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distinct… Je me disais qu’un jour je voudrais en
écrire
, mais qu’il fallait d’abord rentrer. Je suis rentré, c’est la coutu
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es. Je l’ignorais encore quand on m’a proposé d’
écrire
ces pages sur mon pays natal. On insistait amicalement : je venais de
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l’état politique, civil et naturel de la Suisse,
écrit
en 1776 : « La constitution de Neuchâtel est une monarchie limitée, d
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mille bons et fidèles sujets… « En 1818 déjà —
écrit
M. Arthur Piaget dans sa remarquable Histoire de la révolution neuchâ
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ille qui régnait à Neuchâtel. Dieu nous préserve,
écrivait
-il, des parvenus par droit de naissance et de fortune qui clabaudent
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efermé les livres, les mémoires. L’année finit. J’
écris
sans hâte. Quel silence ! Et je m’attarde à suivre encore ces harmoni
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is sans y retrouver la trace des larmes dont elle
écrit
souvent qu’elles furent baignées. L’on était vers 1830. Portrait de s
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s steppes vers son génie. Et l’on dit qu’Andersen
écrivit
quelques-uns de ses plus beaux contes pendant le séjour qu’il fit au
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vions joué au jeu des questions et réponses. L’un
écrit
trois questions, et l’autre en même temps trois réponses. Puis on lit
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papiers. Jeu de hasard, ou de télépathie. J’avais
écrit
, dernière question : — Qu’est-ce que le style ? Catherine, la fille d
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lacustre. « Odeur de l’eau — pour toute la vie »,
écrivait
un Paysan du Danube , et vingt ans ne l’ont pas démenti. Je dénombre