils obtinrent, je ne sais par que
34 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
96 62 nous laisse tout ignorer de M. Paul Dehem, qui écrit longuement sur le mur de Berlin. D’où vient ce très curieux esprit ?
97 ans doute l’argument le plus bouleversant si l’on écrit pour les lecteurs d’ Esprit , grâce au mur l’Ouest a pu « bannir Brec
98 res. » Cette fois-ci, on présente l’auteur : il a écrit Les Réprouvés et Le Questionnaire, et il fut l’un des assassins de Ra
99 aint : « On m’a littéralement proscrit pour avoir écrit que le mur ne me faisait pas peur. » De quel côté du mur a-t-il écrit
100 me faisait pas peur. » De quel côté du mur a-t-il écrit cela ? Qui l’a « proscrit » ? On eût mieux fait de l’obliger à sauter
35 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
101 cœur. Parlant de l’Europe continentale, Jan Nairn écrit  : « These peoples are my peoples. » (Je renonce à traduire.) Et il aj
102 le même numéro d’Encounter, sir Stephen King-Hall écrit en toute candeur : « Malgré tout, je suis favorable à l’entrée dans l
103 4. Cette expression est de Michel Debré, lequel m’ écrivait en 1953 que les Six ne seraient — s’ils existaient jamais, ce dont il
36 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
104 e. « Si cet idéal de l’avenir se réalise un jour, écrit -il en 1875, la nationalité suisse devra s’incorporer à la communauté
105 oire de la liberté ». Le grand juriste Max Huber écrit , pendant la dernière guerre : À l’heure actuelle, notre destinée se
106 ra plus d’Europe. À mi-chemin entre le temps où j’ écrivais le Message final du premier congrès de l’Europe à La Haye, et le temp
37 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
107 Information, où je venais de prendre un poste. J’ écrivais deux longs textes par jour : « La voix de l’Amérique parle aux França
108 bon de nous en assurer l’occasion quotidienne. J’ écrivais quelques mois plus tard dans mon journal : « Une journée à l’OWI. —
109 nous sommes en train de causer. Trente machines à écrire dans cette salle, en contrepoint avec deux télétypes. Visières vertes
110 e Enfantin… une grande réparation vous est due », écrira-t -il dans Arcane 17, deux ans plus tard, et il poursuit : « À travers l
38 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
111 ni hier par un petit jeu de questions et réponses écrites simultanément. Ma première question était : Qu’est-ce que le génie ?
39 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
112 re 1949 à Lausanne. Son histoire n’est pas encore écrite , et il faut craindre qu’elle ne puisse l’être que d’une manière insuf
113 le seul survivant du groupe et qui est en train d’ écrire ces pages. Ce ne seront pas des pages d’histoire, mais un essai de re
114 l’Éducation (anciens ou imminents). T. S. Eliot m’ écrivait  : « I feel that at the present time one ought to do what one can to s
115 . » Retinger m’avait appuyé fort habilement. Il m’ écrivait le 29 mars (avec « copie à quelques-uns de nos collègues ») une lettr