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e sa démarche. Bon gré, mal gré, tout ce que l’on
écrit
contribue en quelque façon au bien ou au mal de beaucoup. Lorsque l’i
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ard Bloch, parlant de « l’iniquité capitaliste »,
écrit
: « Mais cette iniquité n’est elle-même que le résultat d’une erreur
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ule à ordonner. Le mieux était de conserver à ces
écrits
leur possible valeur de témoignages, de partis pris accidentels, plut
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es meilleurs exemples de cette théologie dans les
écrits
marxistes, plus intelligents et plus logiques surtout que ceux des fa
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Mais le marxisme, à la suite surtout des derniers
écrits
de Marx, a été beaucoup plus loin que son indignation première. De ce
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: Capitalisme et Réforme. 16. La publication des
écrits
de Marx Sur la dialectique hégélienne ne date en effet que de 1932.
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ance un vibrant appel aux écrivains : qu’ils nous
écrivent
des romans contre le bolchévisme, et l’on donnera 50 000 francs au mi
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tique cohérente. Qu’il me suffise de rappeler les
écrits
de MM. Fernandez34 et Guéhenno. Si intéressant et précis que soit l’u
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34. « Le chrétien est un embusqué de l’infini »,
écrivait
Ramon Fernandez. 35. On sait que la secousse du 6 février 1934 a pou
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ation capitaliste. Je crois, comme André Philip l’
écrivait
un jour, que le capitalisme est un système radicalement imperméable a
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à la suite du Christ « retombe à plat », comme l’
écrivait
récemment André Gide38. La religion n’a pas de sens humain : jamais l
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re du parti des Deutsche Christen… À l’heure où j’
écris
, le schisme est imminent entre ces pseudo-protestants et les églises
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. Nous ne pensons pas que la guerre soit, comme l’
écrit
Henri Lefebvre, la seule « chance » des capitalistes. Il en est une m
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aire ne comportent pas de points d’application »,
écrit
Nizan. Voilà bien la suprême « évasion » de nos intellectuels, même m
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ligraphes. Mais ce sont eux qui nous apprennent à
écrire
, qui nous donnent les modèles, qui prévoient les déformations nécessa
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seule opposition sérieuse La violence de leurs
écrits
s’accroît, l’aigreur des polémiques s’accroît, les revues littéraires
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ines communes. « Il n’y a plus ni Juif ni Grec »,
écrit
saint Paul. Elles ne tiennent compte ni de la race, ni des traditions
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omba la société au Moyen Âge. « L’homme médiéval,
écrit
Burckhardt, ne se connaissait plus que comme race, peuple, parti, cor
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comme des novateurs. « Nous nous sommes efforcés,
écrit
Calvin, de ne pas mettre nos opinions personnelles à la place de l’ex
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mais de l’ordre le plus général. C’est lorsqu’il
écrit
: « Le meilleur état de gouvernement est celui-là où il y a une liber
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ussie. « Fort différentes sur beaucoup de points,
écrit
-il, elles offrent ceci de commun qu’elles souffrent toutes les deux d
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e la marque des années au cours desquelles il fut
écrit
et dit. Cependant, je ne l’ai guère modifié. (Quelques pages ont été