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ne vais pas redire ici ce que je suis en train d’
écrire
ailleurs6. Je noterai simplement qu’un juif, cultivé, libéral et bour
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connaissances ». Je leur demande de répondre par
écrit
à cette question : « Pourquoi j’étudie les langues romanes ». Trois s
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Lui. — Et alors, quelle solution proposez-vous ?
Écrire
des articles pacifistes, ou traîner dans les cafés, ou gagner de l’ar
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rt pour le Carnaval. — En 1932, à cette époque, j’
écrivais
à la fin d’une étude sur Goethe : « Les temps nous pressent de toutes
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semble. 12 mars 1936 Le journal de ce matin
écrit
: « Lorsque le Führer s’écria : Je ne puis vivre que si ma foi puissa
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rètes ni son espoir. « Il doit y avoir une clé »,
écrivais
-je à ce moment. Je l’ai trouvée, cette clé, mais à présent, comment f
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ndrait un peu de sérieux aux esprits libres » — j’
écrivais
cela, il y a deux ans. Je n’oserais plus le répéter, devant Niemöller