1 t bien son affaire. C’est bien comme ça que c’est écrit dans la Bible, il n’a pas dit de mensonges, quoi ! Mais ici ils ne sa

2 ard me frappe aujourd’hui comme si elle avait été écrite exprès pour moi, dans ma situation actuelle. Elle contient un double

3 comme la presse, un « intellectuel en chômage. » ( Écrire , aux yeux de ces paysans, ne signifie proprement rien. S’ils ont un p

4 raconte dans le pays que je possède une machine à écrire …) Février 1934 Les gens. — Du haut des dunes, je vois les terres div

5 x circonstances mêmes qui l’ont mis dans le cas d’ écrire . Car, ou bien l’on écrit ce que l’on ne peut pas faire, et c’est l’av

6 l’ont mis dans le cas d’écrire. Car, ou bien l’on écrit ce que l’on ne peut pas faire, et c’est l’aveu d’une faiblesse ou d’u

7 compliquent fort la vie, je crois ; ou bien l’on écrit des choses intelligentes, et c’est encore l’aveu d’une inadaptation c

8 le aux mœurs et coutumes de ce temps ; ou bien on écrit simplement pour gagner sa chienne de vie et c’est le bon moyen de tra

9 iers romantiques allemands. « Ils admettent tous, écrit M. Béguin, que la vie obscure est en incessante communication avec un

10 s romantiques, passent leur vie à en parler, à en écrire , à tenter de le cerner par des figures qui, n’étant jamais suffisante

11 un et l’autre ont l’ambition de communiquer par l’ écrit ce qu’ils ne cessent de définir comme l’indicible. Dès lors, la plain

12 « Je crois avoir fait une découverte importante, écrit Ritter, celle d’une conscience passive de l’involontaire. » Et sur ce

13 èrement consacrée à des analyses de rêves, Moritz écrivit deux romans autobiographiques qui nous permettent de pénétrer l’intim

14 tisme politique. Et je ne dis pas du tout que les écrits d’un Novalis ou d’un Jean-Paul soient à sa source ; ce serait absurde

15 ur la première fois de ma vie, je me sens tenté d’ écrire la suite du roman. La route américaine L’Européen parle parfois

16 le dernier mot… » Il y eut Proudhon surtout, qui écrivait  : « Le xxe siècle ouvrira l’ère des fédérations, ou l’humanité recom

17 d’être actuel. Il y faut parfois du génie. Goethe écrit à Valmy : « De ce lieu, de ce jour, sera datée une ère nouvelle. » Ma

18 nel, mais qui signale un vrai danger. Voici ce qu’ écrivait , il y a quelques mois, M. Jean Thibaud, directeur de l’Institut franç

19 sa plus grande simplicité. Je reviens à ce que j’ écrivais sur l’absence de contradiction dans l’être intime de l’Asiatique : c’

20 i d’un brahmine pour une caste inférieure (il l’a écrit ), non pas celui d’un Marx pour le capitalisme promis à des crises fat

21 qu’ils sont « en tête des gens heureux », comme l’ écrit un journal français. Alors que 48 % seulement des Français se disent

22 ouvernants, c’est le goût du travail dont on a pu écrire qu’il est « le mode existentiel des Suisses », la base de leurs rappo

23 la plus résiduelle. On interdit l’entrée de tout écrit , de toute image ou œuvre d’art « où un particulier non averti ne cher

24 village de Lützelflüh. À quarante ans il se mit à écrire et, sous le nom de Jeremias Gotthelf (Jérémie : le prophète ; Gotthel

25 ospection. Dix-sept-mille pages de Journal furent écrites dans l’ombre d’une carrière assez terne pour être acceptée sans histo

26 Lucien Febvre, admirable historien de la culture, écrivait à propos de la Suisse : « Pays de gens moyens, oui. Mais quand ils ré

27 n illustre homme d’État belge, et grand Européen, écrivait récemment : « Ce n’est pas dans le fédéralisme, ce n’est pas en se re

28 e à la fois une et double de Jésus-Christ. Et ils écrivent  : « Nous enseignons un seul et même Seigneur Jésus-Christ, vrai Dieu

29 a plus d’avenir que de passé. 26. Pierre Duclos écrivait , en 1962, dans son excellent ouvrage en collaboration avec Henri Brug